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    Lady Jane
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    89 critiques spectateurs

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    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    130 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 avril 2008
    LADY VENGEANCE. C'est osé de lorgner du coté américain, mais c'est courageux. Des défauts bien français mais un bon trio d'acteurs gagnant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 avril 2008
    genial, j'ai beaucoup aime. C'est un film fantastique. A voir de toute urgence, le meilleur(a mon avis) de Guediguian.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 180 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2008
    Darroussin, Ascaride et Meylan, ça vous fait penser à qui ? A Robert Guédiguian , Bravo ! Mais sûrement pas à un film noir et c’est ici la bonne surprise. Fort de son trio magique le marseillais nous montre qu’avec du savoir faire et des acteurs polyvalents on peut se risquer avec bonheur à tous les genres. C’est donc un polar de première main que nous livre Guédiguian, basé sur la réunion 20 ans après de casseurs retirés des affaires. Seulement l’amour enfoui parle encore (un thème récurrent chez le réalisateur) et les deux ex compagnons volent sans réfléchir au secours de leur ancienne muse. Il ne fait pas toujours bon faire ressurgir le passé car la lecture que chacun en fait n’est pas souvent la même et une confrontation brutale peut ouvrir encore plus grand des blessures mal cicatrisées. Guédiguian maîtrise parfaitement son sujet et ses acteurs sont à l’aise comme des poissons dans l’eau. À quand un film de science-fiction ou une franche comédie avec ses comparses ?
    officiel76
    officiel76

    46 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 avril 2008
    un scnénario de polar comme n'importe quel ado boutonneux peut en écrire; c'est cousu de fil blanc, tiens j'ai besoin de 200 000 € je connais justement des loubars à raquetter, tiens ils m'ont reconnu pan pan pan je les tue et je les noie et je suis pas inquiété, quant à l'explication en 23 secondes d'Ariane Ascaride du pourquoi elle a fait ça, qu'on me l'explique parce que je n'ai rien compris tellement c'était confus...vengeance, trahison, regardez Dynasty si ça existe encore, parce qu'au moins c'est drôle...ah au fait Marius joue dedans, et il a fait des progrès, mais ce n'était pas difficile car c'est quand même le plus mauvais acteur du monde (si si)
    Hotinhere
    Hotinhere

    551 abonnés 4 958 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 septembre 2022
    Un polar noir séduisant (hormis sa dernière partie) sur fond de vengeance et de fantômes du passé, porté par l’impeccable trio fétiche de Guédiguian. 2,75
    Incertitudes
    Incertitudes

    204 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2018
    Si on prend Lady Jane comme un polar pur et dur, je comprends qu'on en soit déçu. On ne voit pas un seul policier sauf sur une scène. On va trouver ça trop lent. Le polar n'est qu'un prétexte pour parler de cette bande de trois copains. Anciens voleurs retirés des affaires suite à un meurtre commis par l'un d'entre eux et qui vont se retrouver des années après à cause d'une tragédie. C'est un film sur la nostalgie. Tous ont une vie de famille bien rangée. Mais c'était l'époque où ils étaient plus jeunes à faire les quatre cents coups. Le temps de l'insouciance sans l'innocence. Aujourd'hui, le temps est passé mais les souvenirs restent et avec eux les frustrations. Les incompréhensions. Les regrets. La nostalgie et le temps qui passe. Et la vengeance qui fonctionne comme la roue du hamster. Sans fin. En laissant derrière elle des cadavres. Des vies brisées. Sans jamais rien apaiser. Il y a donc comme un sentiment de gâchis qui prédomine et chez certains le sentiment qu'ils n'ont pas conscience de ce qu'ils possèdent (une copine, des enfants, un commerce qui fonctionne) en les voyant chercher à replonger quitte à tout perdre. La citation finale tirée d'un proverbe arménien souligne l'absurdité de la vengeance. Non seulement, elle ne résout rien mais elle fait mal en premier lieu à ceux qui s'en servent.
    joelle g
    joelle g

    89 abonnés 869 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 janvier 2018
    Du pur Guedigian....avec ses acteurs fétiches et Marseille...un film de vengeances....mais que de lenteurs....
    Caine78
    Caine78

