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    Le cinéma d'Atom Egoyan

    A l'occasion de la sortie de "Adoration", retour sur la carrière d'Atom Egoyan. Un habitué de Cannes et un réalisateur à la filmographie... troublante. <i>Dossier coordonné par Flora Zaghini</i>

    Parmi leurs spécificités, les films d'Atom Egoyan ont tous en commun d'être des oeuvres très personnelles. Un trait que l'on remarque à travers la place importante laissée à l'identité culturelle, et plus précisément à l'Arménité. Le cinéaste a d'ailleurs consacré deux de ses longs métrages à ses origines : Calendar (1995), qui se déroule en Arménie, et Ararat (2002), qui met en lumière les conséquences qu'a le génocide des Arméniens sur la vie quotidienne de personnages contemporains. Et même s'il n'évoque pas directement l'Arménité dans ses autres films (de Proches Parents à Adoration), Atom Egoyan y glisse tout de même de nombreuses références à la culture arménienne, à travers la musique, la nourriture, les décorations ou les noms qu'il donne à ses personnages.

    Atom Egoyan s'explique :

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