The Hollywood Reporter (Todd McCarthy)
C'est ce genre de film pseudo-arty et sans intérêt qui est en partie responsable de la fermeture et de l'abandon des salles de cinéma, phénomène qui est montré pendant le générique de début et de fin de "The Canyons".
Lire la critique (parue lors de la sortie américaine du film le 2 août)
Screendaily (John Hazelton)
Il n'y a certainement pas assez de style ou de substance ici pour maintenir bien longtemps l'intérêt des spectateurs (...) Lindsay Lohan est plus que crédible, mais ni le scénario ni sa performance n'expliquent réellement l'attraction fatale que Tara semble exercer.
Lire la critique (parue lors de la sortie américaine du film le 2 août)
The Independent (Geoffrey Macnab)
Ce n'est pas un désastre comme l'affirment certains critiques. Même s'il est formellement bâclé, c'est un thriller efficace au coeur très sombre. Si le budget avec été plus gros et le soin apporté plus grand, Schrader et Lohan auraient sûrement échappé aux sifflets.
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Libération (Julien Gester)
(...) le film baigne dans un désenchantement glacial qui, étrangement, évoque moins l’auteur du script qu’un Ellroy passé au tamis d’un post-modernisme décharné. "The Canyons" n’en distille pas moins un magnétisme qui ne doit pas tant à son formalisme cadavérique qu’à la fascination paradoxale que charrie le corps de ses acteurs (...)
The Guardian (Xan Brooks)
"The Canyons" nous offre un thriller érotique dans lequel les frissons ("thrills") ont perdu leur force, le sexe a perdu son énergie et où le boulot de réalisateur est à peine plus qu'un divertissement ennuyeux.
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London Evening Standard (Derek Malcolm)
Lohan (...) est peut-être la meilleure, en grande partie parce que son personnage est très proche d'elle-même. Mais ici, tout est relatif. "The Canyons" donne l'impression d'une série B quelque peu boursouflée qu'un Schrader égaré a réalisé parce qu'il n'avait rien d'autre à faire.
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La Libre Belgique (Hubert Heyrendt)
(...) une petite série B dont le scénario tourne rapidement au film noir bas de gamme… Ce n’est certainement pas "The Canyons" qui va empêcher la mort du cinéma hollywoodien que dénonce son auteur.
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