Mon compte
    5 courts grâce à Format Court ce soir aux Studio des Ursulines

    Comme à l’accoutumée, le site Internet passionné de courts métrages www.formatcourt.com squatte le mythique Studio des Ursuline pour une soirée riche en films courts. Au programme, ce jeudi, du neuf et du moins neuf, du noir et du blanc, du muet et du parlant. Du cinoche, quoi.

    Les soirées Format Court continuent à vous faire découvrir la crème du court métrage grâce à leur sélection mensuelle, dévoilée en présence des équipes de tournage. La diversité est à l’honneur, aujourd’hui, car les films dévoilés seront très différents. De l’animation venue d’Amérique Latine avec L' emploi (El empleo) (prix Fipresci du festival d’Annecy en 2009), de l’expérimental made in France avec La maladie blanche (prix Format Court au Festival de Vendôme 2011, Grand Prix Côté Court), ou encore du cinéma de patrimoine avec Buster Keaton et La maison démontable (One Week). Le grand acteur américain ne sera pas de la partie, retenu depuis cinquante ans dans sa tombe de Burbank. Attention : Vergine Keaton, la réalisatrice de Je criais contre la vie, ou pour elle n’est pas la sœur de Buster !

    Voici les cinq films qui vous seront proposés ce soir au Studio des Ursulines (75005), à 20h :

    La maladie blanche de Christelle Lheureux (2011) : Un soir de fête dans un village isolé des Pyrénées. Un père et sa fille de cinq ans, Myrtille. Des adolescents, un chasseur, un berger, des lucioles, des brebis et des chats. Un monde nocturne où des histoires d’ombres chinoises, de miroir magique et de peintures préhistoriques s’entremêlent.

    L' emploi (El empleo) de Santiago "Bou" Grasso (2008) : Un homme, en chemin vers le travail, est plongé dans un monde où l’utilisation de gens en tant qu’objets fait partie du quotidien.

    Choros de Michael Langan et Terah Maher (2011) : Une danseuse donne vie à une ribambelle de figures féminines dans ce “pas de trente-deux” surréaliste.

    Je criais contre la vie, ou pour elle de Vergine Keaton (2009) : Dans une forêt, un troupeau de cerfs se retourne contre la meute de chiens qui le poursuivait jusque-là. De cette étrange course naissent des paysages s’élevant du sol.

    La maison démontable (One Week) de Buster Keaton et Edward F. Cline (1920) : Buster, en cadeau de mariage, reçoit une dizaine de caisses contenant une maison préfabriquée. Un rival dépité intervertit les numéros de toutes les caisses, vouant l’assemblage des pièces à l’échec.

    Gauthier Jurgensen avec www.formatcourt.com

    FBwhatsapp facebook Tweet
    Commentaires
    Back to Top