Kabaneri of the Iron Fortress : Unato Decisive Battle (13 septembre 2019)
De quoi ça parle ? Les combattants du train blindé Koutetsujou se joignent aux troupes fédérales pour reprendre Unato, une ville des Alpes du nord japonaises, infestée par les Kabane. Mais ces derniers ont un comportement étrange... Pourquoi on l’attend avec impatience ? Ce film est une suite directe de l’animé Kabaneri of the Iron Fortress : The Battle of Unato diffusé en 2016. Considéré comme "l'élément charnière" de l’univers, ce long-métrage a été très attendu par les fans du manga qui, déçus de la série, voyaient en ce projet, une façon de retrouver les qualités de l’œuvre originale. Pari réussi puisque le film (sorti au Japon en mai dernier) a été très bien accueilli, notamment grâce à une animation dite "remarquable" et un scénario plus travaillé. Netflix semble être du même avis puisqu’il le rajoute à son catalogue pour la rentrée 2019.
BEASTARS (octobre 2019)
De quoi ça parle ? Au sein de la pension Cherryton cohabitent en harmonie herbivores et carnivores. La consommation de viande est prohibée et les dortoirs sont séparés par régime alimentaire afin d'éviter toute tentation. Tout semble aller pour le mieux... mais chassez le naturel, il revient au galop ! Pourquoi on l’attend avec impatience ? Principalement pour son originalité indéniable et son scénario intriguant. Véritable OVNI littéraire de la sphère manga, BEASTARS met en scène une société entièrement régie par des animaux et aborde des thématiques fortes telles que la discrimination et le harcèlement. En plus d’être unique en son genre, cette adaptation peut se vanter d’être produite par les studios Orange, réputés pour la qualité de leur animation 3D.
High Score Girls II (octobre 2019)
De quoi ça parle ? Il s'agit de la saison 2 de l'animé High Score Girl. Pourquoi on l’attend avec impatience ? Après une fin de saison abrupte et pleine de suspense, High Score Girl revient enfin avec 12 nouveaux épisodes. Fort de ses personnages attachants et de sa superbe réalisation CGI, l’animé reprend la trame du manga d’origine de Oshikiri Rensuke, et se construit autour d’un univers culturel geek, qui saura ravir les amateurs du genre, comme les simples nostalgiques des années 90.
Levius (décembre 2019)
De quoi ça parle ? Toujours hanté par les fantômes de la guerre, le jeune Levius utilise son bras artificiel pour mener son combat dans l'univers brutal de la boxe mécanique. Pourquoi on l’attend avec impatience ? Adapté du manga éponyme en trois tome édités en France chez Kana, Levius est reconnu pour la beauté de ses dessins et la singularité de ses planches. Un challenge graphique qu’a choisi de relever le studio d’animation POLYGON PICTURES, à l’aide d’images de synthèse, pour son adaptation. Ajouté à cela un univers steampunk et la patte du réalisateur Seshita Hiroyuki, ce seinen est en phase de devenir le digne successeur du célèbre Ajin.
Dragon's Dogma (fin 2019)
De quoi ça parle ? Un homme cherche à détruire le dragon qui a massacré sa femme et son bébé à naître, mais plus il combat de démons, plus il perd son humanité. Pourquoi on l’attend avec impatience ? Si Dragon’s Dogma fait partie des rares à ne pas être tiré d’un manga ou d’un roman, il n’est pas une production originale non plus, puisqu’il est l’adaptation du jeu vidéo éponyme sorti en 2012. Ce concept signé CAPCOM (Street Fighter, Resident Evil) mêle RPG, action et fantasy. Avec ses quelques millions d’exemplaires vendu dans le monde suivant le mois de sa sortie, on ne peut qu’espérer une adaptation à la hauteur de ses critiques très positives et du Hall of Fame : Gold dont il a été récompensé.
