Dessine-moi... un casting sept étoiles ! Avec Le Petit Prince, la fine fleur du cinéma français s'est réunie pour célébrer le chef d'oeuvre d'Antoine de Saint-Exupéry à travers un film d'animation unique.
Révélé par Kung Fu Panda, le réalisateur Mark Osborne s'est échappé d'Hollywood pour superviser cette création originale française et livrer une aventure pleine de poésie, d'humour et de tendresse. Au programme : une histoire dans l'histoire qui raconte le périple du Petit Prince à travers les yeux d'une petite fille à la vie toute (et trop) tracée, future "adulte formidable" encadrée par une mère aimante mais bien trop sérieuse, qui découvrira les merveilles de l'enfance aux côtés d'un vieil aviateur loufoque... et d'un renard en peluche attachant.
--> Le Petit Prince est "l'un des meilleurs films d'animation de l'année" pour la presse
Derrière cette maman ambitieuse, on retrouve Florence Foresti. Humoriste, scénariste et actrice déjà rompue à l'exercice du jeu vocal (Astérix Le Domaine des Dieux, Lucas fourmi malgré lui), elle a rencontré à travers cette expérience un film "touchant", "divin", "sublime", "à la poésie rare", qui l'emmena avec ses camarades de jeu sur les marches du Festival de Cannes en mai dernier, où le film fut présenté hors-compétition.
Des camarades nommés André Dussollier (l'aviateur), Vincent Cassel (le renard), Marion Cotillard (la rose), Guillaume Gallienne (le serpent), Laurent Lafitte (l'homme vaniteux) ou encore Vincent Lindon (le businessman), qui entourent avec talent les jeunes Clara Poincaré (la petite fille) et Andrea Santamaria (Le Petit Prince).
"Le livre est universel et atemporel. Et on voulait que les voix soient à cette image, en transposant la poésie et la justesse du texte", explique le producteur Dimitri Rassam. "Par ailleurs, nous étions conscients que Le Petit Prince est souvent associé, dans l’esprit des générations plus âgées, à l’enregistrement audio qu’en avait fait Gérard Philipe. Il fallait donc que notre proposition soit aussi forte et élégante. (...) Tous ceux que nous avons sollicités nous ont dit oui ! Ils ont été séduits par l’approche de Mark, extrêmement respectueuse du livre et en même temps audacieuse et novatrice. D’autre part, ils sont parents pour la plupart et ils étaient animés par une forte envie de transmission".
Le Petit Prince, c'est donc un brassage de générations et d'univers, à l'image du film en lui-même qui mélange différentes techniques d'animation (les images de synthèse et la stop-motion) pour raconter une histoire unique et éternelle, à tous les publics : petits, grands et très grands.
La grande aventure commence le 29 juillet au cinéma !