Une semaine après sa mise en ligne sur Netflix, Resident Evil cumule plus de 70 millions d’heures de visionnage dans le monde. En France, la série se hisse à la première place du classement de la plateforme devant le phénomène Stranger Things. Si, pour le moment, une suite n’a pas encore été confirmée, le succès de la saison 1 devrait inciter le géant du streaming a donné le feu vert.
L’homme derrière la série, Andrew Dabb, a déjà de nombreuses idées en tête. Ancien showrunner de Supernatural - une des fictions les plus longues de ces dernières années -, le créateur considère la première saison de Resident Evil comme un simple “avant-goût”.
Et pour cause, il espère aller encore plus loin et atteindre les 16 saisons. “Plus on plongera dans l’histoire, plus on introduira des éléments des jeux pour développer leurs mondes et les personnages”, explique-t-il au média TV Line.
Dans Collider, le créateur révèle qu’il souhaiterait explorer davantage l’histoire familiale de la saison 1 en poursuivant les allers-retours entre le passé et le présent. “Comment les gens évoluent au fil des années, c’est la question que j’aimerais poser”.
Si la fin du huitième et dernier épisode mentionne Ada Wong, l’un des personnages phares des jeux vidéo, Andrew Dabb précise que beaucoup d’autres protagonistes pourraient se joindre à la fête.
Il cite, par exemple, Jill Valentine et Claire Redfield - toutes les deux introduites dans les films. “Ceux sont des héroïnes qui ne sont pas apparues depuis un moment, comment réagiraient-elles face aux événements pré-2036 ?”, se demande-t-il dans une entrevue pour Polygon. Le créateur aimerait également insérer l’un des antagonistes les plus emblématiques de la franchise : Lady Dimitrescu, présente dans le jeu Resident Evil Village.
Resident Evil est disponible sur Netflix.