Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
jeudi 10 juin 2010 - 05h00
Y'a pas que le ballon rond dans la vie, c'est vrai. Mais durant la Coupe du Monde, AlloCiné se met évidemment à l'heure football à travers un dossier spécial pour cinéphiles footeux... et spectateurs allergiques aux Bleus.
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Un discours, une attitude, un charisme fou : en un mot, ils galvanisent leurs troupes. De quoi inspirer l'équipe de France... et Raymond Domenech ?
Coach Tony D'Amato (Al Pacino) - "L'Enfer du dimanche"
"Je ne sais pas quoi vous dire en fait. Trois minutes avant le plus grand combat de nos carrières. Tous se joue aujourd'hui. Soit nous guérissons en tant qu'équipe, soit nous nous écroulons, pouce après pouce, jeu après jeu, jusqu'à la fin... Nous sommes en enfer messieurs. Croyez-moi. Nous pouvons y rester, nous faire massacrer... Ou nous pouvons nous battre et revenir dans la lumière. Nous pouvons remonter de l'enfer pouce après pouce. Je ne peux pas le faire à votre place. Je suis trop vieux. Je regarde autour de moi, je vois ces jeunes visages et je me dis que j'ai fait tous les mauvais choix qu'un homme mûr peut faire. Croyez-le ou non, j'ai claqué tout mon fric. J'ai fait fuir tous ceux qui m'ont aimé. Ces jours-ci, je ne peux plus me regarder dans la glace... Quand on vieillit, certaines choses vous sont enlevées. Ca fait partie de la vie. Mais on n'apprend ça que quand on commence à perdre des choses. On apprend que la vie se joue pouce par pouce. Le football aussi. Dans les deux jeux, la vie ou le football, la marge d'erreur est très mince. Un demi pas trop tard ou trop tôt, et on n'y arrive pas tout à fait. Une demie seconde avant ou après, et on n'attrape pas tout à fait. Ces pouces que nous voulons sont partout autour de nous. Dans chaque phase de jeu, à chaque minute, à chaque seconde. Dans cette équipe, on lutte pour chaque pouce. Dans cette équipe, on se déchire et on déchire tout le monde autour pour chaque pouce. On griffe de nos ongles pour chaque pouce. Parce qu'on sait qu'à la fin, le total de tous ces pouces fera la putain de différence entre gagner et perdre ! Entre vivre et mourir ! Je vais vous dire : dans tout combat, c'est celui qui est prêt à mourir qui gagnera ce dernier pouce. Et si j'ai encore un peu de vie, c'est que je veux encore lutter et mourir pour ce pouce. Parce que vivre, c'est ça ! Ces 6 pouces devant vous ! Je ne peux pas vous y forcer ! Regardez ce type à côté de vous ! Regardez-le dans les yeux ! Vous verrez un type qui foncera avec vous. Vous verrez un type qui se sacrifiera pour l'équipe parce qu'il sait que le moment venu, vous en ferez autant pour lui...C'est ça une équipe messieurs. Soit nous guérissons, maintenant, comme équipe... Soit nous mourrons, comme individus. C'est ça le football, les gars. Rien de plus. Eh bien, qu'allez-vous faire ?"
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Leonidas (Gerard Butler) - "300"
"C'est ici que nous les arrêterons ! C'est ici que nous combattrons ! C'est ici qu'ils mourront ! Rappelez-vous ce jour, soldats, car il vous appartient à jamais... (...) Pas de retraite. Pas de capitulation. C'est la loi spartiate. Et par la loi spartiate, nous resterons debout, nous combattrons et nous mourrons. Un nouvel âge a commencé, un âge de liberté. Et tous sauront que 300 Spartiates ont donné jusqu'à leur dernier souffle pour le défendre. (...) Spartiates, préparez votre déjeuner et mangez bien... Car ce soir nous dînons aux enfers !"
