Mettez votre plus belle veste en cuir et vos lunettes noires, asseyez-vous devant votre télé et lancez Terminator 2 sur Netflix, l'assurance de passer une soirée avec un bon film, Arnold Schwarzenegger au sommet de sa "coolitude" et un classique de la science-fiction !
En 1991, sept ans après le premier volet, James Cameron revient à l'univers de Terminator avec un nouvel opus qu'il baptise "Jugement dernier". Le cinéaste débutant et pourtant déjà brillant de 1984 est encore monté en gamme avec Aliens, le retour (1986) et Abyss (1989). A côté du tournage de ce dernier, Terminator est quasi une récréation pour Cameron, qui va une fois de plus montrer que personne ne l'égale dans le cinéma d'action.
"Viens avec moi, si tu veux vivre"
Carolco Pictures
Cette fois, le Terminator cherche toujours Sarah Connor, mais pour protéger son fils John, adolescent, du T-1000, un nouveau cyborg envoyé par l'intelligence artificielle Skynet. Une amitié improbable va se nouer entre le Terminator et le jeune John, tandis que Sarah va tout faire pour sauver son enfant.
D'ailleurs, qu'est devenu Edward Furlong, qui jouait le jeune John Connor ?
Terminator 2 : le Jugement dernier met encore aujourd'hui une claque à beaucoup de films récents et à leurs effets spéciaux numériques grâce à son imagerie puissante et à ses décors tangibles. Sorti en 1991 en France, "T2" a mieux vieilli visuellement que des films sortis dans les années 2010. La différence ? Tout (enfin, la plupart de ce que vous voyez) est réel.
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Les rapports entre les personnages, et notamment ceux entre John et le T-800 élèvent encore un peu plus la mythologie de l'univers Terminator en analysant le rapport de l'homme à la machine, et interrogent la potentialité du développement de sentiments chez les créatures dites artificielles. Un classique des années 1990 et un classique de la science-fiction.