    6 703 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 avril 2015
    Polar social peut-être un peu plus porté sur l'action que d'habitude chez Robert Guédiguian, « Lady Jane » est implacable pendant deux très gros tiers du film : noir, tendu, narration solide, personnages intéressants, légèrement ambigus et excellemment interprétés par le trio Ariane Ascaride - Jean-Pierre Darroussin - Gérard Meylan, le tout dans cette bonne vieille ville de Marseille que le cinéaste connaît si bien, au point de presque nous rappeler le cinéma de Jean-Pierre Melville. Presque, parce que dans la dernière partie, l'œuvre perd beaucoup en intensité et intérêt, l'identité du kidnappeur s'avérant bien décevante, tout comme ses motivations, finalement prévisibles. Cette conclusion nous laisse sur un sentiment d'inachevé, mais ne doit en aucun cas occulter les belles qualités de ce film noir à la française, d'autant que les ultimes minutes sont, elles, à la hauteur. Du bon cinoche.
    xavierch
    xavierch

    46 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 novembre 2014
    Une grosse déception que ce "Lady Jane", qui a pourtant de très bons acteurs, mais le scénario est beaucoup trop mince, et le rythme vraiment lent, n'aide pas à accroché au film. Un film d'une noirceur qui n'aide pas à rentrer dans celui-ci.
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 octobre 2012
    "Lady Jane", c'est à la fois le surnom que son père donnait à Muriel en référence à la chanson de 1966 des Stones, le tatouage gravé sur son avant-bras qu'elle présenta à sa victime avant de l'exécuter froidement, et le nom de la boutique de luxe qu'elle a ouvert à Aix avec l'argent de ses braquages quand elle s'est retirée des affaires.

    La première image de ses années de banditisme, c'est celle de son rêve qui ouvre le film, où avec François et René, tous trois dissimulés sous des masques de Jean Marais dans "Le Bossu", ils distribuent des manteaux de fourrures aux ouvrières de l'Estaque. On nous présente donc les trois compères comme de sympathiques Robin des Bois, pratiquant la redistribution des richesses, et coulant une pré-retraite bien méritée entre Aix et les calenques.

    Pourtant, le kidnapping de Martin ne semble pas dû au hasard, puisque le ravisseur envoie à Muriel un texto où il lui suggère d'attaquer une bijouterie pour compléter le montant de la rançon. Tout le début du film est d'ailleurs très bien réalisé, avec une utilisation intelligente du téléphone portable, le dialogue avec le ravisseur dont on n'entend que les répliques de Muriel, le MMS montrant Martin avec un pistolet sous la gorge, le bouleversement qui se lit sur le visage de sa mère souligné par la musique classique diffusée dans le magasin : une grande simplicité narrative, permettant en quelques plans de comprendre à la fois la situation et les émotions vécues par Muriel.

    Las, cette simplicité ne dure pas, et cède très vite la place à une intrigue sinueuse et paresseuse, à une narration pesante, à une réalisation très seventies (les zooms sur les visages de Jean-Pierre Darroussin et Ariane Ascaride, c'est carrément un voyage dans le temps !), et à un propos philosophique filandreux. Dans ce naufrage, la complicité du trio et de leur réalisateur fétiche ne se fait pas sentir, au contraire. Moi qui ai été enthousiasmé il y a quelques mois par la performance d'Ariane Ascaride dans "La Maman Bohême suivi de Médée" de Dario Fo au théâtre de la Commune, j'ai eu du mal à la reconnaître dans cet autre rôle de mère tragique où son jeu se limite à une crispation de mâchoires permanente.

    Gérard Meylan est tout aussi inexpressif (sur l'affiche, je l'avais confondu de loin avec le Professeur Rogue !), et Jean-Pierre Darroussin semble frappé de bipolarisme, oscillant constamment entre l'exaltation et la déception amoureuse. Les personnages sont encombrés de traits de caractère caricaturaux et prévisibles, et le tout est baigné, particulièrement sur la fin, de dialogues du genre "A quoi ça sert de vivre ?".