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Aimé Jacquet, à la mi-temps de France-Croatie en 1998 - "Les Yeux dans les bleus"
"Aucune chance ! Mais aucune chance ! On est en train de s'annihiler toutes nos chances ! C'est pas difficile. Alors ou on réagit et on y va parce qu'il y a une finale au bout. Ou alors laissez tomber, et vous attendez. Vous attendez qu'on jette la pièce en l'air... Y'a personne qui bouge ! Personne ne réagit ! On est là, dix mecs amorphes... Vous avez peur de quoi ? Vous avez peur de qui ? Peur ? Et bien vous allez perdre les gars, je vous le dis. Vous allez perdre. Vous avez pas de soucis à vous faire..."
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Théoden (Bernard Hill) - "Le Seigneur des Anneaux"
"En avant, ne craignez aucune obscurité. Debout, cavaliers de Théoden ! Les lances seront secouées ! Les boucliers voleront en éclat ! Une journée de l'épée ! Une journée rouge avant que le soleil ne se lève ! Au galop maintenant ! Au galop maintenant ! Courez à la ruine et à la fin du monde ! A mort ! A mort !! A mort !!! En avant, Eorlingas ! Chargez !"
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William Wallace (Mel Gibson) - "Braveheart"
"Fils de l'Ecosse. Je suis William Wallace. (...) Et je vois toute une armée de mes compatriotes venus défier la tyrannie. Vous combattez en hommes libres. Et vous êtes des hommes libres. Que ferez-vous sans la liberté ? Vous vous battez ? (...) Battez-vous, et mourez peut-être. Sauvez-vous, vous vivrez... quelque temps. Sur votre lit de mort, dans bien des années, échangeriez-vous tous les jours à venir après celui-ci pour une chance, rien qu'une chance, de revenir ici dire à nos ennemis qu'ils peuvent prendre nos vies, mais jamais... notre liberté !"
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Le President Thomas J. Whitmore (Bill Pullman) - "Independence Day"
"Bonjour... Dans moins d'une heure, nos avions vont en rallier d'autres venus du monde entier. Vous allez livrer le plus grand combat aérien de l'histoire de l'humanité. L'humanité... Un mot qui devrait prendre un sens nouveau pour nous aujourd'hui... Ne passons plus notre temps à ne penser qu'à nos petites querelles sans importance. Nous allons être unis dans notre intérêt commun. Peut-être le sort a t-il voulu qu'aujourd'hui soit le 4 juillet. Vous allez une fois de plus devoir défendre notre liberté. Non pas de la tyrannie, de l'oppression, de la persécution... Mais de l'anéantissement. Nous combattons pour notre droit de vivre. D'exister. Et si nous remportons la victoire, le 4 juillet ne sera plus connu comme la fête nationale américaine, mais comme le jour où le monde a déclaré d'une seule voix : 'Nous n'entrerons pas dans la nuit sans combattre. Nous ne voulons pas disparaître sans nous battre. Nous allons vivre. Nous allons survivre. Aujourd'hui, nous célébrons le jour de notre indépendance'."
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Le Général Tadamichi Kuribayashi (Ken Watanabe) - "Lettres d'Iwo Jima"
"Soldats, le temps est venu pour chacun de montrer sa valeur. En tant que soldats de l'Armée Impériale, je sais que vous combattrez avec fierté. Iwo Jima est primordiale pour le Japon dans cette guerre. Si l'ennemi s'en empare, elle sera la base de leurs bombardiers. C'est d'ici qu'ils lanceront leurs attaques contre la métropole. Pour la métropole... Pour notre patrie... Jusqu'au dernier, combattons pour que l'ennemi soit arrêté ici. Aucun de vous ne doit mourir avant d'avoir tué au moins dix ennemis. Résignez-vous à ne plus jamais fouler vivants le sol japonais. Quoi qu'il arrive, je marcherai devant vous. Longue vie à l'Empereur !"
