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    Power, un Soprano nouvelle génération selon la Presse US?

    Une série produite par 50 Cent avec Omari Hardwick dans la peau d'un criminel qui veut rentrer dans le droit chemin. Quel accueil ont réservé les critiques américains à cette nouveauté de la chaîne câblée Starz ?

    Starz Media

    Synopsis : Propriétaire d’un night-club new-yorkais très populaire, James "Ghost" St. Patrick entend développer son empire. Seulement sa double-vie à la tête d'un des réseaux de drogue les plus importants de la ville pourrait devenir un handicap. Vouloir mettre un terme à sa carrière de criminel risque de mettre en danger son mariage, sa famille et ses affaires.

    Créée par Courtney Kemp Agboh.

    Avec Omari Hardwick,  Naturi Naughton, Lela Loren...

    Date de lancement : le 7 juin 2014 sur Starz.

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    Les Critiques

    Selon le Philadelphia Inquirer :

    "Créée par Courtney Kemp Agboh, productrice et scénariste de The Good Wife, nominée aux Emmys pour celle-ci, et portée par la performance impressionnante - mais encore sous-estimée - d’Omari Hardwick, la série capture l’esprit du roman de Fitzgerald [Gatsby le Magnifique, ndlr], tout en apportant une belle part de modernité." 4/5

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    Selon le New York Times :

    "Bien que la série ne soit pas particulièrement créative ou subtile (longues limousines, Chivas Regal, call-girls), elle est étonnamment attrayante. […] Certains thèmes comme l’argent, le crime et le sexe ne vieillissent jamais. Power se complaît dans tous les clichés du genre – dealers, DJ et marques de luxe – mais le fait avec sincérité et sans aucun cynisme." 3,5/5

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    Selon Uncle Barky :

    "De nos jours, les anti-héros sont devenus chose courante à la télévision. Pourtant, ressentir de l’empathie pour Ghost risque d’être compliqué. […] Le rythme global [de Power] pourrait bénéficier d’une légère accélération, et sa représentation des minorités (avec l’usage à deux reprises du terme "nègre") serait qualifiée d’offensante si 50 Cent ne tirait pas les ficelles d’un côté, et rappait le générique de l’autre." 2,5/5

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    Selon Slant Magazine :

    "Si Les Soprano, dans toute sa complexité, trouvait de l'épaisseur dans son anti­-héros endommagé par une vie de violence, Power n'est rien de plus qu'un pâle soap réchauffé autour de l’obsession de Ghost pour les armes et la drogue." 2,5/5

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    Selon The Hollywood Reporter :

    "L’écriture vigoureuse, associée à une abondance de sexe et de violence, est un argument très vendeur à l’international. Il n’y aurait rien de mal à ça si seulement Starz admettait que la superficialité d’un tel divertissement est sa stratégie. De cette façon, personne ne regarderait Power en pensant : 'Ce show manque bien d’originalité'. Ils diraient plutôt : 'Ce truc médiocre et clinquant est parfait pour Starz'." 2/5

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    Toutes les critiques de la série par ici >>

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