Quand on part en week-end.
(Merlin, à Perceval et Karadoc.)
Quand on se fait insulter.
(Guenièvre, à Arthur.)
Quand on a un peu de mal à y croire.
(Séli, à Guenièvre, lorsque cette dernière lui dit que Bohort a une femme.)
Quand on cherche à attirer l'attention.
(Yvain, à ses parents, évoquant l'écharde plantée dans la main de son ami Gauvain.)
Quand on dit ce qu'on pense.
(Karadoc, après avoir goûté le pain de Guéthenoc en sa présence.)
Quand on dramatise un peu.
(Léodagan, à Bohort.)
Quand on dit ce qu'on pense, deuxième volet.
(Léodagan, au sujet de l'association entre Yvain et Gauvain.)
Quand on est fatigué d'essayer de comprendre.
(Arthur, à Perceval, au bout d'une interminable discussion dépourvue du moindre sens.)
Quand on sent bien qu'il y a un truc qui ne va pas, mais qu'on n'est pas trop sûr quand même...
(Perceval, à Arthur, sans être vraiment certain de savoir ce qu'il lui demande.)
Quand on cherche à impressionner.
(Loth, face à ses alliés.)
Quand on n'est pas très littéraire.
(Léodagan, à l'assemblée des rois.)
Quand on est incompris.
(Kadoc, de temps en temps, on ne sait pas trop pourquoi.)
Quand on a des revendications.
(Perceval et Karadoc, devant la chambre d'Arthur, en pleine nuit.)
Quand quelqu'un vient de critiquer notre régime alimentaire.
(Le maître d'armes, à Arthur.)
Quand on n'a pas tout pigé.
(Perceval, lorsqu'il ne comprend pas le sens d'un mot, c'est-à-dire assez souvent.)
Quand on reprend des frites.
(Karadoc, à Arthur, après avoir fermement désapprouvé le régime alimentaire spartiate du maître d'armes.)
