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    L'Appât
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    shmifmuf
    shmifmuf

    178 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2013
    Ce film dérangeant est l'occasion pour Bertrand Tavernier de montrer de la façon la plus naturelle, et par conséquent violente, des actes atroces commis par des jeunes sans repère qui n'ont aucune conscience de la cruauté de leurs actes.
    Marie Gillain est désarmante de sincérité dans ce rôle abject où son personnage ne fait plus la différence entre réalité et fiction.
    Laurent H
    Laurent H

    44 abonnés 1 016 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2010
    C'est réaliste , c'est violent mais on y crois .
    evariste75
    evariste75

    151 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 mars 2023
    Film magnifique que j'ai vu au moins 3 fois... la première fois à Grenoble en 1995... Marie Gillain est incroyable de naïveté et de candeur... Richard Berry est très convaincant quand il plaide pour sa vie... Les méfaits du bling bling sur la jeunesse...
    justineg
    justineg

    59 abonnés 906 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Sans aucune hésitation, le meilleure rôle de Marie Gillain, elle incarne à la perfection le personnage de Nathalie. De même, Bruno Putzulu et Olivier Situk jouent très bien. Le film est très bien réalisée, il raconte une histoire vraie très choquante et l'adaptation est très réussie.
    brianpatrick
    brianpatrick

    83 abonnés 1 603 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2020
    Un chef d’œuvre. L’appât, c’est un très grand film de Bertrand Tavernier. Des rôles superbement bien interprétés. Une histoire très originale, enfin une histoire tirée d'une histoire vraie, j'oubliais.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    236 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 février 2009
    Reconnu, grâce à son Ours d’or au festival de Berlin, comme l’un des meilleurs films de son auteur, «L’Appât» (France, 1995) de Bertrand Tavernier ambitionne, derrière sa modeste mise en forme, de brosser le portrait d’une jeunesse gavée d’images, «enfants de Coca-Cola et de Marx» comme disait Godard, fils de la société du spectacle. Un groupe d’amis composés de deux jeunes hommes et d’une fille fomentent un coup pour pouvoir voler de l’argent aux bourgeois parisiens. Très vite, le film de Tavernier découpe le monde entre les grands riches et les petits pauvres, obligés de vivre à trois dans un appartement désordonnée où semble tourner en boucle «Scarface» de DePalma. Entre les deux, le scénario semblent ne rien considérer. Ce principe d’exagération est une récurrence du cinéma de Tavernier, elle permet de souligner le point de vue de l’œuvre et d’en exposer la thèse. Pourtant «L’Appât» est loin d’être un film à thèse. Comme toujours chez Tavernier, le personnage, l’humain dont il se fait l’image prime sur l’intrigue, sur le monde qu’il habite. Synecdoque de la société, le personnage éveille les maux d’un pays et saillit les pulsions qui le menace. «L’Appât» esquisse une jeunesse, et par extension un avenir, régi par le monde des images, gouverné par un modèle fictionnel dicté par des films. Et comme le film, comme la télévision, comme tout régime moderne d’images, cette jeunesse se fait l’outil d’une économie immoraliste, où un être en vaut un autre. Preuve en est Nathalie, innocente jeune femme manipulée par son petit ami Eric, qui sert de leurre aux bobos parisiens pour que ses amis leur extorquent leurs biens. L’Autre, sous l’impulsion d’une surconsommation des images, devient un objet, une fonction dans l’arithmétique du désir. Le désir et sa déraison, leur dispersion dans la société est un risque que dénonce Tavernier. Inspirée de faits réels, l’intrigue ne saurait être considéré comme une surestimation du pouvoir des images.
    Ezri L.
    Ezri L.

    50 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2007
    A la manière du générique de début où apparait le titre du film et, qui n'est pas sans rappeler le travail de Saul Bass pour "La mort aux trousses" de Hitchcock, les trois protagonistes vont tisser un entrelacs inextricable de causalités (méfaits anodins qui prendront de plus en plus d'ampleur) qui les mèneront vers leur inexorable perte sans qu'ils en prennent réellement conscience.

    En dressant le portrait de trois jeunes ni bons ni mauvais (interprété avec brio par son trio de comédiens), baignant dans un marasme d'inculture (ou plutôt de "sous-culture") désolant et pour lesquels dénommer la France "L'hexagone" est déjà un signe de snobisme intellectuel, Bertrand Tavernier, visionnaire, dépeint une génération toute entière en manque évident de repères solides et d'éducation, dévorée d'ambition, de rêves de richesse mais qui préfèrent les chemins de traverse de la facilité pour les réaliser... Des adulescents un peu déconnectés d'une certaine réalité par l'omniprésence latente de la télévision, creuset intarissable de réalités virtuelles et enjolivées où le jeu et/ou la violence apparaissent comme autant de moyens de parvenir à ses fins. Ce portrait sonne d'autant plus juste et troublant aujourd'hui, dix ans plus tard, tant ce phénomène s'est accru de manière inquiétante auprès de la jeunesse.

