Après avoir diffusé la troisième et ultime saison de Je te promets chaque lundi soir, TF1 propose dès ce soir une toute nouvelle série, Les Randonneuses, portée par Clémentine Célarié, Alix Poisson, Camille Chamoux, Claire Borotra, Joséphine De Meaux et Tiphaine Daviot, qui devrait sans peine s'imposer comme l'un des événements télévisuels du printemps.
Composée de six épisodes, cette mini-série raconte l'histoire de Sara, Noémie, Patty, Karen, Valérie et Morgan, six "copines de chimio", très différentes les unes des autres, qui décident de partir en randonnée, à l’assaut du Dôme de la Lauze, un sommet de près de 4000 mètres, afin d'honorer une promesse faite à Eve (Elsa Lunghini), une amie récemment décédée d'un cancer.
Une série très forte, qui parvient à traiter du cancer avec une vraie justesse de ton, entre émotion et humour, et qui doit beaucoup aux prestations des six comédiennes, parfaites dans le rôle de ces femmes touchées de près ou de loin par la maladie. Mais aussi aux paysages magnifiques que les téléspectateurs peuvent admirer au fil des épisodes et de cette folle ascension.
Le parc national de la Vanoise comme décor naturel principal
Réalisée par Frédéric Berthe (Pour Sarah, L'homme de nos vies), Les Randonneuses a été tournée en région Auvergne-Rhône-Alpes, en Savoie et en Isère, à partir du 30 mai 2022. Durant de nombreuses semaines, les équipes de la série de TF1 ont ainsi posé leurs caméras dans le parc national de la Vanoise, en Savoie, et notamment dans la station de Val-Cenis.
"C'est une série qui a demandé beaucoup de repérages", explique Fanny Riedberger, la productrice et co-créatrice des Randonneuses. "Ce qui était complexe c’est qu’on avait envie de tourner l’été, pour avoir une belle lumière. Et en même temps il nous fallait de la neige, car quand on arrive au sommet, c’est un peu frustrant si tout est découvert".
Alix Poisson, Clémentine Célarié, Claire Borotra, Camille Chamoux, Tiphaine Daviot et Joséphine De Meaux ont débuté le tournage de la série par le plus difficile, c'est-à-dire les scènes à 4000 mètres d'altitude, afin de pouvoir profiter de l'enneigement nécessaire au scénario du dernier épisode.
"Elles ont commencé par le sommet de la montagne, avec le manque d’oxygène, les œufs pour y arriver. Et cette tempête qui est arrivée et qui n’était pas prévue", poursuit Fanny Riedberger, à qui l'on doit également la série Lycée Toulouse-Lautrec.
"Elles ont commencé par le dur. Et ensuite on est redescendu pour tourner le reste de la série, dans divers endroits. Je n'ai plus tous les noms en tête mais, en gros, nous avions cinq chalets qui ont fait office de repères pour nous. Cinq chalets qui ont été cinq lieux de tournage importants de cette aventure".