Avec Une Séparation, Leila Hatami est devenue l’un des (charmants) visages de ce cinéma iranien nouveau dont Asghar Farhadi est certainement aujourd'hui le plus brillant maître d'oeuvre. Comme l’actrice fut notamment l’une des 108 spectatrices du Shirin de maître Kiarostami, dont le jeune (39 ans) Farhadi vient en quelque sorte "contester la suprématie" (ou plutôt contredire l'influence), la voici bien placée pour évoquer les évolutions du cinéma de son pays et les styles extrêmement différents (divergents ?) de ces deux auteurs… Ce qu’elle fait ci-dessous, et en français s’il vous plaît, dans le cadre enchanteur de La Mamounia, célèbre palace de Marrakech :
Tout sur le festival de Marrakech 2011
AG