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Chris46
514 abonnés
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3,5
Publiée le 24 mai 2016
" A gauche en sortant de l'ascenseur " comédie très sympathique de Édouard Molinaro . C'est l'histoire de Yan ( Pierre Richard ) un artiste peintre qui rêve de séduire une femme nommer Florence ( Fanny Cottençon ) . Il réussit à l'inviter chez lui pour un rendez vous galant . Mais son rendez vous va tourner au cauchemar quand sa voisine de pallier nommer Eva ( Emmanuel Beart ) va sonner à sa porte en petite tenue et va s'incruster chez lui car la porte de chez elle à claqué et qu'elle se retrouve coincer sur le pallier . Le mari de Eva nommer Boris ( Richard Borhinger) extrêmement jaloux va surprendre Eva en petite tenue chez Yan et commencer à s'imaginer le pire et se sera alors le début d'un vaudeville remplit de quiproquos en pagailles ... " A gauche en sortant de l'ascenseur " est une comédie très sympathique de Édouard Molinaro . Le film est adapter d'une pièce de théâtre à succès de Gerard Lauzier . L'histoire est vraiment sympa celle d'un artiste peintre qui va voir son rendez vous galant tourner au cauchemar à cause de sa voisine de pallier qui va s'incruster chez lui en petite tenue et qu'il va subir les foudres de son mari jaloux qui va s'imaginer bien des choses ce qui va donner lieu à des quiproquos amusants et des situations drôles . Un film remplit de repliques amusantes et de scénes drôles ( les pistolets , le balcon ... ) qui nous font bien rire . Le casting est top avec Pierre Richard hilarant dans le rôle de ce pauvre peintre qui va voir son rendez vous galant tourner au cauchemar par la faute de sa voisiine incarner à merveille par la charmante Emanuelle Beart très sexy en petite tenue qui va s'incruster chez lui . Il va alors subir les foudres de son mari incarner par Richard Borhinger vraiment excellent en mari jaloux et possessif . Il joue vraiment à merveille le mari jaloux . Emmanuel Beart et Richard Borhinger forme un couple explosif qui fonctionne à merveille . Une bonne comédie bien sympathique des années 80 .
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2,0
Publiée le 18 juin 2018
Amusant vaudeville à la française où Pierre Richard en artiste peintre, amoureux d'une Fanny Cottençon craquante et marièe, a bien du mal a vivre sa passion discrètement! Et pour corser le tout, le rèalisateur Edouard Molinaro lui colle deux voisins de palier, la sexy Emmanuelle Bèart et le très jaloux Richard Bohringer, qui vont s'èchiner en effet à perturber son idylle! Avec la participation de Michel Creton, Pierre Vernier et d'Aïna Walle (la magnifique suèdoise d'"A nous les petites anglaises") dont le souvenir hante encore les nuits de quelques cinèphiles! Quelques malentendus sont poussifs mais souvent drôles parce qu'ils frisent le burlesque (le balcon, la petite culotte coincèe au talon dans l'ascenseur...). Bref, comme le dit Pierre Vernier, c’est vraiment un immeuble qui baigne dans la convivialitè! A noter que la musique et les chansons sont de Murray Head...
Pierre Richard en grand nigaud gaffeur impénitent, Richard Bohringer en mari macho violent et paranoïaque et Emmanuelle Béart en petite tenue, voilà le résumé du film où les acteurs principaux reprennent pour la Xème fois leur rôle de prédilection. Les gags sont d'un niveau pour gamins et jeunes adolescents, quant à l'histoire de la porte qui claque sans arrêt en laissant les locataires sur le palier, cela devient lassant à la longue.
Pour ceux qui aiment le vaudeville peut être? Une comédie théâtrale avec ses sonnettes, ses portes, ses balcons, ses quiproquos, la bonne...pourquoi pas des amants dans le placard? Bref un style et des dialogues je trouve très convenus voir niais
Molinaro, encore une fois nous sert l’adaptation d’une pièce de théâtre, et en respecte globalement le style. Peu de scènes extérieures, et une mise en scène, qui, il faut le dire, est quand même ici un peu faible, un peu plate, et n’est pas toujours vraiment enthousiasmante. Molinaro ne se force pas beaucoup, et son film aurait pu avoir la verve d’un Oscar, mais reste en dessous, porté, essentiellement par l’entrain des acteurs. Là-dessus rien à redire, A gauche en sortant de l’ascenseur bénéficie indéniablement d’une équipe d’acteurs plein d’entrain, dynamique à souhait, et dont on sent la complicité. D’un côté Pierre Richard s’empare d’un rôle des plus classiques pour lui, mais qu’il emporte avec toujours une belle maitrise, Bohringer est un voisin envahissant particulièrement crédible, il arrive à ne pas en faire trop, et puis que dire du duo de charme Béart-Cottençon. Toutes deux magnifiques, elles sont très douées dans leurs rôles respectifs, avec une petite mention spéciale pour Béart en termes de prestation, alors que Cottençon est d’une exubérance moindre quand même. Le scénario reste moyen. C’est du vaudeville typique. Assez dynamique, avec une durée courte, plutôt drôle, mais avec des rebondissements parfois trop forcés, des gags un peu trop prévisibles et pour certains qui s’étirent un peu en longueur. Bon rien de méchant, loin de là, mais c’est vrai que ça ne roule pas totalement parfaitement, jusqu’à une conclusion abrupte qui ne m’a pas pleinement convaincu pour le coup. Pour les autres aspects que je n’ai pas évoqué, il ne faudra pas s’attendre à des décors spécialement variés puisqu’on tient là un quasi-huis clos, mais par contre on pourra apprécier une musique étonnante signée Murray Head, qu’on aurait d’ailleurs pu écouter davantage dans le fil du film. Globalement A gauche en sortant de l’ascenseur n’est pas une comédie déterminante, et qui même dans la filmographie de Molinaro n’est pas mirobolante. Reste que c’est une comédie populaire sympathique, assez attachante, profitant de sa bonne galerie d’acteurs. Rien de très marquant, mais un petit moment un poil nostalgique sympathique. 3.
