The Fall Guy de David Leitch
Avec Ryan Gosling, Emily Blunt, Aaron Taylor-Johnson...
De quoi ça parle ? C'est l’histoire d’un cascadeur, et comme tous les cascadeurs, il se fait tirer dessus, exploser, écraser, jeter par les fenêtres et tombe toujours de plus en plus haut… Pour le plus grand plaisir du public. Après un accident qui a failli mettre fin à sa carrière, ce héros anonyme du cinéma va devoir retrouver une star portée disparue, déjouer un complot et tenter de reconquérir la femme de sa vie...
Le saviez-vous ? Ryan Gosling et Emily Blunt étaient tous les deux dans les cartons de l'été au cinéma, rassemblé sous le nom Barbenheimer. Gosling était à l'affiche de Barbie de Greta Gerwig, tandis qu'Emily Blunt participait à Oppenheimer de Christopher Nolan.
Les Cartes du mal de Anna Halberg, Spenser Cohen
Avec Harriet Slater, Adain Bradley, Avantika Vandanapu...
De quoi ça parle ? Quand une bande d'amis transgresse sans scrupules les règles du tirage du Tarot - " Suis une seule règle, évite le danger. Ne tire jamais des cartes que tu as trouvées. " - ils libèrent à leur insu un esprit maléfique piégé dans les cartes maudites. Un par un, ils découvrent le sort qui les attend, et se retrouvent dans une course contre la mort pour échapper aux prédictions de leur tirage.
Le saviez-vous ? Les premières images nous promettent un film angoissant dans la lignée de La Main, succès horrifique (le film a récolté 92 millions de $ à l'international) du studio A24. Les cartes du mal partage en effet certaines similitudes avec le film sorti en juillet 2023 : un groupe de jeunes gens s'amusent avec un jeu paranormal et réveillent une force démoniaque par inadvertance.
Un p’tit truc en plus de Artus
Avec Artus, Clovis Cornillac, Alice Belaïdi...
De quoi ça parle ? Pour échapper à la police, un fils et son père en cavale sont contraints de trouver refuge dans une colonie de vacances pour jeunes adultes en situation de handicap, se faisant passer pour un pensionnaire et son éducateur spécialisé. Le début des emmerdes et d’une formidable expérience humaine qui va les changer à jamais.
Le saviez-vous ? Un p’tit truc en plus est né de l'envie d'Artus de montrer ce dont sont capables les personnes porteuses d’un handicap mental : "Elles ont un imaginaire incroyable, une magie, ou une folie, qu’on ne rencontre pas ailleurs. C’est avec elles que je voulais faire un film. Pas sur elles. Le handicap, en soi, n’est pas le sujet."
"Ce film, c’est une colonie de vacances, avec tous les moments de vie que cela suppose, mais puissance mille parce que l’histoire, est portée et jouée, par des gens qu’on n’a pas l’habitude de voir au cinéma."
Une affaire de principe de Antoine Raimbault
Avec Bouli Lanners, Thomas VDB, Céleste Brunnquell...
De quoi ça parle ? Bruxelles, 2012. Quand le commissaire à la santé est limogé du jour au lendemain, dans la plus grande opacité, le député européen José Bové et ses assistants parlementaires décident de mener l’enquête.Ils vont alors découvrir un véritable complot menaçant de déstabiliser les instances européennes, jusqu’à leur sommet.Tiré de faits réels.
Le saviez-vous ? A l'origine, Antoine Raimbault avait commencé à faire des recherches pour un autre projet. Il s'agissait déjà de l’histoire d’une enquête autour du financement des institutions publiques par des intérêts privés. Le cinéaste y voyait le combat de la démocratie et de l’état de droit face à la puissance grandissante des lobbies.
Le Tableau volé de Pascal Bonitzer
Avec Alex Lutz, Léa Drucker, Nora Hamzawi...
De quoi ça parle ? André Masson, commissaire-priseur dans la célèbre maison de ventes Scottie’s, reçoit un jour un courrier selon lequel une toile d’Egon Schiele aurait été découverte à Mulhouse chez un jeune ouvrier. Très sceptique, il se rend sur place et doit se rendre à l’évidence : le tableau est authentique, un chef-d'œuvre disparu depuis 1939, spolié par les nazis.
