Il est au sommet depuis trois décennies et n’a jamais reçu d’Oscar. Il est scientologue, casse-cou et endure les rumeurs les plus glauques sans jamais se départir de son sourire ultrabrite. Il a tourné pour les plus grands, enterré plus d'un concurrent, mais a attendu des années avant que la critique reconnaisse son talent. Tom Cruise fête ses 50 ans ce 3 juillet : retour en quinze films sur une trajectoire (et une filmographie) hors normes...
Alexis Geng
Mission : Impossible, premier du nom
Quand on est presque certain de gagner, il faudrait être idiot pour ne pas miser sur soi et toucher le pactole : fort de son aura de superstar hollywoodienne, Tom Cruise devient (enfin) producteur avec le lancement de la saga**, qui égrène depuis ses opus avec régularité (quatre en quinze ans). Devant la caméra, l’acteur se mue définitivement en action hero, comme en témoignent encore ses récentes galipettes à 800 mètres de haut, le long de la Burj Khalifa – Mission : Impossible 4, énorme carton au BO mondial avec presque 700 millions de dollars de recettes*, record de la saga, qui a au passage dépassé les deux milliards de recettes.
L’occasion de rappeler que si Tom Cruise a souvent été l’objet de vilaines rumeurs concernant son "côté obscur" ou son prosélytisme scientologue, il a sur les plateaux la réputation d’être extrêmement professionnel, de disposer d’une forme physique étincelante et d’être l’un des rares à - vraiment - prendre des risques, effectuant, tel Bébel, la plupart de ses cascades - dans la mesure du possible et de la mansuétude des compagnies d’assurances.
Adaptation très libre de la série TV (au point que Peter Graves, entre autres interprètes de cette dernière, renoncera à en être), les Mission : Impossible sont de qualité - très - inégale ; se souvenir à cet égard du numéro II, notamment, mais pas seulement, le premier épisode valant surtout par une ou deux scènes d’anthologie, comme le rappelle la photo ci-dessus. Mais s’il faut une franchise à succès pour asseoir la carrière d’une star, Cruise l’a ici trouvée, raflant le jackpot et assurant sa mainmise via son nouveau rôle de producteur. Accessoirement, il ajoute quelques réals à sa collection et travaille sous la direction du maître Brian De Palma (déjà bien engagé sur la pente du déclin), d'un John Woo qui n’aura jamais complètement pu exprimer son talent aux USA (Volte/Face mis à part), d'un futur boss d’Hollywood (J.J. Abrams) et d'un compagnon de route de Pixar (Brad Bird, qui a autant réussi son passage au live qu’Andrew Stanton l’a foiré avec John Carter). Bref, de jolis noms (à défaut de grands films) en plus sur un CV qui n’en manquait pas.
**au côté de sa fidèle associée (et ex-agent), Paula Wagner.
La BA du film :
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RmZz
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Appeal
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NoLeafClover
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John Black Boris
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nikcod
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brunodinah
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Snappy C
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Luther Belinguier
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Tchi-tchaaa
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Guy Ligili
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MrArcange
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hercule21
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Komal10
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Komal10
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Komal10
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Komal10
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obi62m
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Alex Jaeger
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drakhov
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Anthony Le Troadec
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LUDOVIC63
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90
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Figolu92
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macbillieandedward
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Crystal Lake
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acidelinoleique
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acidelinoleique
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Claire Marie
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Meldoise
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Meldoise
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zeopha
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Elise L?guillon
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