La folie Goldorak
Goldorak est diffusé pour la première fois en France le lundi 3 juillet 1978 sur Antenne 2 dans l'émission Récré A2. Son succès immédiat préfigure ainsi l'arrivée d'une nouvelle génération de téléspectateurs amateurs d'animation japonaise. Dans un article intitulé " La folie Goldorak" (janvier 1979), le journal Paris Match parlait même de "nouveau messie des enfants français", et le début d'une toute nouvelle ère, faite d'amour, de paix... et de robots !
Frais de diffusion à moindre coût
Parce que les animés étaient alors totalement inconnus en dehors des frontières du Japon, le faible coût de leur droits de diffusion permettaient aux chaînes françaises de compléter leurs grilles à moindre frais. Mais personne ne s'attendait alors à ce que cette solution économique connaisse un succès phénoménal d'une telle ampleur.
Un compositeur prestigieux
La musique de Goldorak est l'oeuvre de Shunsuke Kikuchi, un compositeur emblématique à qui l'on doit également les bandes-originales des séries d'Akira Toriyama Dr. Slump et Dragon Ball Z, du Collège fou, fou, fou ou encore de la chanson Urami-Bushi (issue du film La Femme scorpion) reprise en 2004 par Quentin Tarantino dans Kill Bill volume 2.
Plus populaire en France qu'au Japon
Etonnamment, Goldorak est bien plus populaire en France qu'au Japon, son pays d'origine. Selon son créateur Go Nagai, ce succès s'explique par le fait que les téléspectateurs français ne connaissaient pas Mazinger Z et sa suite Great Mazinger au moment où Goldorak a été diffusé, mais aussi parce que le public nippon n'a pas accepté que le très populaire personnage d'Alcor soit relégué au second plan dans cette nouvelle série.
Inspiré par une voiture
Passionné par les films de monstres géants tels que Godzilla et King Kong, mais également par le manga visionnaire Astro Boy, Go Nagai a trouvé l'inspiration dans un embouteillage, alors que sa voiture était à l'arrêt; laissant vaquer son imagination, le mangaka avait alors imaginé des bras et des jambes pousser sur l'un des véhicules pour lui permettre de quitter l'autoroute. Cette vision lui a ainsi donné l'idée de base de la série Mazinger Z, prolongée ensuite avec Goldorak.
"À cinq ans seul avec Goldorak"
En 1981, l'essai À cinq ans seul avec Goldorak de la psychologue Liliane Lurçat critique ouvertement l'influence de Goldorak sur la jeunesse, reprochant notamment à l'animé sa violence. Quelques années plus tard, la présentatrice Dorothée était surnommée "Goldorothée" par le magazine Télérama dans un article hostitle intitulé "L'Odyssée du lisse."
Goldorak au service de la police
Goldorak a donné son nom aux girophares posés sur les voitures de la police française.
Go Nagai fan de Pacific Rim
Interrogé sur l'hommage qui l'a le plus touché au fil des années, Go Nagai a révélé avoir particulièrement aimé Pacific Rim, dont le réalisateur Guillermo Del Toro est justement un immense admirateur d'animés japonais, et notamment des séries Mazinger Z et Goldorak.
Grendizer devient Goldorak
Son nom japonais (Grendizer) n'évoquant pas grand chose au public français, la série a été rebaptisée Goldorak, combinaison des mots Gold (en hommage au film Goldfinger) et Rak, d'après le célèbre héros Mandrake du Journal de Mickey.
La folie Goldorak
Goldorak est diffusé pour la première fois en France le lundi 3 juillet 1978 sur Antenne 2 dans l'émission Récré A2. Son succès immédiat préfigure ainsi l'arrivée d'une nouvelle génération de téléspectateurs amateurs d'animation japonaise. Dans un article intitulé " La folie Goldorak" (janvier 1979), le journal Paris Match parlait même de "nouveau messie des enfants français", et le début d'une toute nouvelle ère, faite d'amour, de paix... et de robots !
Frais de diffusion à moindre coût
Parce que les animés étaient alors totalement inconnus en dehors des frontières du Japon, le faible coût de leur droits de diffusion permettaient aux chaînes françaises de compléter leurs grilles à moindre frais. Mais personne ne s'attendait alors à ce que cette solution économique connaisse un succès phénoménal d'une telle ampleur.
Un compositeur prestigieux
La musique de Goldorak est l'oeuvre de Shunsuke Kikuchi, un compositeur emblématique à qui l'on doit également les bandes-originales des séries d'Akira Toriyama Dr. Slump et Dragon Ball Z, du Collège fou, fou, fou ou encore de la chanson Urami-Bushi (issue du film La Femme scorpion) reprise en 2004 par Quentin Tarantino dans Kill Bill volume 2.
Plus populaire en France qu'au Japon
Etonnamment, Goldorak est bien plus populaire en France qu'au Japon, son pays d'origine. Selon son créateur Go Nagai, ce succès s'explique par le fait que les téléspectateurs français ne connaissaient pas Mazinger Z et sa suite Great Mazinger au moment où Goldorak a été diffusé, mais aussi parce que le public nippon n'a pas accepté que le très populaire personnage d'Alcor soit relégué au second plan dans cette nouvelle série.
Inspiré par une voiture
Passionné par les films de monstres géants tels que Godzilla et King Kong, mais également par le manga visionnaire Astro Boy, Go Nagai a trouvé l'inspiration dans un embouteillage, alors que sa voiture était à l'arrêt; laissant vaquer son imagination, le mangaka avait alors imaginé des bras et des jambes pousser sur l'un des véhicules pour lui permettre de quitter l'autoroute. Cette vision lui a ainsi donné l'idée de base de la série Mazinger Z, prolongée ensuite avec Goldorak.
"À cinq ans seul avec Goldorak"
En 1981, l'essai À cinq ans seul avec Goldorak de la psychologue Liliane Lurçat critique ouvertement l'influence de Goldorak sur la jeunesse, reprochant notamment à l'animé sa violence. Quelques années plus tard, la présentatrice Dorothée était surnommée "Goldorothée" par le magazine Télérama dans un article hostitle intitulé "L'Odyssée du lisse."
Goldorak au service de la police
Goldorak a donné son nom aux girophares posés sur les voitures de la police française.
Go Nagai fan de Pacific Rim
Interrogé sur l'hommage qui l'a le plus touché au fil des années, Go Nagai a révélé avoir particulièrement aimé Pacific Rim, dont le réalisateur Guillermo Del Toro est justement un immense admirateur d'animés japonais, et notamment des séries Mazinger Z et Goldorak.
Grendizer devient Goldorak
Son nom japonais (Grendizer) n'évoquant pas grand chose au public français, la série a été rebaptisée Goldorak, combinaison des mots Gold (en hommage au film Goldfinger) et Rak, d'après le célèbre héros Mandrake du Journal de Mickey.