Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l’épisode d’Un Si Grand Soleil diffusé demain soir sur France 3 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !
Mercredi 1er janvier dans Un si grand soleil…
Margot est de retour à Montpellier
Florent se rend par surprise au cabinet de Cécile. La juge profite de ce moment pour lui dire qu'elle se sent seule depuis que sa greffière et amie, Chloé, est partie. L'avocat tire profit de la situation et propose à Cécile d'aller boire un verre ce soir ou bien demain, mais la jeune femme refuse.
Quelques heures plus tard, alors qu'elle s'apprête à quitter son bureau, Cécile reçoit de la visite : il s'agit de Margot. Cette dernière est de retour à Montpellier et ravie de revoir sa sœur. Cécile la conduit immédiatement dans son nouvel appartement.
Après une visite des lieux, les deux sœurs s'installent sur le canapé. Cécile confie à Margot que c'est l'occasion de tourner la page après le décès de Christophe. Néanmoins, elle craint que ce nouveau départ soit compliqué à vivre pour son fils, Achille. Margot lui promet de prendre soin d'eux.
Hugo affronte son locataire
Au lycée Gustave Flaubert, Eve demande à Sabine si elle a enfin demandé à Florent de partir de chez elle. Sabine répond que ce dernier n'est pas encore décidé à s'en aller. Elle lui trouve des excuses, ce qui agace Eve. Cette dernière lui met la pression : "Il faut que tu sois ferme, comme avec tes élèves".
De son côté, Florent retrouve Hugo pour une conciliation avec son locataire, Rignac. Ce dernier se montre hostile, alors Hugo lui présente ses excuses pour avoir eu une liaison avec sa femme : "Je regrette sincèrement, j'ai honte de ce que j'ai fait".
Plus tard, Hugo informe Sabine que Monsieur Rignac a enfin signé la conciliation et que Florent va devenir son nouveau colocataire. Sabine retrouve aussitôt le sourire. Malheureusement, ce départ n'est pas pour tout de suite, puisque l'ancien locataire quitte le logement dans un mois seulement. Sabine déchante...
Hélène menace Alix
De son côté, la mère de Maéva est très inquiète pour sa fille, et lui dit : "Ta plainte contre cette femme, ton avortement, ça fait beaucoup en une semaine". Elle lui demande de faire attention à elle, et Maéva lui en fait la promesse.
Au commissariat, Elise reçoit un appel de la directrice de l'hôpital de Montpellier. Elle l'informe qu'il y a bien eu une intrusion dans le système informatique, et ce, trois jours avant que Maéva ne vienne à l'hôpital. Le dossier médical de la petite amie de Tom a été intégralement copié, et ce n'est pas le seul.
Elise et Clément appellent Michel, le procureur, pour l'informer de l'avancée de l'enquête. Elise en profite pour demander un mandat de perquisition au procureur, mais ce dernier refuse car il n'y a pas assez de preuves dans le dossier. Elise est furieuse qu'une telle décision soit prise.
Thaïs est aussi abattue par cette décision. Elle demande à Elise s'il y a possibilité de continuer l'enquête, mais sa collègue lui répond : "Il y a une procédure à respecter, que ça nous plaise ou non". Juste après, Thaïs appelle Tom et Maéva pour leur annoncer la mauvaise nouvelle.
Plus tard, Tom et Maéva convoquent le journaliste Marc afin de l'informer qu'ils souhaitent faire appel à la presse pour dénoncer les pratiques de cette association anti-avortement. Ce dernier répond qu'il ne sait pas s'il a assez de matière pour écrire un article.
De plus, il les met en garde : "Les membres de l'association risquent de vous reconnaître. Vous allez vous faire harceler sur les réseaux sociaux et ce n'est pas tout". Tom et Maéva répondent qu'ils sont prêts à prendre cet énorme risque.
De son côté, Hélène tente de joindre Alix, mais elle tombe sur le répondeur. Elle se rend donc directement à la galerie. Alix lui révèle que c'est elle qui a poussé Tom et Maéva à porter plainte contre elle. La tension monte entre les deux femmes.
Au cours de la discussion, Hélène se met à menacer Alix en lui disant : "Je te donne un conseil, reste en dehors de tout ça. Si tu te mets en travers de mon chemin, tu vas le regretter".