Au nom de la terre de Edouard Bergeon
Avec Guillaume Canet, Veerle Baetens, Anthony Bajon...
Le saviez-vous ? Au nom de la terre est tiré de la propre histoire du réalisateur Edouard Bergeon. Guillaume Canet interprète le personnage principal, Pierre, directement inspiré du père agriculteur du cinéaste. "Le film est tiré de mon vécu. Je suis descendant d’une longue lignée de paysans, fils et petit-fils de paysans, tant du côté de ma mère que de mon père. Christian Bergeon, mon père, s’est installé comme agriculteur en 1979 avec l’envie et la passion du métier. Avec ma mère, ils ont beaucoup travaillé pour que ma soeur et moi vivions une jeunesse heureuse à la ferme. Au nom de la terre est une saga familiale qui porte un point de vue humain sur l’évolution du monde agricole de ces 40 dernières années."
Avec Dany Boon, Guillaume Gallienne, Alice Pol...
Le saviez-vous ? Le personnage de Pontagnac n'est pas totalement fidèle à la pièce. S'il reste un goujat dans le film et dans la pièce, Jalil Lespert et Guillaume Gallienne ont dû procéder à des ajustements, comme l'explique ce dernier : "depuis le mouvement « Me too », il y a des choses qui ne passent plus. Mais nous avons creusé aussi ce que Feydeau faisait déjà très bien : défendre les femmes. Je trouve que, dans notre adaptation avec Jalil et Fadette Drouard (qui nous a rejoint ensuite), nous avons amplifié cela : les hommes sont montrés comme des goujats crétins invétérés. Je trouve intéressant de raconter cela d’une manière drôle, sans tomber dans la misandrie, heureusement".
Ceux qui travaillent de Antoine Russbach
Avec Olivier Gourmet, Adèle Bochatay, Louka Minnella...
Le saviez-vous ? Antoine Russbach insiste : Ceux qui travaillent n'est pas un film de gauche. Il ne souhaite pas exclure les gens de droite de la salle. Selon lui, l'oeuvre est politique, mais non polarisée. "Cela aurait été trop facile de faire dire au film : « Il suffit de dire non ». Ce serait simpliste et l’on sortirait du film très rassuré. À l’origine du film, il y avait l’idée de ces gens en costume-cravate que je voyais à Genève. Je me suis surpris à avoir un regard sur eux très simpliste. Je les voyais différents de moi. Je leur faisais porter tous les problèmes du monde. Puis je me suis réveillé : je me suis trouvé arrogant et j’ai refusé de penser ainsi. Cette prise de conscience est à la source du film. À la base de ma démarche cinématographique, il y a le désir d’aller comprendre l’autre, d’aller vers ce qui m’est étranger. C’est un élan d’empathie."
Avec Vincente Perez, Emilia Derou-Bernal, Sékouba Doucouré...
De quoi ça parle ? Vincent en a assez de prendre soin de son vieux père malade. Lui et son ami Jimmy tentent de s'imposer dans la scène musicale locale. Un soir, Vincent défend Jimmy contre un voyou auquel il doit de l’argent. Malheureusement, il partage maintenant la dette de son ami et se retrouve dans les mauvais livres du voyou. Avec leur amitié brisée et les problèmes à venir, la chance n'est pas de leur côté.