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Spartacus (Kirk Douglas) - "Spartacus"
"Cette nuit, une armée romaine va débarquer à Brindisium. Une deuxième armée marche sur nous, venant de l'ouest. A elles deux, elles espèrent nous cerner et nous acculer à la mer. Les pirates ciliciens nous ont trahis, nous n'aurons pas de navires. Rome veut nous empêcher de quitter l'Italie, elle y est fermement décidée. Par conséquent, il ne nous reste plus qu'à marcher sur Rome elle-même. Et ce sera la seule façon de remporter une victoire totale. Il faut libérer tous les esclaves qui se trouvent en Italie. Ne vaut-il pas mieux être un homme libre parmi ses frères à la veille d'une marche épuisante et d'un dur combat que d'être le plus riche citoyen de Rome engraissé par le travail des autres et entouré d'esclaves ? La route que nous avons faite ensemble est longue, nous avons livré de nombreux combats, remporté de grandes victoires, et maintenant, alors que nous devions embarquer sur des navires pour rentrer chez nous, il faut nous battre encore. La paix n'existe peut-être pas dans ce monde, ni pour nous ni pour les autres, je l'ignore. Mais ce que je sais c'est qu'aussi longtemps que nous vivrons nous devrons rester loyaux envers nous-mêmes. Je sais que nous sommes tous frères et je sais que nous sommes libres. Nous partons ce soir !"
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Jeanne (Milla Jovovich) - "Jeanne d'Arc"
"Ce matin, Dieu nous a donné une grande victoire. Mais ce n'était rien en comparaison de ce qu'il s'apprête à nous donner maintenant. Je sais que vous souffrez tous, de fatigue et de faim. Mais je peux vous jurer que même si les Anglais s'accrochent aux flancs des nuages pour essayer de nous échapper, nous les mettrions à Terre avant la fin du jour. Maintenant, que ceux qui m'aiment me suivent. Suivez-moi ! Suivez-moi !!!"
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Bill le Boucher (Daniel Day-Lewis) & Père Vallon (Liam Neeson) - "Gangs of New York"
Daniel Day-Lewis : "Je vous ai défiés selon l'antique loi du combat sur ce terrain d'élection, pour décider une fois pour toutes qui règnera sur le quartier des Five Points. Nous, les Natifs, nés de droit dans ce pays ? Ou les hordes étrangères qui le souillent ?"
Liam Neeson : "Selon l'antique loi du combat, je relève le défi des soi-disant " Natifs ". Vous tourmentez sans cesse les nôtres. Demain, vous ne nous tourmenterez plus. Qu'on se le dise : la main qui veut nous bouter hors de cette terre sera tranchée !"
Daniel Day-Lewis : "Que le dieu chrétien guide ma main contre le papisme romain !"
Liam Neeson : "Préparez-vous à accueillir le vrai Dieu !"
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Le Général George S. Patton (George C. Scott) - "Patton"
"Mettez-vous bien dans la tête qu'un connard n'a jamais gagné une guerre en mourant pour son pays. On gagne une guerre en faisant ce qu'il faut pour que les pauvres connards d'en face meurent pour leur pays. Soldats, on n'a pas cessé de vous dire que l'Amérique ne voulait pas se battre, qu'elle voulait rester en dehors de la guerre. Tout ça c'est du baratin. Les Américains, de tout temps, ont aimé se battre. Tous les vrais Américains aiment se battre. Ils aiment se battre, ils sont comme ça. Quand vous étiez des gosses, ils vous impressionnaient vous aussi, les champions de base-ball, les champions de boxe, les grands joueurs de football, et vous les admiriez. Les Américains aiment les vainqueurs. Les perdants, chez nous, on n'en veut pas. Les Américains se battent pour gagner quelque soit le prix, et nous ne paierons jamais assez cher pour rester des hommes libres. Quoi qu'il arrive. C'est pour ça que les Américains n'ont jamais perdu une guerre. Et c'est pour ça que jamais ils n'en perdront. Tout simplement parce que l'idée de perdre est intolérable aux Américains. Autre chose, une armée c'est une équipe. Vous devrez vivre et vous battre comme dans une équipe. Et ce qu'on vous a raconté sur l'individualisme on s'en tape. Les pauvres petits cons qui pensent que l'individualisme est sacré peuvent tous aller se faire foutre. Ils ne savent pas plus ce que c'est qu'une bataille qu'ils ne savent que c'est que faire l'amour. Nous avons tout d'abord le meilleur équipement, un moral à toute épreuve et nos troupes sont les meilleures du monde. Entre nous, je vous assure, j'ai vraiment pitié de ces enfants de putain contre qui on va