    Etrangement, même si on reconnaît ça et là quelques arrière-plans marseillais ou aixois comme la Sainte-Victoire ou la Place des 3 Ormeaux, la spécificité phocéenne si prégnante dans la plupart des autres films de Guédiguian ne se fait pas particulièrement sentir ; "Lady Jane" aurait été tourné à Bordeaux ou à Strasbourg que cela n'aurait pas changé grand chose. Dans un genre et un registre où on le sent mal à l'aise, après des escapades parisiennes et arméniennes plutôt réussies, Robert Guédiguian a clairement raté son retour à Marseille. Un coup pour du beurre ?
    http://www.critiquesclunysiennes.com
    selenie
    selenie

    6 241 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 avril 2008
    1 étoile et je suis gentil... J'adore trop Darroussin !
    Le polar est très noir et l'ambiance seventies où 3 potes se retrouvent pour le pire est très réussies mais lse acteurs n'ont pas l'air vraiment à l'aise. Gérard Meylan se demande toujours si il est bien (il faut jouer les durs sans en fare des tonnes, ça marche 1 fois sur 2) et Ariane Ascaride est carrémet improbable est en braqueuse et tueuse... Sans compter les mini-intrigues sans réelle utilité.
    Guédiguian ne m'a jamais épater mais là il faut qu'il retourne à ses films sociaux à terroir provençal.
    ffred
    ffred

    1 698 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2008
    Les trois seuls films de Guédiguian que j'avais vu (A la vie à la mort, Marius et Jeannette et Le promeneur du champ de Mars) ne m'avaient pas vraiment emballé. Mais un début de bon bouche à oreille, malgré une bande-annonce pas très accrocheuse, m'a poussé à aller voir son dernier opus. Grand bien m'en prit car Lady Jane est une excellente surprise et j'ai été scotché au siège pendant 1h40. En s'attaquant au polar, le metteur en scène marseillais signe un film fort, dur, noir. Tous les codes du genre sont réunis, dans un scénario écrit au couteau, qui dès les premières minutes intrigue, étonne, et offre une scène choc, terrible à glacer le sang, qui nous emporte définitivement en nous liant au destin de cette femme que son passé rattrape tout d'un coup sans prévenir. L'histoire en devient alors passionnante et l'on suit les prérégrinations du trio d'amis avec intérêt et curiosité. La mise en scène à la hauteur de l'histoire, alliée à ce scénario, nous fait bien comprendre les raisons qui les poussent à agir ainsi, sans les juger, mais sans nous les faire aimer ou détester non plus particulièrement. On pourrait dire que le film manque de chaleur humaine et d'humour, mais le récit ne porte pas vraiment à cela, le thème ici est une vraie histoire triste, une histoire de vengeance et de rédemption. Le tout est donc totalement cohérent. Le trio d'acteurs, fidèles, famille du metteur en scène est parfait. Ariane Ascaride très digne, sobre, belle, incarne à merveille cette héroïne sombre, à qui le pire arrive au moment où elle s'y attend le moins. Robert Meylan et surtout Jean-Pierre Darroussin sont aussi très bien, rien à dire.N'allez donc pas voir Lady Jane pour vous détendre ou pour rire un peu ! Car ce très beau film, très bien écrit, mis en scène et interprété, est une histoire sombre, dure, amère, implacable. C'est aussi un film sur le passé, sur les illusions perdues, sur l'amour déçu, sur la mort et l'absence plus fortes que tout. L'antithèse des Ch'tis quoi !
    velocio
    velocio

    1 303 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2008
    Dans une interview au Nouvel Obs, Robert Guediguian affirme que "Lady Jane" est le premier film qu'il fait sans savoir ce qu'il veut dire. "Je dirais que j'ai réalisé le film pour savoir ce que je voulais dire", rajoute-t-il. Comme, dans la suite de l'interview, il ne nous dit pas s'il sait, dorénavant, ce qu'il voulait dire, on se sent obligé de le rechercher nous-mêmes. Personnellement, j'ai deux pistes. Piste 1 : il a voulu stigmatiser les protagonistes du conflit israëlo-palestinien. Cf. le thème de la vengeance à répétition qui n'aboutit à rien, sauf à l'accumulation de cadavres + le documentaire qui passe à la télé lors de la scène avec Henri/Jacques Boudet. Piste 2 : il est toujours difficile de rester fidèle à ses rêves de jeunesse. René, François et Muriel, qui formaient un trio de gangsters Robin des Bois 20 ans auparavant, ont emprunté ensuite des chemins fort différents. On peut se demander vers lequel des 3 personnages et vers lequel des 3 chemins vont les sympathies de Guediguian. A priori, aucun. Avec sans doute, une petite préférence pour François/Darroussin. Pour nous raconter tout cela, Guediguian a choisi le polar. En l'occurrence, un polar très, très noir, la plupart du temps parfaitement maîtrisé dans la mise en scène et le montage, surtout au début. A titre anecdotique, on peut reprocher une grosse boulette à la presse et une autre à Guediguian : toute la presse raconte que le trio de gangsters Robin des Bois opérait à l'époque où les Rolling Stones chantaient "Lady Jane", ce qui donne 1966. Le reste du film se passe pendant l'hiver 2007 (cf. Les billets de concert que Muriel prend dans une enveloppe au milieu du film : il est indiqué février 2007). Pour diverses raisons que je ne peux expliciter ici sans nuire au suspense, ces 40 ans de différence ne sont pas possibles ! Comme est impossible en plein hiver la présence d'arbres de Judée en fleur lors de la séquence de la sortie de l'hôpital !
    Stephenballade
    Stephenballade