Une belle petite comédie à la française d’Edouard Molinaro qui manque peut être un peu de crédibilité. De bons gags et des scènes très drôles, les acteurs sont merveilleux on retrouve notamment à l’affiche Pierre Richard, Richard Bohringer, Emmanuelle Béart… Malgré le fait que ce film soit très divertissant le scénario reste assez plat. Bref je mettrais une note de 12 / 20.
Sans être exceptionnelle, cette comédie vaudvillesque se révèle distrayante pendant 1h30. Pierre Richard effectue un sacré numéro et déclenche de nombreux éclats de rire dans le rôle de cet artiste maladroit. Les seconds rôles composés de Emmanuelle Béart et Richard Bohringer sont aussi très bon notamment ce dernier qui multiplie les regards de démence et se montre presque effrayant. L'histoire est très rythmé avec de bons quiproquos. L'ensemble reste cependant convenue et de facture classique.
Encore un super film avec Pierre Richard ! Il est vraiment épatant ce type. Il est drôle en jouant assez souvent les mêmes rôles, le cliché "Pignon" maladroit, même s'il ne l'est pas dans ce film. Ce film n'est pas connu du tout, mais mériterait de l'être. Je l'ai revu récemment et ce que je croyais être un énorme quiproquo n'est finalement qu'une histoire pas très complexe mais qui se veut quand même tarabiscotée. Le sourire niais de pierre Richard est absolument bienvenue dans ce film. Celui-ci a un peu vieilli, mais pas tant que ça. Emmanuelle Béart est parfaite et sublime, mais c'est surtout Richard Borhinger qui est épatant en mari psychopate légèrement malade. Il nous émeut aussi. Bravo à ce trio qui nous offrent un moment assez agréable.
Voila le type même du film qui a mal vieilli: vaudeville improbable avec des situations qu'on voit arriver 2 heures à l'avance et par dessus le marché le sur-jeu des acteurs finit de rendre ce film ennuyeux et ridicule mais pas drôle.
Bref c'est excessivement cul cul la praline, lourdingue, prévisible et donc au final lénifiant et soporifique.
Ce film ressemble à une pièce de théatre avec comme acteurs le gros nigaud de Pierre Richard, le mari jaloux Richard Borhinger, la dévétue Emmanuelle Béart, et pour finir une porte qui claque en laissant ces locataires sur le palier c'est trop nul!!! Sans oublier Michel Creton qui est mauvais en flic.
"A gauche en sortant de l'ascenseur" (1988) Chérie 25 le 23.05.2016
Je n'aime en général pas les pièces de théâtre transposées en films! Autant enregistrer la pièce jouée sur scène comme jadis "Au théâtre ce soir" à la télévision. En effet, on y perd le rythme du cinéma qui nous permet de voyager sans fatigue, et de changer de décors à satiété entre autres avantages... Ce vaudeville n'aspire pas aux "César" (qui d'ailleurs n'apprécient pas trop les comédies humoristiques) et il s'agit d'une des dernières réalisations de Molinaro qui avait 60 ans et une filmographie bien réussie. Cette réalisation n'aura pas eu le succès de "la cage aux folles" avec "seulement" 607 000 entrées. Pourtant, quel judicieux casting peuplé d'acteurs talentueux ! Et quel scénario, en l'occurrence oeuvre de Gérard Lauzier connu notamment pour ses BD et qui n'aura guère écrit pour petit ou grand écran. Quel dommage car quel humour ! Molinaro aura imaginé la "fête des voisins" avant l'heure car c'est bien ce dont il s'agit ici. Ne boudons pas notre plaisir : à voir les emm... des autres, on en oublie les siennes ! willycopresto
Que du bonheur ! Film adapté d'une piece de théatre écrite par Gérard Lauzier , A gauche en sortant de l'ascenseur est un pur divertissement où le spectateur jubile durant 1h20. D'excellents numéros d'acteurs, ça bouge dans tous les sens, les dialogues et repliques cinglantes fusent...Pierre Richard apparait plus pudique dans son eternel role de Pierrot lunaire et forme un couple ravissant avec la belle Fanny Cottençon. Richard Bohringer et Emmanuelle Béart forment un couple explosif. Le premier apparait parfois inquiétant et la seconde est craquante ( pour les fans elle passe tout le film en petite lingerie ). Les seconds roles, si toutefois on peut parler de seconds roles dans ce théatre filmé, sont hilarants. La scène de l'explication du briquet-pistolet est à mes yeux culte et les numéros d'Eric Blanc et Michel Creton sont hilarants. Le film n'a eu guère de succès à sa sortie en salles en 1988 avec à peine plus de 600 000 entrées...mais il repasse assez souvent à la télévision pour corriger cette erreur. L'excellent Edouard Molinaro s'est toujours montré à l'aise dans la comédie de moeurs et parvient aisément à donner un rythme cinématographique à une intrigue de boulevard loufoque et salée.
Une petite comédie divertissante et sympathique pleine de quiproquos et bien interprétée, notamment par un Pierre Richard dans son rôle récurrent de timide maladroit.