se battre. C'est vrai, je trouve ça triste. On ne va pas se contenter de leur tirer dessus à ces petits cons. On va aussi leur faire sortir les tripes et les boyaux du ventre, et ça vous servira à graisser les chenilles de vos tanks. Il faut qu'on leur montre ce qu'on vaut à ces salopards de Boches. Pas de pitié. Je sais, il y en a parmi vous qui ne sont pas rassurés et se demandent, quand ça chauffera, s'ils n'auront pas la trouille, s'ils ne ficheront pas le camp. Je suis sûr que non. Dieu sait que vous ferez votre devoir. Les Nazis sont nos pires ennemis, rentrez-leur dedans, massacrez-les sans pitié, écrasez-les comme des punaises. Et ce ne sera pas encore assez. Quand vous verrez de la bouillie près de vous, à la place qu'occupait une minute avant votre meilleur ami, alors vous saurez. Vous saurez ce qui vous reste à faire. Il y a une chose dont vous faudra vous souvenir. Je ne veux pas recevoir de message disant " nous restons sur nos positions ". Nous ne restons sur rien du tout, nous laissons ça aux Boches. Nous n'arrêterons pas d'avancer, et nous ferons ce qu'il faut pour ça. Nous refusons de tenir quoi que ce soit, exceptés nos ennemis. On va leur tenir par la peau des fesse, on va leur botter le cul, on va tous les faire ramper dans la merde. Et si avec ça ils n'ont pas compris, on leur coupera les couilles. Bon, vous avez de la chance, quels beaux souvenirs pour plus tard, quand ce bordel sera fini. Et il faudra remercier le Seigneur pour ça. Quand vous serez des vieux messieurs et que vous fumerez votre pipe au coin du feu, vos petits fils assis sur vos genoux, et qu'ils vous diront " où est-ce que tu étais au cours de la Deuxième Guerre mondiale ? ", vous n'aurez pas à répondre " Eh ben, moi, je charriais de la merde en Louisiane ". Je vous ai tout dit, enfants de salauds. Vous savez ce que je pense. Et je vous en donne ma parole, je serai heureux et fier de vous conduire au combat, n'importe où, n'importe quand... C'est tout."
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Le discours ultime
Coach Tony D'Amato (Al Pacino) - "L'Enfer du dimanche"
"Je ne sais pas quoi vous dire en fait. Trois minutes avant le plus grand combat de nos carrières. Tous se joue aujourd'hui. Soit nous guérissons en tant qu'équipe, soit nous nous écroulons, pouce après pouce, jeu après jeu, jusqu'à la fin... Nous sommes en enfer messieurs. Croyez-moi. Nous pouvons y rester, nous faire massacrer... Ou nous pouvons nous battre et revenir dans la lumière. Nous pouvons remonter de l'enfer pouce après pouce. Je ne peux pas le faire à votre place. Je suis trop vieux. Je regarde autour de moi, je vois ces jeunes visages et je me dis que j'ai fait tous les mauvais choix qu'un homme mûr peut faire. Croyez-le ou non, j'ai claqué tout mon fric. J'ai fait fuir tous ceux qui m'ont aimé. Ces jours-ci, je ne peux plus me regarder dans la glace... Quand on vieillit, certaines choses vous sont enlevées. Ca fait partie de la vie. Mais on n'apprend ça que quand on commence à perdre des choses. On apprend que la vie se joue pouce par pouce. Le football aussi. Dans les deux jeux, la vie ou le football, la marge d'erreur est très mince. Un demi pas trop tard ou trop tôt, et on n'y arrive pas tout à fait. Une demie seconde avant ou après, et on n'attrape pas tout à fait. Ces pouces que nous voulons sont partout autour de nous. Dans chaque phase de jeu, à chaque minute, à chaque seconde. Dans cette équipe, on lutte pour chaque pouce. Dans cette équipe, on se déchire et on déchire tout le monde autour pour chaque pouce. On griffe de nos ongles pour chaque pouce. Parce qu'on sait qu'à la fin, le total de tous ces pouces fera la putain de différence entre gagner et perdre ! Entre vivre et mourir ! Je vais vous dire : dans tout combat, c'est celui qui est prêt à mourir qui gagnera ce dernier pouce. Et si j'ai encore un peu de vie, c'est que je veux encore lutter et mourir pour ce pouce. Parce que vivre, c'est ça ! Ces 6 pouces devant vous ! Je ne peux pas vous y forcer ! Regardez ce type à côté de vous ! Regardez-le dans les yeux ! Vous verrez un type qui foncera avec vous. Vous verrez un type qui se sacrifiera pour l'équipe parce qu'il sait que le moment venu, vous en ferez autant pour lui...C'est ça une équipe messieurs. Soit nous guérissons, maintenant, comme équipe... Soit nous mourrons, comme individus. C'est ça le football, les gars. Rien de plus. Eh bien, qu'allez-vous faire ?"
