Comment vous êtes vous retrouvés sur ce projet et qu'est-ce qui vous a plu dans La Grande Classe ?
Jérôme Niel : C'est Ludovik qui m'a appelé et qui m'a parlé du projet sur lequel il était depuis quelques mois. Il y travaillait avec les réalisateurs et il m'a dit "il manque un comédien". J'ai dit oui au début parce qu'il m'avait raconté un petit peu l'histoire. Ensuite, j'ai lu le scénario et j'ai doublement dit oui. Et puis j'ai rencontré les réalisateurs Rémy Four et Julien War avec qui ça s'est très bien passé.
Ludovik : On a tourné le film en deux jours et c'était génial. C'était un réel plaisir de tourner avec les deux réalisateurs qu'on ne connaissait pas avant. Et de bosser avec Netflix et les autres comédiens, ça s'est super bien passé. Et c'était l'un de mes meilleurs tournages jusqu'à présent avec une très bonne ambiance. C'était un peu la colo.
Est-ce que vous vous êtes identifiés à vos personnages par rapport à vos années collège et lycée ?
J. N. : C'est vrai que j'étais un peu discret et timide comme mon personnage. Mais je fais plus de blagues que Jonathan quand même.
L. : Je pense être plus réservé que mon personnage, Pierre-Yves. Il est très porté sur l'apparence, les femmes et la réussite. Ce qui n'est pas mon cas, ça reste un personnage de composition.
Quel est votre pire souvenir à l'école ?
J. N. : Je dirais que c'est quand je me suis fait prendre en train de tricher, et ce à plusieurs reprises. Mais je pouvais pas m'en empêcher. J'avais très honte parce que je savais que mes parents allaient être au courant. Je me suis fait choper 2-3 fois dans un laps de temps assez court et j'avais honte. J'étais rouge comme une tomate.
L. : J'ai pas de moment affreux, je pense que ma scolarité était calme. J'étais pas turbulent, je servais à rien quoi (rires).