Le saviez-vous ? Le titre définitif du film est arrivé très tard, suggéré par le producteur Saïd Ben Saïd. Initialement, il devait s’intituler "Salle des ventes". "Ce titre purement descriptif a donc laissé la place à davantage de fiction induite par Le Tableau volé, qui est plutôt un hommage à mon ami Raoul Ruiz et à l’un de ses grands films, L’Hypothèse du tableau volé", confie Pascal Bonitzer.
Border Line de Juan Sebastián Vásquez, Alejandro Rojas
Avec Alberto Ammann, Bruna Cusí, Ben Temple...
De quoi ça parle ? Projetant de démarrer une nouvelle vie aux États-Unis, Diego et Elena quittent Barcelone pour New-York. Mais à leur arrivée à l’aéroport, la Police des Frontières les interpelle pour les soumettre à un interrogatoire. D'abord anodines, les questions des agents se font de plus en plus intimidantes.
Le saviez-vous ? Le projet est né des nombreuses fois où les réalisateurs vénézuéliens Juan Sebastián Vásquez et Alejandro Rojas se sont rendus aux États-Unis, mais aussi des témoignages de leurs familles et amis. Ils confient : "De là, nous avons élaboré une histoire qui serait racontée du point de vue d’un couple formé d’un Vénézuélien et d’une Espagnole – donc une Européenne –, qui doivent passer par le même processus d’immigration. Lui fait profil bas."
Jusqu'au bout du monde de Viggo Mortensen
Avec Vicky Krieps, Viggo Mortensen, Solly McLeod...
De quoi ça parle ? L’Ouest américain, dans les années 1860. Après avoir fait la rencontre de Holger Olsen, immigré d’origine danoise, Vivienne Le Coudy, jeune femme résolument indépendante, accepte de le suivre dans le Nevada, pour vivre avec lui. Mais lorsque la guerre de Sécession éclate, Olsen décide de s’engager et Vivienne se retrouve seule.
Petites mains de Nessim Chikhaoui
Avec Corinne Masiero, Lucie Charles-Alfred, Marie-Sohna Condé...
De quoi ça parle ? Rien n’avait préparé Eva à l’exigence d’un grand hôtel. En intégrant l’équipe des femmes de chambres, elle fait la connaissance de collègues aux fortes personnalités : Safietou, Aissata, Violette et Simone. Entre rires et coups durs, la jeune femme découvre une équipe soudée et solidaire face à l’adversité.
Etat limite de Nicolas Peduzzi
De quoi ça parle ? Hôpital Beaujon, Clichy. Au mépris des impératifs de rendement et du manque de moyens qui rongent l’hôpital public, Jamal Abdel Kader, seul psychiatre de l’établissement, s’efforce de rendre à ses patients l’humanité qu’on leur refuse. Mais comment bien soigner dans une institution malade ?
La Fleur de Buriti de João Salaviza, Renée Nader Messora
Avec Ilda Patpro Krahô, Francisco Hỳjnõ Krahô, Solane Tehtikwỳj Krahô...
De quoi ça parle ? A travers les yeux de sa fille, Patpro va parcourir trois époques de l’histoire de son peuple indigène, au cœur de la forêt brésilienne. Inlassablement persécutés, mais guidés par leurs rites ancestraux, leur amour de la nature et leur combat pour préserver leur liberté, les Krahô n’ont de cesse d’inventer de nouvelles formes de résistance.
Le saviez-vous ? La Fleur de Buriti est ancré dans la conception du cinéma de João Salaviza et Renée Nader Messora, qui voient cet art comme une pratique qui permet non seulement de raconter des histoires, mais aussi de penser. Les cinéastes expliquent :
"Avec ce nouveau film, nous souhaitions réfléchir à la relation entre le peuple Krahô et la terre. La violence subie par les Krahô au cours des derniers siècles n’a cessé de modifier leurs rites et leurs pratiques pour protéger cette terre."