Les sœurs Chamade ont encore frappé !
Ce lundi 25 novembre, TF1 diffuse deux épisodes inédits de Cat’s Eyes, la série portée par Camille Lou, Constance Labbé et Claire Romain.
Tam, Sylia et Alexia sont toujours à la recherche du Cat’s Eyes, une œuvre d’art ayant appartenu à leur père. Après avoir pénétré le siège ultra-sécurisé de la BRB pour récupérer une vidéo qui incriminait Tam, les sœurs Chamade se sont mises en tête de cambrioler le laboratoire d’analyse du Louvre.
Si les caméras d’Alexandre Laurent se sont bien posées dans le plus célèbre musée du monde, le réalisateur a toutefois dû faire preuve de beaucoup d’imagination pour des questions de sécurité.
"Il a fallu qu’on invente tout"
C’est au micro d’Allociné qu’Alexandre Laurent a dévoilé les coulisses de ce tournage au musée du Louvre. Et la production a dû jongler avec des contraintes imposées par les responsables du musée, notamment en ce qui concerne la représentation des trajets et des espaces.
"Il a fallu tout tricher dans le Louvre. Tous les chemins qu'empruntent les filles dans le musée sont faux. Quand elles ouvrent une porte, l'endroit dans lequel on se trouve ensuite n'est pas le vrai", raconte-t-il.
Des ajustements liés à une raison bien particulière. Il explique, "C'était une directive des responsables du musée. Ils ne voulaient pas qu'on montre un trajet réel pour des questions de sécurité. Le vrai système de sécurité du Louvre, je l'ai vu, j'ai trouvé ça trop cool, mais on m'a dit non. Il a fallu qu'on invente tout".
"On avait pas le droit de courir"
Au-delà des questions de sûreté, les équipes d’Alexandre Laurent se sont également heurtées à des règles strictes concernant la préservation des œuvres. "Au Louvre, on n’avait pas le droit de courir dans les salles où il y avait des tableaux pour ne pas abîmer les œuvres avec les vibrations. Et comme la Joconde avait pris de la compote une semaine avant, ils ne voulaient plus qu’on court", poursuit-il.
Malgré ces limitations nécessaires, Alexandre Laurent se souvient surtout avec enthousiasme des opportunités créatives qui lui ont été offertes pour explorer des zones moins connues du musée. "Le Louvre nous a poussés à aller dans des endroits qui avaient été rarement filmés pour mettre en avant des œuvres qu'on n’a pas l'habitude de voir. On s’est vraiment baladés partout. C'était vraiment chouette !".