Va-t-on assister au retour en force du cinéma catastrophe qui faisait fureur à la fin des années 90, avec des longs métrages tels qu'Independence Day, Armageddon ou Volcano ? Vingt-huit ans après la sortie du premier opus, Twisters tentera en effet de renouer avec cet esprit et de décoiffer les spectateurs du monde entier.
On ne sait pas encore si la vache volante du film de Jan de Bont sera de la partie, ou s'il sera fait mention des personnages joués par Helen Hunt et le regretté Bill Paxton (ici, on parie sur le fait que l'un des nouveaux héros leur sera lié). Mais l'opus signé Lee Isaac Chung (Minari) pourra compter sur quelques stars montantes : Anthony Ramos, Daisy Edgar-Jones, le futur Superman David Corenswet ou encore Glen Powell.
De plus en plus hype depuis le carton mondial de Top Gun Maverick, ce dernier a d'ailleurs promis que Twisters comporterait "l'une des scènes d'action les plus incroyables de tous les temps" dans une vidéo réalisée par Fandango pour l'ouverture des préventes aux États-Unis. Sans surprise, l'acteur fait évidemment référence à la séquence de tornade(s) qui constituera le clou de ce spectacle estival.
"Nous l'avons tournée en décembre, avec une machine à pluie", dit-il au sujet de ce morceau de bravoure dans lequel "tout se produit d'un coup". "L'une des nuits les plus froides de ma vie, à être tiré à travers une piscine par un câble. Je pense que c'est la chose la plus physique que j'aie jamais faite."
"Les tornades ne sont pas tendres. Vous devez mettre votre corps en jeu afin de vendre cette expérience"
"On parle d'être humains aspirés par une tornade. Mais vous reproduisez aussi ce que c'est que d'être heurté par des débris. Donc vous regardez de vrais cascadeurs se faire aspirer dans le ciel, vous voyez des tracteurs traverser [le champ], vous sautez dans une piscine où vous vous faites traîner... C'est une expérience totalement physique, car il n'y a rien de délicat dans l'investissement que vous devez avoir en tant qu'acteur."
"Ça ne peut pas être tendre. Les tornades ne sont pas tendres. Vous devez mettre votre corps en jeu afin de vendre cette expérience." Pour le coup, et même s'il s'agit là de promotion, on peut dire que Glen Powell le fait bien, et qu'on a hâte de juger le résultat sur pièce et de repartir chasser les tornades, à partir du 17 juillet dans les salles françaises.
