Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
dimanche 27 juin 2010 - 00h00
A l’occasion de la sortie de "Dog Pound", le nouveau film de Kim Chapiron, retour sur les thématiques les plus ancrées dans le film de prison, un genre cinématographique spécifique. Dossier réalisé par Laurent Schenck
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Lorsque l'on se penche du côté des personnes à l'origine de la création des films de prison, on se rend compte qu'elles ont souvent cherché à retranscrire l'univers carcéral de la manière la plus réaliste possible. Bien sûr, cette volonté n'est pas unanime, aussi dans In Hell ou Fortress, cette préoccupation n'a pas la même valeur que pour Animal Factory, Un prophète ou Dog Pound.
Pour faire en sorte que l'univers représenté à l'écran fasse le plus vrai possible, les cinéastes ont recours à différents moyens : la sollicitation d'anciens détenus comme conseillers techniques ou comme figurants, la réalisation de scènes à l'intérieur d'une vraie prison, le travail de documentation avant la mise en scène du film, etc.
Par exemple dans Les Princes de la ville, le réalisateur Taylor Hackford a obtenu une autorisation pour tourner certaines scènes dans la prison de San Quentin, à San Francisco. Il a également fait appel aux services de Jimmy Santiago Baca, un ancien prisonnier autrefois membre de la mafia mexicaine, pour participer à l'écriture du scénario du film.
Dans Dog Pound, cette volonté est encore poussée plus loin, Kim Chapiron s'étant documenté sur le milieu des prisons pour mineurs pendant un an. Les visites qu'il effectua en milieu carcéral lui ont permis de discuter avec des surveillants et des détenus, et aussi de choisir certains jeunes prisonniers pour jouer dans son film. Une grande partie des acteurs de Dog Pound ont donc réellement connu la prison. Renforçant par la même occasion l'aspect authentique du film.
Pour faire en sorte que l'univers représenté à l'écran fasse le plus vrai possible, les cinéastes ont recours à différents moyens : la sollicitation d'anciens détenus comme conseillers techniques ou comme figurants, la réalisation de scènes à l'intérieur d'une vraie prison, le travail de documentation avant la mise en scène du film, etc.
Par exemple dans Les Princes de la ville, le réalisateur Taylor Hackford a obtenu une autorisation pour tourner certaines scènes dans la prison de San Quentin, à San Francisco. Il a également fait appel aux services de Jimmy Santiago Baca, un ancien prisonnier autrefois membre de la mafia mexicaine, pour participer à l'écriture du scénario du film.
Dans Dog Pound, cette volonté est encore poussée plus loin, Kim Chapiron s'étant documenté sur le milieu des prisons pour mineurs pendant un an. Les visites qu'il effectua en milieu carcéral lui ont permis de discuter avec des surveillants et des détenus, et aussi de choisir certains jeunes prisonniers pour jouer dans son film. Une grande partie des acteurs de Dog Pound ont donc réellement connu la prison. Renforçant par la même occasion l'aspect authentique du film.
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