Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
lundi 7 juin 2010 - 05h00
Stars du grand écran, elles ont influencé la mode de leur temps. Retour sur dix icônes au look culte ! (Dossier réalisé par Laetitia Ratane)
6 / 10
Look culte !
1961: Audrey Hepburn se glisse dans la peau d'une croqueuse de diamants, cherchant à épouser un milliardaire. Parée d'une robe noire, d'un collier de perles et d'un très long fume-cigarette, l'actrice de Diamants sur canapé est habillée par le couturier Hubert de Givenchy. Elle restera sa muse, son égérie et son ambassadrice, il lui donnera " un look, une silhouette".
Très éloignée des canons hollywoodiens aux formes généreuses, la filiforme Audrey ne suit pas la mode. Se connaissant parfaitement, elle sait d'emblée jouer de sa taille et de sa finesse, et parvient à influencer les costumiers de ses premiers films, (notamment Edith Head pour Vacances romaines) à qui elle souffle des idées. Sa grâce, son port de tête et ses yeux immenses font la différence. La ""drôle de frimousse"" est la quintessence même du chic, qui inspire peu à peu les créateurs, fait les couvertures de "Vogue" et entraîne dans son sillage les demoiselles et dames de la société de consommation des années 60, avides de robes pures et structurées pour leur silhouette plus plate et géométrique.
Culte d'un look ?
Le look de l'icône de mode a été fréquemment copié au cinéma. Si en 1990 dans Pretty Woman, Julia Roberts voit en l'héroïne de Charade le symbole du romantisme, en 2009 la fashion Blair Waldorf (Leighton Meester) de la série Gossip Girl s'identifie totalement à son idole, en qui elle voit l'incarnation parfaite de la féminité et du chic New-Yorkais. La même année, dans Etreintes brisées, Pedro Almodóvar lui rend hommage en relookant sa muse Penélope Cruz à la mode Hepburn.
1961: Audrey Hepburn se glisse dans la peau d'une croqueuse de diamants, cherchant à épouser un milliardaire. Parée d'une robe noire, d'un collier de perles et d'un très long fume-cigarette, l'actrice de Diamants sur canapé est habillée par le couturier Hubert de Givenchy. Elle restera sa muse, son égérie et son ambassadrice, il lui donnera " un look, une silhouette".
Très éloignée des canons hollywoodiens aux formes généreuses, la filiforme Audrey ne suit pas la mode. Se connaissant parfaitement, elle sait d'emblée jouer de sa taille et de sa finesse, et parvient à influencer les costumiers de ses premiers films, (notamment Edith Head pour Vacances romaines) à qui elle souffle des idées. Sa grâce, son port de tête et ses yeux immenses font la différence. La ""drôle de frimousse"" est la quintessence même du chic, qui inspire peu à peu les créateurs, fait les couvertures de "Vogue" et entraîne dans son sillage les demoiselles et dames de la société de consommation des années 60, avides de robes pures et structurées pour leur silhouette plus plate et géométrique.
Culte d'un look ?
Le look de l'icône de mode a été fréquemment copié au cinéma. Si en 1990 dans Pretty Woman, Julia Roberts voit en l'héroïne de Charade le symbole du romantisme, en 2009 la fashion Blair Waldorf (Leighton Meester) de la série Gossip Girl s'identifie totalement à son idole, en qui elle voit l'incarnation parfaite de la féminité et du chic New-Yorkais. La même année, dans Etreintes brisées, Pedro Almodóvar lui rend hommage en relookant sa muse Penélope Cruz à la mode Hepburn.
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