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Leonidas (Gerard Butler) - "300"
"C'est ici que nous les arrêterons ! C'est ici que nous combattrons ! C'est ici qu'ils mourront ! Rappelez-vous ce jour, soldats, car il vous appartient à jamais... (...) Pas de retraite. Pas de capitulation. C'est la loi spartiate. Et par la loi spartiate, nous resterons debout, nous combattrons et nous mourrons. Un nouvel âge a commencé, un âge de liberté. Et tous sauront que 300 Spartiates ont donné jusqu'à leur dernier souffle pour le défendre. (...) Spartiates, préparez votre déjeuner et mangez bien... Car ce soir nous dînons aux enfers !"
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Aimé Jacquet, à la mi-temps de France-Croatie en 1998 - "Les Yeux dans les bleus"
"Aucune chance ! Mais aucune chance ! On est en train de s'annihiler toutes nos chances ! C'est pas difficile. Alors ou on réagit et on y va parce qu'il y a une finale au bout. Ou alors laissez tomber, et vous attendez. Vous attendez qu'on jette la pièce en l'air... Y'a personne qui bouge ! Personne ne réagit ! On est là, dix mecs amorphes... Vous avez peur de quoi ? Vous avez peur de qui ? Peur ? Et bien vous allez perdre les gars, je vous le dis. Vous allez perdre. Vous avez pas de soucis à vous faire..."
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Théoden (Bernard Hill) - "Le Seigneur des Anneaux"
"En avant, ne craignez aucune obscurité. Debout, cavaliers de Théoden ! Les lances seront secouées ! Les boucliers voleront en éclat ! Une journée de l'épée ! Une journée rouge avant que le soleil ne se lève ! Au galop maintenant ! Au galop maintenant ! Courez à la ruine et à la fin du monde ! A mort ! A mort !! A mort !!! En avant, Eorlingas ! Chargez !"
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William Wallace (Mel Gibson) - "Braveheart"
"Fils de l'Ecosse. Je suis William Wallace. (...) Et je vois toute une armée de mes compatriotes venus défier la tyrannie. Vous combattez en hommes libres. Et vous êtes des hommes libres. Que ferez-vous sans la liberté ? Vous vous battez ? (...) Battez-vous, et mourez peut-être. Sauvez-vous, vous vivrez... quelque temps. Sur votre lit de mort, dans bien des années, échangeriez-vous tous les jours à venir après celui-ci pour une chance, rien qu'une chance, de revenir ici dire à nos ennemis qu'ils peuvent prendre nos vies, mais jamais... notre liberté !"
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Le President Thomas J. Whitmore (Bill Pullman) - "Independence Day"
"Bonjour... Dans moins d'une heure, nos avions vont en rallier d'autres venus du monde entier. Vous allez livrer le plus grand combat aérien de l'histoire de l'humanité. L'humanité... Un mot qui devrait prendre un sens nouveau pour nous aujourd'hui... Ne passons plus notre temps à ne penser qu'à nos petites querelles sans importance. Nous allons être unis dans notre intérêt commun. Peut-être le sort a t-il voulu qu'aujourd'hui soit le 4 juillet. Vous allez une fois de plus devoir défendre notre liberté. Non pas de la tyrannie, de l'oppression, de la persécution... Mais de l'anéantissement. Nous combattons pour notre droit de vivre. D'exister. Et si nous remportons la victoire, le 4 juillet ne sera plus connu comme la fête nationale américaine, mais comme le jour où le monde a déclaré d'une seule voix : 'Nous n'entrerons pas dans la nuit sans combattre. Nous ne voulons pas disparaître sans nous battre. Nous allons vivre. Nous allons survivre. Aujourd'hui, nous célébrons le jour de notre indépendance'."
