Once upon a time ...
La jeunette Britney Spears, en tête des hits parades mondiaux avec son tube "Baby, one more time", est courtisée pour être Alice dans le conte de l'écrivain anglais, Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles.
Ce sont les studios MTV films qui préparent ce projet d'adaptation musicale contemporaine du célèbre conte de Lewis Carroll. En enrôlant la nouvelle baby-doll de la pop américaine, ils espèrent attirer un public d'adolescent(e)s. Pour l'instant, aucun réalisateur ne s'est manifesté pour ce projet, qui est en cours d'écriture.
Ce serait la quatrième version ciné du conte, puisqu'il y eut trois longs métrages réalisés auparavant : un en 1933 par l'Américain Norman MacLeod, un second en 1948 par Dallas Brown (avec Carol Marsh et David Reed), le dernier en 1972 par le britannique William Sterling. Cette fois, il s'agirait d'une adatation plus moderne, certainement dans le style rock'n'roll déjanté de Roméo et Juliette de l'Australien Baz Luhrman.
Pour Britney Spears, le conte de fée continue. Véritable star aux Etats-Unis en moins d'un mois avec son tube pour teenagers, la native de Kentwood, âgée à peine de 17 ans, est devenue en peu de temps incontournable : campagne de pub, lancement d'un merchandising avec des produits dérivés (cosmétiques, ligne de vêtements, etc), apparition dans la série TV Dawson's Creek... Bref, tout est bon pour imposer cette nouvelle idole.
Après avoir commencé la danse à quatre ans, et la chanson à huit ans, la brunette aux yeux marrons s'est vite faite remarquer dans des radios crochets, mais aussi par sa figuration de membre du Mickey Mouse Club sur Disney's Channel. Largement influencée par ses idoles, (Mariah Carey, Whitney Houston, Prince et Madonna), elle s'est imposée rapidement au sommet du billboard U.S avec la chanson Baby, one more time.
En posant pour la couverture du magazine Rolling Stone en tenue des plus suggestives et provocantes, elle a déclenché une vague de réprobations. Les rumeurs ont alors commencé à circuler sur une (éventuelle) intervention chirurgicale qu'elle aurait subi pour améliorer sa plastique mammaire - à l'heure, où l'on réduit tout. Certainement des mauvaises langues, jalouses d'un succès trop rapide pour une Lolita à qui tout réussit. Une sorte d'American Dream.
L.B