    Plutôt que de se livrer à une reconstitution minutieuse du fait divers dont il s'est inspiré, le réalisateur s'attarde à décortiquer la vie de ses personnages extraordinairement banals (donc humains), leurs motivations, leurs conflits (internes et externes), le tout sans psychologisme pesant, faisant ainsi de "L'appât" un film à la fois simple et complexe, lucide et sombre, touchant et dérangeant (sans jamais tomber dans la complaisance de la provocation glauque), beau et effrayant. Très bon, en définitive.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 324 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mai 2020
    Printemps 2020. C'est le confinement. Plus rien qui sort au cinéma.
    Ne reste donc pour se faire plaisir que les bons vieux classiques...
    « L'Appât », pour moi, c'était un bon vieux classique des années 1990. Alors du coup je me le suis rematé en pensant passer un bon moment.
    Et c'est alors que j'ai (re)découvert ce que ça pouvait (aussi) signifier un classique à la française...
    A mes dépends...

    Car regarder « l'Appât » c'est d'abord retrouver les charmes des génériques moisis habillés par des musiques du pauvre. (Mais bon allez... Passons.)

    Regarder « l'Appât » c'est ensuite se consterner face à l'incroyable fadeur de la mise en scène.
    Cadres sans inspiration. Caméras au poing qui s'agitent pour rien, juste pour essayer de cacher une misère pourtant évidente à chaque plan. Coupes arbitraires ne respectant ni les espaces ni les dynamiques.
    Au mieux c'est du désintérêt pour la forme. Au pire c'est une absence presque totale de sensibilité.

    Et je pourrais rajouter à ça une bande originale assez immonde, souvent inappropriée, aléatoire et en plus de ça régulièrement coupée à la machette. Une photo absolument dégueulasse en début de film avant de devenir convenable sur la fin (un grand classique en France : les équipes qui se rôdent pendant le tournage moi je trouve ça juste hallucinant d'amateurisme.) Et enfin une gestion du rythme assez lamentable mais sur laquelle je ne vais pas m'attarder plus que de raison puisque cette tare est essentiellement conditionnée par ce qui est à la fois le coeur de ce film mais aussi sa principale faiblesse : L'ÉCRITURE.

    Ah ça !
    L'écriture dans « l'Appât » c'est tout un art !
    C'est même surtout tout un artifice au sens (malheureusement) le plus péjoratif du terme.
    Car en soi un artifice n'est pas un problème dans une oeuvre. S'il parvient à faire illusion alors c'est qu'il joue pleinement son rôle au sein de la démarche artistique de l'auteur. Seulement ce n'est clairement ce qui se passe à l'écran avec l'écriture de « l'Appât ».

    Ce qu'il y a d'assez affligeant dans cette écriture c'est qu'elle est terriblement paresseuse.
    D'abord elle s'attarde longuement à définir les personnages avant de lancer quoi que ce soit. On les présente un à un. On les nomme à tour de rôle. On leur fait papoter dans le vent pendant un petit moment histoire qu'ils expliquent didactiquement leur fonction dans le récit ainsi que les traits qui les caractérisent. Et au cas où on aurait pas compris, on repète ad nauseam ce qui a pourtant déjà été dit et redit ! Ah ça on le saura que Nathalie a des rêves de carrière, de paillettes et de richesse tandis qu'Eric est un gars qui veut faire fortune mais qui ne tire ses certitudes que de ces vilains films américains ! Et ensuite, une fois que je t'ai bien barbé avec ça, vas-y que je te déroule laborieusement les péripéties qui ne font que refaire et redire sans cesse la même chose !
    Un bien terrible bilan au fond, surtout quand on comprend que « l'Appât » est avant tout un film écrit. Et quand je dis ça - encore une fois malheureusement - c'est à prendre au sens le plus péjoratif du terme.

    Car écrire un film, ça peut vouloir dire plein de choses. On peut très bien écrire un film sans dialogue. On peut très bien ne l'écrire qu'au storyboard. On peut même carrément écrire un film rien qu'en tournant et en montant.
    Mais ce n'est pas ça l'écriture selon « l'Appât ».
    Non car voir « l'Appât » c'est surtout voir une certaine pratique du cinéma français. Une culture de l'écriture presque exclusivement verbeuse.