    396 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 août 2018
    Personnellement, j’ai découvert Robert Guédiguian à travers "La villa". Ce film m’avait laissé admiratif devant la capacité du cinéaste à ouvrir une fenêtre de vie sur des personnages lambda, un peu comme si le réalisateur avait réussi à se faufiler dans la vie privée de ces gens sans qu’ils ne s’en aperçoivent ou mieux, comme si ceux-ci n’avaient que faire de la présence de la caméra en continuant à s’adonner à leur quotidien, intime ou pas, sans masque. Le trio fétiche du cinéaste sait évoluer avec tant de naturel qu’il n’est pas étonnant de retrouver les trois acteurs que sont Ariane Ascaride, Gérard Meylan et Jean-Pierre Darroussin, encore une fois en tête d’une affiche « made in Guédiguian ». Concernant le naturel, c’est ce que j’ai pensé lors de la première partie de "Lady Jane". Oui Guédiguian a son style qui lui est propre, et il faut admettre que son travail est d’une grande sobriété. Tenez, par exemple : la musique… On ne peut pas dire que la musique soit omniprésente dans ses films. C’est certes assez spécial mais que ça plaise ou non, j’y vois deux avantages. En tout premier lieu l’authenticité du récit, et ensuite c’est assez prenant. Voire immersif. Mais à cela on peut opposer deux inconvénients : la lenteur et, de ce fait, la possibilité de laisser l’ennui s’installer, voire même de bercer les paupières jusqu’à ce qu’elles baissent le rideau complètement. Eh bien toutes ces caractéristiques, nous les retrouvons dans "Lady Jane". A la différence près que les personnages ne sont pas cette fois des personnes lambda. Là-dessus, je ne peux vous en dire davantage, sinon, j’enlèverai une grande partie d’intérêt. Encore que le synopsis présenté par Allociné en dit beaucoup trop, mais alors vraiment beaucoup beaucoup trop. Alors si vous pouvez éviter d’y jeter un œil… Pardon ? C’est trop tard ? Raaaa c’est dommage parce que "Lady Jane" fait partie de ces films dont il ne faut rien savoir avant de le visionner. Parce qu’à travers l’écriture de ses personnages, que je qualifie d’excellente, il nous amène justement à découvrir ces personnages jusque dans leur passé. Ici, il a toujours su révéler en temps et en heure tout ce dont le spectateur a besoin de savoir. Et même, il sera impossible à ce dernier de ne pas être interloqué, choqué, abasourdi par la tragédie d’une rare barbarie. Et malgré l’ambiance délétère que la situation a engendré, malgré des personnages qui ne causent pas plus que ça, Guédiguian a su si bien manier à la fois le drame, le mélodrame, le policier et le thriller sans jamais perdre l’équilibre et basculer vers l’un ou l’autre, que le spectateur a fatalement envie de savoir quel est le fin mot de l’histoire. Et quand enfin il le connait, il est curieux de voir jusqu’où tout cela va aller. C’est magnifiquement noir, c’est tendu à souhait. Rien que pour ça, ce film est une éblouissante réussite. Seulement voilà : alors que je me préparais à donner une très bonne note, les dix dernières minutes ont tout balayé. Dix minutes décevantes, où la machine s’est déréglée d’un seul coup : arf ! le grain de poussière de trop apporté par une école désaffectée. Le twist final peu crédible, le jeu de Jean-Pierre Darroussin qui sonne tout à coup faux… C’est rageant tout de même de tout gâcher de la sorte ! Mais que s’est-il passé ?
    Jérôme H
    Jérôme H

    169 abonnés 2 295 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2008
    Très bon polar qui mélange habillement un esprit de vengance et des anciens truands (repentit) mais devant vivre avec les conséquence de leurs actes. Superbe
    Les meilleurs films de tous les temps
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