J'ai très rapidement décroché devant ce film hispanique pas à cause de l'intrigue qui n'a rien de déplaisant mais à cause d'une mise en scène qui ne parvient à nul moment à capter notre intérêt. Sinon il y a aussi les personnages du frère et de la soeur auxquels je ne me suis guère attaché.
Les films espagnols ont cette particularité de nous captiver par un « je ne sais quoi » de plus Histoire réelle mélangeant le passé ce qui reste un peu abstrait mais on comprend bien le message et le couple de frère et sœur est parfaitement joué
Dure moment a passer... quand l'espoir de voir la fin arrivée est plus forte que l'envie de manger sa main droite... Un film long et qui ne captive personne en prenant plus d'une heure et quart à élever notre intérêt à un niveau nous permettant d'oublié le temps passé .......un scénarios mal ficellé, malgré le jeu excellent des acteurs. Plusieurs difficultés dans la cohérence interne de l'histoire.Une fin a l eau de rose et une bande son inexistance .... Un film espagnol vite oublié .....
vraiment j'ai bien aimé !! une histoire qui tient du début jusqu’à la fin, des dialogues cours et efficaces une très bonne réalisation des acteurs captivants ...non franchement je vous conseille vivement de regarder ce film un 4/5 pour moi
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1,0
Publiée le 5 mai 2013
Si l'histoire de "Aparecidos" est particulièrement dècousue, Paco Cabezas a tenu à y mettre beaucoup de surnaturel et de poèsie (dans sa deuxième partie) pour lui confèrer la dimension d'une ambiance policière où le rèalisateur espagnol mènage cependant de nombreux effets sanglants comme cette jeune fille qui nous renvoie dans un snack (à la verticale) dans une scène mythique de "The Exorcist". C'est parfois long, souvent bancal avec de terribles baisses de rythme et un gros souci avec les ellipses! Seul le dernier quart d'heure maintient l'intèrêt en emportant (trop tard) l'adhèsion! Dommage, car sur le papier, le projet tèmoignait d'une belle ambition! On pourrait d'ailleurs reprendre une chanson de Jean-Pierre Mader à propos de ce film d'èpouvante de mèdiocre qualitè: « Disparue, tu as disparue. Disparue, tu as disparue. Au coin de ta rue...je t'ai jamais revue ». Un premier long qui peine à convaincre malgrè les bonnes intentions du cinèaste...
Premièrement, je ne comprends pas pourquoi un tel film n'a généré que si peu de critiques. Soit, ce n'est pas un chef d'oeuvre mais il concurrence de nombreux films du genre en suspense et en intensité. Pour ma part, j'ai suivi cette histoire "assez compliquée" avec beaucoup d'attention et au final, j'ai passé un très bon moment.
Un film fantastique un peu confus, une histoire intéressante sur fond des tortures en Argentine dans les années 80, mais le film ne captive pas plus que cela, malgré des scènes bien faites. Intéressant, sans plus.
Un film de fantômes et d'épouvante un peu complexe qui même s'il se laisse regarder donne parfois l'envie de tout lâcher. Une pincée de "Les Autres" pour les fantômes, une pincée de "Jeeper Creeper" pour certaines scènes de voiture, un final à la "Hostel", au milieu un thriller fantastique portée par un livre, révélant des secrets politico-horrifique, trouvé comme par enchantement! Au final, à trop vouloir bien faire (réalisation impeccable, acteurs prenants, décors magnifiques), le réalisateur "noie" également son spectateur (pour ceux qui verront la fin...)
Ce (quasi) road movie horrifique, bâti sur un drame historique, s'il peut se révéler parfois captivant et intelligent, souffre également de choix narratifs bancals et de sa volonté d'adapter ses thématiques à des œuvres pré existantes, sans réellement réussir à imposer son identité propre.
Bon film d'horreur avec des esprits... et pas asiatique pour une fois. Il faut dire que le réalisateur est espagnol et que dans le genre ils dominent actuellement le cinéma occidental. "Les disparus", ne se contente pas d'être très efficace visuellement (si ce n'est pas hyper-sanglant c'est assez glauque), il est aussi une réflexion - sommaire - sur les dictatures et ceux qui exercent des actes de barbarie. Toutefois certains éléments déçoivent, comme le comportement des personnages principaux, et, comme souvent dans ce genre de films, le pourquoi-du-comment n'est pas du tout expliqué.