    C'est bien simple, lire le script de « l'Appât » c'est voir « l'Appât ».
    La mise en image n'apporte rien.
    La mise en mouvement n'apporte rien.
    Ce n'est que de l'illustratif.
    Au mieux c'est un truc qu'on affiche là pour faire joli. Au pire c'est un format qui nous encombre et dont il faut bien essayer de faire quelque-chose.

    Et d'ailleurs tout ce rapport futile au cinéma qu'a ici Bertrand Tavernier pourrait se cristalliser en une seule composante de ce film : Marie Gillain.

    Marie Gillain, dans ce film, elle est juste là pour faire jolie. Pas une occasion n'est manquée pour qu'on nous la montre en petite culotte, seins nus.

    Exemple : le personnage de Nathalie rentre à la maison et son mec se regarde « Scarface » à la téloche avec un pote. Question : est-ce que Nathalie va attendre pour se changer ? Est-ce qu'elle va aller dans la salle de bain pour se changer ? Bah non ! Allez hop ! Petite culotte, seins nus ! Et vas-y que je me dandine partout dans la pièce ! Que je montre en permanence mon petit cul bien moulé !
    NORMAL !

    Nathalie, dans ce film, on la voit se changer tout le temps ! On la voit prendre ses bains. On la voit se faire peloter ou se faire désapper en permanence !
    C'est tellement gros que ça en devient risible.
    Par exemple, à un moment il y'a une scène d'interrogatoire dans un commissariat. Vous pensez que Bertrand Tavernier ne parviendra pas à trouver d'occasion pour mettre Nathalie en petite culotte, seins nus ?
    Détrompez-vous !
    « Bon, tes réponses à mes questions ne me plaisent pas trop ma petite ! Allez hop envoyez là moi à la fouille au corps ! »
    Et bien évidemment on ne loupera de ladite fouille, absolument essentielle au déroulement de l'intrigue...

    Alors voilà, c'est ça le rapport à l'image chez Tavernier. C'est juste afficher un joli corps pour faire cache-misère et jouer deux trois fois avec des miroirs et autres reflets. C'est tout. C'est triste.

    Alors après, du coup, forcément je trouve ça quand même assez culotté de venir se moquer des répliques de « Scarface », du budget de « Terminator 2 » ou bien encore d'une sorte de culture de la violence et de l'abrutissement véhiculée par le cinéma de nos voisins d'outre-Atlantique. Car en ces temps de confinement et de retour aux classiques, le verdict est quand-même sans appel.
    D'un côté on a beau avoir des films testosteroneux, tape-à-l'oeil et complaisants avec la violence, il n'empêche qu'ils ont pour eux le fait de savoir solliciter avec maîtrise et avec aisance tous les arts et techniques qui font la richesse et la puissance du cinéma. On a des oeuvres qui ne vieillissent pas ; sachant rendre honneur à leur époque et à leur patrie. Et de l'autre côté, qu'a-t-on avec cet « Appât » ? De l'intrigue paresseuse mise en image d'une manière tristement pauvre et qu'une actrice bien roulée essaye d'égayer en montrant de temps en temps ses nichons.

    Alors bon...
    Forcément après une pareille peinture je devrais me montrer sans pitié ni remords face à ce piètre « Appât »... Et pourtant je lui concède tout de même à ce film une petite étoile.
    Pourquoi ?
    Eh bien tout simplement parce « l'Appât » n'est pas le pire dans son genre.
    Parce que dans toute la flopée de classiques et autres déclinaisons produits par notre cinéma hexagonal, il est presque au-dessus du lot.
    A côté d'un Larrieu, d'un Dardenne ou d'un Brizé, je crois que je préférerais encore me farcir un Tavernier...

    Comme quoi, au fond, en France, on n'a que les classiques qu'on mérite...
    ...Confinement ou pas.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 août 2012
    Un Ours d'or français, c'est si rare. Prometteur, et pas inintéressant, mais pas inoubliable non plus.
    Caine78
    Caine78

