Le Chant du loup de Antonin Baudry
Avec François Civil, Omar Sy, Reda Kateb...
Le saviez-vous ? Dans Le Chant du loup, François Civil incarne Chanteraide, oreille d'or. Ce surnom est donné aux personnels sous-marinier spécialisés dans l'analyse acoustique. Experts en guerre acoustique, ils partent pour des missions de quelques jours à plusieurs mois, essentiellement sur les sous-marins nucléaires. Intégrés aux équipes de combat, ils remplissent en outre le rôle de conseiller du commandant en matière de classification et de discrétion acoustique.Leur rôle est crucial, car rappelons-le, un sous-marin ne dispose d'aucun hublot, il se dirige et identifie les menaces, comme les cibles, uniquement au son. Le nombre d'oreilles d'or est en service est secret défense et ne peut être divulgué.
Black Snake, la légende du serpent noir de Thomas Ngijol, Karole Rocher
Avec Thomas Ngijol, Karole Rocher, Michel Gohou...
Le saviez-vous ? Lorsque Thomas Ngijol a, à ses débuts, fait un sketch sur Superman et son rapport inexistant avec l’Afrique, son entourage et des producteurs l'avaient encouragé à développer cette idée en long métrage. Le déclic s’est toutefois produit avec l'un de ses coauteurs. Le metteur en scène se rappelle : "Nous avons construit le personnage, puis j’ai trouvé l’intrigue, le cadre. Je voulais traiter le sujet avec humour tout en lui donnant une trame bien réelle. J’ai donc choisi la période des années 70 que je trouve riche en événements qui pouvaient être racontés sous la forme d’une comédie. Voilà le point de départ !"
Paradise Beach de Xavier Durringer
Avec Sami Bouajila, Tewfik Jallab, Mélanie Doutey...
Le saviez-vous ? Il était question, il y a quelques années, qu'Olivier Marchal soit aux commandes de Paradise Beach. Le réalisateur de 36, quai des Orfèvres comptait même faire le film en langue anglaise avec des comédiens américains. Mais les choses ne se sont finalement pas concrétisées pour l'ancien inspecteur de police.
Avec Melvil Poupaud, Denis Ménochet, Swann Arlaud...
Le saviez-vous ? François Ozon souhaitait prendre le point de vue des victimes et se placer du côté humain dans son film, non du côté judiciaire ou religieux. "J’ai d’abord rencontré Alexandre Dussot-Herez, qui, le premier a porté plainte, puis d’autres victimes. Il m’a donné accès à beaucoup d’informations, m’a tout raconté, j’ai été très touché. Ces hommes sont héroïques et parviennent à faire bouger les lignes. Ma première idée était de réaliser un documentaire. Eux avaient déjà beaucoup témoigné, ils en avaient un peu marre de montrer leur tête… J’ai choisi la fiction", confie le cinéaste au micro de Ouest France.