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    Ce Pokémon que vous avez peut-être tué sans le savoir !
    Clément Cusseau
    Clément Cusseau
    -Rédacteur
    Après des études en école de cinéma, il intègre la rédaction d’AlloCiné en 2011. Il est actuellement spécialisé dans les contenus streaming et l’actualité des plateformes SVOD.

    Et si au cours d’un de vos matchs vous aviez tué le "Pokémon" d’un de vos adversaires, sans même vous en rendre compte ? Telle est la nouvelle théorie sur laquelle nous allons aujourd’hui nous pencher !

    Une nouvelle théorie étonnante concernant l’univers Pokémon, et plus particulièrement la toute première version du jeu vidéo ! Dans Pokémon Bleu et Rouge, l’aventure commence par le choix d’une créature parmi Bulbizarre, Carapuce et Salamèche. Au cours d'une cérémonie organisée dans le laboratoire du professeur Chen, le héros du jeu Sacha fait également la rencontre d’un autre dresseur en herbe Régis, qui s’apprête à devenir notre rival.

    Durant les premiers duels, notre adversaire possède dans son équipe un Rattata, qui évolue ensuite en Rattatac. Toutefois, ce dernier va subitement disparaître à l’issue d’un quatrième combat sur le S.S. Anne, sans qu’aucune explication ne nous soit donnée. Plusieurs fans ont toutefois émis une théorie macabre : le Rattatac aurait succombé aux blessures infligées par les Pokémon du héros, le paquebot ne possédant aucun centre de soins !

    Pokémon
    Pokémon
    Sortie : 1997-04-01 | 22 min
    Série : Pokémon
    Spectateurs
    2,8
    Streaming

    En effet, la disparition du Rattatac coïncide avec une nouvelle rencontre à Lavanville, aux abords de la Tour Pokémon où se trouve le cimetière Pokémon. Au cours d’un rapide échange, Regis demande à Sacha la raison de sa présence en ce lieu réservé aux dresseurs souhaitant se recueillir sur la tombe d’un Pokémon disparu. Tout laisse donc à penser que notre rival vient lui-même de faire ses adieux à son vaillant Rattatac !

    De là à penser que Sacha est en réalité le véritable méchant du jeu Pokémon, il n’y a qu’un pas… que nous ne franchirons toutefois pas !

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