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Le Général Tadamichi Kuribayashi (Ken Watanabe) - "Lettres d'Iwo Jima"
"Soldats, le temps est venu pour chacun de montrer sa valeur. En tant que soldats de l'Armée Impériale, je sais que vous combattrez avec fierté. Iwo Jima est primordiale pour le Japon dans cette guerre. Si l'ennemi s'en empare, elle sera la base de leurs bombardiers. C'est d'ici qu'ils lanceront leurs attaques contre la métropole. Pour la métropole... Pour notre patrie... Jusqu'au dernier, combattons pour que l'ennemi soit arrêté ici. Aucun de vous ne doit mourir avant d'avoir tué au moins dix ennemis. Résignez-vous à ne plus jamais fouler vivants le sol japonais. Quoi qu'il arrive, je marcherai devant vous. Longue vie à l'Empereur !"
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Spartacus (Kirk Douglas) - "Spartacus"
"Cette nuit, une armée romaine va débarquer à Brindisium. Une deuxième armée marche sur nous, venant de l'ouest. A elles deux, elles espèrent nous cerner et nous acculer à la mer. Les pirates ciliciens nous ont trahis, nous n'aurons pas de navires. Rome veut nous empêcher de quitter l'Italie, elle y est fermement décidée. Par conséquent, il ne nous reste plus qu'à marcher sur Rome elle-même. Et ce sera la seule façon de remporter une victoire totale. Il faut libérer tous les esclaves qui se trouvent en Italie. Ne vaut-il pas mieux être un homme libre parmi ses frères à la veille d'une marche épuisante et d'un dur combat que d'être le plus riche citoyen de Rome engraissé par le travail des autres et entouré d'esclaves ? La route que nous avons faite ensemble est longue, nous avons livré de nombreux combats, remporté de grandes victoires, et maintenant, alors que nous devions embarquer sur des navires pour rentrer chez nous, il faut nous battre encore. La paix n'existe peut-être pas dans ce monde, ni pour nous ni pour les autres, je l'ignore. Mais ce que je sais c'est qu'aussi longtemps que nous vivrons nous devrons rester loyaux envers nous-mêmes. Je sais que nous sommes tous frères et je sais que nous sommes libres. Nous partons ce soir !"
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Jeanne (Milla Jovovich) - "Jeanne d'Arc"
"Ce matin, Dieu nous a donné une grande victoire. Mais ce n'était rien en comparaison de ce qu'il s'apprête à nous donner maintenant. Je sais que vous souffrez tous, de fatigue et de faim. Mais je peux vous jurer que même si les Anglais s'accrochent aux flancs des nuages pour essayer de nous échapper, nous les mettrions à Terre avant la fin du jour. Maintenant, que ceux qui m'aiment me suivent. Suivez-moi ! Suivez-moi !!!"
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Bill le Boucher (Daniel Day-Lewis) & Père Vallon (Liam Neeson) - "Gangs of New York"
Daniel Day-Lewis : "Je vous ai défiés selon l'antique loi du combat sur ce terrain d'élection, pour décider une fois pour toutes qui règnera sur le quartier des Five Points. Nous, les Natifs, nés de droit dans ce pays ? Ou les hordes étrangères qui le souillent ?"
Liam Neeson : "Selon l'antique loi du combat, je relève le défi des soi-disant " Natifs ". Vous tourmentez sans cesse les nôtres. Demain, vous ne nous tourmenterez plus. Qu'on se le dise : la main qui veut nous bouter hors de cette terre sera tranchée !"