    6 657 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2015
    Dans le genre fait divers sordide adapté au cinéma, je demande « L'Appât ». La grande force du film de Bertrand Tavernier est d'avoir su transformer des personnages a priori abjects en voyous presque sympathiques, en définitive plus dépassés par les événements qu'ouvertement sadiques. Le fait d'y avoir intégré un fort ancrage social ne fait que renforcer ce sentiment, à travers une époque où la jeunesse commençait à ne plus croire en rien, déjà marquée par le chômage et la pauvreté, omniprésents. Ce n'est pas une œuvre réellement aimable ou plaisante, mais c'est une œuvre forte, souvent captivante et remarquablement construite, faisant preuve d'une très grande acuité psychologique pour ses trois héros, brillamment interprétés (mention spéciale à Marie Gillain, exceptionnelle). C'était probablement la période la plus riche du cinéaste, et « L'Appât » en est une nouvelle démonstration de force.
    DarioFulci
    DarioFulci

    101 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2011
    Un fait divers symptomatique d'une société bercée d'illusions et sans conscience des réalités. Bertrand Tavernier comme à son habitude transcende le sujet pour lui donner un écho tout particulier. Plus de vingt ans après les faits, plus de 15 ans après le film, le sujet est plus que jamais au plus près d'une certaine réalité. Réussir est toujours un objectif. Mais la façon d'y parvenir doit être la plus simple possible. N'idéalisent-ils pas Tony Montana ? Les USA les font rêver, s'y rendre sera déjà un succès. Le premier de leur réussite, forcément. Quitte à ce que cela se fasse aux dépens des autres. Des rêves illusoires que l'on prend pour des réalités à portée de mains. L'héroïne n'a pas peur de renier sa dignité, elle ne se pose même pas la question, puisque la réussite de ses objectifs disproportionnés est à la clé. Et s'il y a des victimes, ce n'est pas si important. Sa vie précaire ne tourne qu'autour de combines tout aussi précaires censés lui ouvrir les portes de la gloire et de la richesse. De l'inconscience qui se conjugue à celle de deux jeunes paumés. La scène finale met en relief le cheminement du drame: sans se rendre compte des évènements, déconnecté de la réalité, on se dit que ce n'est pas grave.
    Akamaru
    Akamaru

    3 075 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    Bertrand Tavernier s'inspire d'un fait divers sordide pour établir une observation fine et pessimiste de la jeunesse génération 1995,en mal de repères et d'idéaux."L'Appât",de teneur réaliste,est impressionnant,d'abord car il confronte des jeunes paumés à leur inconséquence,et à leurs actes.La fille du trio séduit les bobos parisiens,puis les 2 hommes interviennent masqués pour les dévaliser.Leur inexpérience pour le vol leur vaut d'être entraînés dans une spirale infernale,qui ne peut que mal finir.Pour Tavernier,le coupable n'est aucun de ces 3 là,mais la société moderne,aux images télévisuelles dévastatrices,à l'idéalisation du fric et de l'apparence.Le scénario de qualité,s'attelle à une inspection en profondeur des conditions de vie de ces 3 jeunes,au profil qu'on pourrait penser éloigné des assassins.Marie Gillain,femme-enfant candide,impulsive,immature,respire la fougue de ses 18 ans,et les prestations d'Olivier Sitruk et Bruno Putzulu sont également étonnantes.La démonstration,légèrement réactionnaire(une habitude chez Tavernier),trouve son émotion dans une réalité sans fard.Ours d'or à Berlin 1995.
    cylon86
    cylon86

    2 495 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2011
    Un film qui marque les esprits par la violence de son sujet mis en scène avec brio par Bertrand Tavernier. Le scénario est parfaitement écrit mais ce sont les acteurs qui ont la part belle, chacun étant habité par son rôle dont Olivier Sitruk, bluffant et imprévisible et Marie Gillain, exceptionnelle. Très grand film, à la fois drame poignant et film noir glaçant.
    Keith Barrett
    Keith Barrett

    21 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 février 2014
    Violent,dérangeant! Voilà le bon film français par excellence ! Tavernier au meilleur de sa forme !
    Marie Gillain est, comme à son habitude, parfaite, et Olivier Sitruk, avec qui j'ai eu l'honneur de converser en étant allé le voir pour une pièce de théâtre sur Colombo et dont j-ai l'autographe, est très bon dans ce rôle de jeune looser digne d'un Patrick Dewaere!
    Film à voir et à revoir !!!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 décembre 2007
    Sans conteste le meilleur rôle de Marie Gillain. Ce film apparement banal lui permet d'exprimer son talent et plus largement d'exposer une histoire diaolique. Une descente aux enfers progressive, glaçante. Le pire est que les jeunes personnages atteignent le point de non retour sans s'en rendre compte. Tavernier signe selon moi un de ses meilleurs films. La fin est particulièrement effrayante. Remarque: Les autres rôles ne sont pas en reste, nous à faire à Sitruk, Putzulu, Berry, tous trois en grande forme.
    Les meilleurs films de tous les temps
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