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    "Retour vers le futur" : Alexandre Aja nous parle du Doc !

    Alors que "Retour vers le futur" fête ses 25 ans, AlloCiné a demandé au réalisateur français Alexandre Aja de revenir sur son expérience avec Christopher Lloyd, alias "le Doc", avec qui il a tourné une scène de "Piranha 3D".

    Alors que Retour vers le futur fête ses 25 ans, AlloCiné a demandé au réalisateur français Alexandre Aja de revenir sur son expérience avec Christopher Lloyd, alias "le Doc", avec qui il a tourné une scène de Piranha 3D.

    AlloCiné : C'est l'anniversaire de "Retour vers le futur", qui fête ses 25 ans. Christopher Lloyd, alias "Doc'", jouait une petite scène dans "Piranha 3D"...

    Alexandre Aja : En réalité, il n'a pas joué que dans une seule scène. Il en a fait une autre, assez longue d'ailleurs, qui figurera sur le DVD, située à l'ouverture du film. On y découvre que notre héros travaillait dans le magasin d'animaux tenu par le personnage de Christopher Lloyd. C'est une crème et un acteur formidable. Il n'était disponible qu'une seule journée et ses scènes représentaient grosso-modo trois journées de tournage. Il a donc fallu tout faire en une seule journée et on a réellement tourné 21 heures d'affilée. Entre le premier "Action" et le dernier "Coupez !", il s'est passé 21 heures durant lesquelles il a joué quasiment non-stop ! A la fin de la journée, il n'arrivait quasiment plus à parler (rires) ! C'était extraordinaire parce qu'il continuait à dire son texte avec les intonations du Doc' et les siennes mais avec des mots qui n'avaient plus de sens au final. Derrière le combo, on était tous morts de rire. Il continuait avec les mêmes intentions mais ce qu'il racontait n'avait plus aucun sens... Au final, c'est une rencontre incroyable. Christopher Lloyd est génial !

    AlloCiné : Et vous l'avez dirigé pour de vrai...

    C'était un grand moment. Au final, je me suis offert de grands moments de cinéma sur Piranha 3D. J'ai eu deux-trois grandes émotions pendant le tournage. Avec Christopher Lloyd donc, mais aussi Richard Dreyfuss. Dans ces moments-là, ça me rappelle pourquoi je fais des films en Amérique. Pour le plaisir incroyable de voir des personnages de mon imaginaire face à moi.

    Propos recueillis pas Thomas Destouches

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