Daniel Day-Lewis : "Que le dieu chrétien guide ma main contre le papisme romain !"
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Le Général George S. Patton (George C. Scott) - "Patton"
"Mettez-vous bien dans la tête qu'un connard n'a jamais gagné une guerre en mourant pour son pays. On gagne une guerre en faisant ce qu'il faut pour que les pauvres connards d'en face meurent pour leur pays. Soldats, on n'a pas cessé de vous dire que l'Amérique ne voulait pas se battre, qu'elle voulait rester en dehors de la guerre. Tout ça c'est du baratin. Les Américains, de tout temps, ont aimé se battre. Tous les vrais Américains aiment se battre. Ils aiment se battre, ils sont comme ça. Quand vous étiez des gosses, ils vous impressionnaient vous aussi, les champions de base-ball, les champions de boxe, les grands joueurs de football, et vous les admiriez. Les Américains aiment les vainqueurs. Les perdants, chez nous, on n'en veut pas. Les Américains se battent pour gagner quelque soit le prix, et nous ne paierons jamais assez cher pour rester des hommes libres. Quoi qu'il arrive. C'est pour ça que les Américains n'ont jamais perdu une guerre. Et c'est pour ça que jamais ils n'en perdront. Tout simplement parce que l'idée de perdre est intolérable aux Américains. Autre chose, une armée c'est une équipe. Vous devrez vivre et vous battre comme dans une équipe. Et ce qu'on vous a raconté sur l'individualisme on s'en tape. Les pauvres petits cons qui pensent que l'individualisme est sacré peuvent tous aller se faire foutre. Ils ne savent pas plus ce que c'est qu'une bataille qu'ils ne savent que c'est que faire l'amour. Nous avons tout d'abord le meilleur équipement, un moral à toute épreuve et nos troupes sont les meilleures du monde. Entre nous, je vous assure, j'ai vraiment pitié de ces enfants de putain contre qui on va se battre. C'est vrai, je trouve ça triste. On ne va pas se contenter de leur tirer dessus à ces petits cons. On va aussi leur faire sortir les tripes et les boyaux du ventre, et ça vous servira à graisser les chenilles de vos tanks. Il faut qu'on leur montre ce qu'on vaut à ces salopards de Boches. Pas de pitié. Je sais, il y en a parmi vous qui ne sont pas rassurés et se demandent, quand ça chauffera, s'ils n'auront pas la trouille, s'ils ne ficheront pas le camp. Je suis sûr que non. Dieu sait que vous ferez votre devoir. Les Nazis sont nos pires ennemis, rentrez-leur dedans, massacrez-les sans pitié, écrasez-les comme des punaises. Et ce ne sera pas encore assez. Quand vous verrez de la bouillie près de vous, à la place qu'occupait une minute avant votre meilleur ami, alors vous saurez. Vous saurez ce qui vous reste à faire. Il y a une chose dont vous faudra vous souvenir. Je ne veux pas recevoir de message disant " nous restons sur nos positions ". Nous ne restons sur rien du tout, nous laissons ça aux Boches. Nous n'arrêterons pas d'avancer, et nous ferons ce qu'il faut pour ça. Nous refusons de tenir quoi que ce soit, exceptés nos ennemis. On va leur tenir par la peau des fesse, on va leur botter le cul, on va tous les faire ramper dans la merde. Et si avec ça ils n'ont pas compris, on leur coupera les couilles. Bon, vous avez de la chance, quels beaux souvenirs pour plus tard, quand ce bordel sera fini. Et il faudra remercier le Seigneur pour ça. Quand vous serez des vieux messieurs et que vous fumerez votre pipe au coin du feu, vos petits fils assis sur vos genoux, et qu'ils vous diront " où est-ce que tu étais au cours de la Deuxième Guerre mondiale ? ", vous n'aurez pas à répondre " Eh ben, moi, je charriais de la merde en Louisiane ". Je vous ai tout dit, enfants de salauds. Vous savez ce que je pense. Et je vous en donne ma parole, je serai heureux et fier de vous conduire au combat, n'importe où, n'importe quand... C'est tout."
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