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    Quiz : à quel Disney appartient cette couronne ?
    Corentin Palanchini
    Passionné par le cinéma hollywoodien des années 10 à 70, il suit avec intérêt l’évolution actuelle de l’industrie du 7e Art, et regarde tout ce qui lui passe devant les yeux : comédie française, polar des années 90, Palme d’or oubliée ou films du moment. Et avec le temps qu’il lui reste, des séries.

    Venez vous risquer à notre quiz spécialement dédié aux couronnes dans les films Disney. Saurez-vous toutes les identifier ?

    Incollables sur les classiques de Disney, ce nouveau quiz est fait pour vous ! Si vous connaissez chaque détail et image des dessins animés de votre enfance, vous devriez sans problème faire un sans-faute sur nos questions à propos des couronnes de nos princes et princesses préférés.

    La Belle au bois dormant
    La Belle au bois dormant
    Sortie : 16 décembre 1959 | 1h 15min
    De Wolfgang Reitherman, Eric Larson, Les Clark
    Avec Jeanine Forney, Mary Costa, Guy Chapelier, Bill Shirley, Sylvie Moreau (III)
    Spectateurs
    3,8
    Voir sur Disney+

    Que cela soient sur la tête des rois et des reines, au sein des trésors les plus majestueux ou volées aux grands de ce monde, les couronnes de chez Disney sont propres à chacun des films dans lesquelles elles apparaissent et ne se ressemblent jamais... ou si peu ! Tentez de les identifier dans notre quiz :

    Lors de sa sortie en 1959, La Belle au Bois dormant est le film d'animation le plus cher jamais produit, avec un coût estimé à 6 millions de dollars (soit plus de 67 millions aujourd'hui). Le budget a explosé car le film a mis plus de six ans à se faire, en raison de la propension de Walt Disney à multiplier les projets annexes (notamment sur le premier parc Disney), obligeant ses équipes à travailler sur le film lorsqu'ils en avaient le temps.

    Le film obtient des résultats insuffisants au box-office, faisant réaliser à Walt Disney qu'après Blanche-Neige et les 7 nains, Pinocchio, Alice au pays des merveilles, Peter Pan et Cendrillon, les contes ne font plus recette. Il se tournera dès lors vers des récits différents comme Les 101 dalmatiens, Merlin l'enchanteur ou encore (juste avant sa mort) Le Livre de la jungle.

    C'est l'artiste Eyvind Earle qui a supervisé l'approche visuelle du film (et peint à la main la quasi-totalité des arrières-plans !). Une approche qu'il souhaitait emmener (avec la bénédiction de Walt Disney) vers une "tapisserie animée", inspirée notamment de la célèbre Chasse à la licorne et plus généralement de la galerie d'art médiéval de Manhattan. Walt Disney donna carte blanche à Eyvind Earle, au grand dam des animateurs du studios qui durent suivre ses consignes à la lettre.

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