Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
samedi 19 juin 2010 - 06h00
Le film mexicain "Année bissextile", en salles cette semaine, a remporté à Cannes la 33e Caméra d'or, qui récompense le Meilleur premier film, toutes sections confondues. A cette occasion, AlloCiné revient sur 10 anciens lauréats, et sur le chemin qu'ils ont parcouru depuis...
8 / 12
Président du Jury : Abbas Kiarostami
Comment elle en est arrivée là
Miranda July est née en février 1974 dans le Vermont, de parents écrivains. Elle grandit en Californie où, sur la base d’une correspondance intense avec un homme emprisonné, elle monte le premier spectacle qu’elle présente devant un public. Le lycée terminé, elle déménage à Portland et enchaîne alors performances et courts-métrages. Lorsqu’AlloCiné la rencontre à l’époque du film, elle déclare: "Tout ça s'est enchaîné de façon naturelle, je suis passée du monde du rock indépendant à celui de l'art et du cinéma". Sa première expérience de cinéaste est une chaîne de courts-métrages qu’elle a initiée, une compilation de courts portraits envoyés depuis le monde entier. Ses vidéos, performances et créations multimédias ont été entre autre exposés au MoMa et au Musée Guggenheim de New-York, et elle publie régulièrement des nouvelles dans les magazines du monde entier.
Un film prometteur...
Scénariste, réalisatrice, interprète : elle s'est investie totalement dans ce projet débuté en 2004. Elle y dresse le portrait de gens ordinairement humains d'une petite ville du fin fond des Etats-Unis avec un humour farfelu et une inquiétante étrangeté planante. Si le titre embrasse la terre entière, Moi, toi et tous les autres s’organise effectivement autour d’un sentiment compassionnel de tous les instants et de tous les personnages, et le film partage avec ses autres créations cet univers lunaire et décalé qui la définit. "Mon idée, c'était qu'en abordant de toutes petites choses, des détails, je parlais en fait du monde entier. Je voulais donner à mon film ce côté kaleïdoscope", nous avait-elle confié à l’époque. Consacré à Cannes (Caméra d’or et Grand Prix de la Critique) où le film était sélectionné à la Semaine de la Critique, il reçoit également le Prix spécial du Jury de l’exigeant et révélateur festival de Sundance.
Depuis la Caméra d'Or...
Alors que ce film semblait annonçait la découverte d’une égérie du cinéma indépendant américain, Miranda July ne se précipite pas dans une deuxième réalisation et se consacre, plutôt brillamment, à ses autres activités. Elle obtient ainsi des récompenses à la fois pour son travail d’auteur de nouvelles et se voit également invitée à la Biennale de Venise 2009 pour présenter une sculpture interactive de jardin assez surprenante. Elle revient au cinéma prochainement puisque la post-production de The Future (une histoire de couple mis à l’épreuve par une mission écologique) s’achève cette année...
Comment elle en est arrivée là
Miranda July est née en février 1974 dans le Vermont, de parents écrivains. Elle grandit en Californie où, sur la base d’une correspondance intense avec un homme emprisonné, elle monte le premier spectacle qu’elle présente devant un public. Le lycée terminé, elle déménage à Portland et enchaîne alors performances et courts-métrages. Lorsqu’AlloCiné la rencontre à l’époque du film, elle déclare: "Tout ça s'est enchaîné de façon naturelle, je suis passée du monde du rock indépendant à celui de l'art et du cinéma". Sa première expérience de cinéaste est une chaîne de courts-métrages qu’elle a initiée, une compilation de courts portraits envoyés depuis le monde entier. Ses vidéos, performances et créations multimédias ont été entre autre exposés au MoMa et au Musée Guggenheim de New-York, et elle publie régulièrement des nouvelles dans les magazines du monde entier.
Un film prometteur...
Scénariste, réalisatrice, interprète : elle s'est investie totalement dans ce projet débuté en 2004. Elle y dresse le portrait de gens ordinairement humains d'une petite ville du fin fond des Etats-Unis avec un humour farfelu et une inquiétante étrangeté planante. Si le titre embrasse la terre entière, Moi, toi et tous les autres s’organise effectivement autour d’un sentiment compassionnel de tous les instants et de tous les personnages, et le film partage avec ses autres créations cet univers lunaire et décalé qui la définit. "Mon idée, c'était qu'en abordant de toutes petites choses, des détails, je parlais en fait du monde entier. Je voulais donner à mon film ce côté kaleïdoscope", nous avait-elle confié à l’époque. Consacré à Cannes (Caméra d’or et Grand Prix de la Critique) où le film était sélectionné à la Semaine de la Critique, il reçoit également le Prix spécial du Jury de l’exigeant et révélateur festival de Sundance.
Depuis la Caméra d'Or...
Alors que ce film semblait annonçait la découverte d’une égérie du cinéma indépendant américain, Miranda July ne se précipite pas dans une deuxième réalisation et se consacre, plutôt brillamment, à ses autres activités. Elle obtient ainsi des récompenses à la fois pour son travail d’auteur de nouvelles et se voit également invitée à la Biennale de Venise 2009 pour présenter une sculpture interactive de jardin assez surprenante. Elle revient au cinéma prochainement puisque la post-production de The Future (une histoire de couple mis à l’épreuve par une mission écologique) s’achève cette année...
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