Super Crooks (fin 2019)
De quoi ça parle ? Alors que la concurrence du métier de super-vilain devient de plus en plus en rude, Johnny et ses amis décident de partir en Espagne pour préparer un énorme hold-up. Cependant, les choses se compliquent lorsqu'il découvre que leur cible est en réalité le plus grand criminel de tous les temps. Pourquoi on l’attend avec impatience ? Super Crooks est l’alliance parfaite du 9e art anglais et du 7e art japonais. La BD d’origine s’arme déjà d’un duo de choc avec le scénariste Mark Millar (King’s Man, Civil War) et le dessinateur Leinil Francis Yu (New Avengers, X-Men), auquel vient s’ajouter le savoir-faire des studios Bones, pilier de l’animation (Fullmetal Alchemist : Brotherhood, My Hero Academia). Constitué uniquement de personnages anti-héros aux pouvoirs surnaturels, cet animé nous promet beaucoup d’action et de rebondissements.
Cagaster of an Insect Cage (fin 2019)
De quoi ça parle ? L'humanité est décimée par une maladie qui métamorphose la population contaminée en insectes avides de sang. Trente ans plus tard, deux jeunes luttent pour leur survie. Pourquoi on l’attend avec impatience ? S’il a d’abord été jugé pour son scénario dit « trop simple », le manga dont est tiré Cagaster of an Insect Cage a su trouver son public grâce à son design travaillé et ses personnages originaux. Deux points forts que l’on peut attendre de son adaptation, assurée par les studios Gonzo et dont les premiers visuels laisse présager une animation 3D. Son univers dystopique dans lequel un virus inconnu transforme les humains en insectes géants, n’est pas sans rappeler l’animé Black Bullet, également produit par Netflix en 2014.
EDEN (avril 2020)
De quoi ça parle ? Plusieurs milliers d'années après notre ère, dans une cité nommée « Eden 3 » et gérée par des robots, l'humanité n'est plus qu'un mythe. Mais un jour, deux robots fermiers réveillent accidentellement une petite fille de sa stase et décident de l'élever en secret à la campagne. Pourquoi on l’attend avec impatience ? Petite production de 4 épisodes seulement, cet animé original peut se vanter d’avoir un staff en or, autant qu’un synopsis unique en son genre. Son scénario de science-fiction, fait de robots et de cités mécaniques, contraste fortement avec ses premiers visuels, lisses et colorés : de quoi rendre ce projet encore plus intriguant. Sans doute porteur d’un message de tolérance, EDEN est l’un des rares à représenter la technologie comme étant l’ami de l’homme.
Ghost in the Shell SAC 2045 (courant 2020)
De quoi ça parle ? Motoko Kusanagi est une cyborg, membre d'une division des opérations clandestines de la Japanese National Public Safety Commission connue sous le nom de Section 9, l'unité spécialisée dans la lutte contre les crimes liés à la technologie. Pourquoi on l’attend avec impatience ? Après plusieurs films, jeux vidéos et romans, la saga Ghost in the Shell s’offre une quatrième série animée, cette fois-ci signée par les studios Production I.G et Sola Digital Arts. Bien que l’on ne sache pas encore si cet animé reprendra l’histoire du manga depuis le début, sa communauté de fans s’est déjà réunie autour de cette nouvelle adaptation et acclame le choix de l’illustrateur Russe, Ilya Kuvshinov, au graphisme des personnages. Netflix croit fort au succès de ce projet puisque deux saisons de douze épisodes chacune ont déjà été commandées.
7 seeds : partie II (prochainement)
De quoi ça parle ? Natsu, jeune fille timide, découvre qu'elle fait partie d'un groupe choisi pour assurer la survie de l'humanité sur une Terre qui a radicalement changé. Pourquoi on l’attend avec impatience ? L’histoire post-apocalyptique de 7 Seeds aura eu de quoi attiser l’intérêt d’un large public avec une première partie diffusée sur Netflix en juin dernier. Malgré un design critiqué, cette adaptation du manga plébiscité de Tamura Yumi propose un scénario bien construit qui n’a pas encore révélé tous ses secrets. Dans l’espoir d’obtenir des réponses aux questions laissées en suspens par cette fin de saison, et de voir les personnages évolués davantage, on peut espérer une deuxième partie courant 2020.