Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
samedi 26 décembre 2009 - 05h00
Il paraît qu'on a toujours en nous l'enfant qu'on a été... et le 7ème art n'hésite pas à le rappeler ! Que ce soit aux travers des refuges imaginaires ou de l'innocence déchue, le cinéma ne cesse de nous faire retomber en enfance. Ce dossier, non exhaustif, reprend les principaux thèmes du grand écran. A travers quelques films marquants, nous vous souhaitons de revivre cette nostalgie douce-amère d'un temps jamais complètement révolu... Dossier réalisé par Bathilde Tautou et Sébastien Cléro
- Les refuges imaginaires
- Le récit initiatique
- Sur les bancs de l'école
- Les grandes peurs des petits
- La mort n'est pas un jeu d'enfant
- Le complot des adultes
- Etre ou ne pas être "grand"
- La République des kids
- Les adultes sont des enfants comme les autres
- Bro' and Sis'
- La cruauté enfantine
- Les mômes de la misère
22 / 68
"Les 400 coups" (1959)
Dans Les Quatre cents coups, premier film de François Truffaut, Antoine Doinel est encore un enfant, et de nombreuses scènes se déroulent dans les murs du collège (même si le jeune garçon et ses camarades semblent passer le plus clair de leur temps à faire l’école buissonnière). Les dictées, le maître, les punitions, Balzac, le mensonge, la camaraderie, la faute... : tout ce qui peut caractériser l’expérience d’un individu de 14 ans vivant une enfance difficile nous est montré. Après sa fuite du pensionnat, le célèbre plan final du film marque avec brio l’instant de la maturité, au moment où Jean-Pierre Léaud jette au spectateur un regard complice, dès lors figé pour l’éternité.
"L'argent de poche" (1975)
Dans L'Argent de poche,Truffaut filme l’enfance "comme un enfant", pourrait-on dire. Il trouve ainsi une forme tout à fait adéquate à son sujet. Ce film volontairement naïf d’un cinéaste pourtant déjà expérimenté, nous montre comment explorer et représenter l’enfance au cinéma. D’ailleurs, nul autre réalisateur n’a aussi bien réussi à investir le monde propre des enfants qu’il dirige. Truffaut se met littéralement au service des enfants, il n’essaie pas de les prendre sous son aile mais les regarde comme tels. C’est tout le charme d’un film qui tente de capter cet univers privilégié de l’enfance, que chacun de nous a d'ailleurs connu.
Dans Les Quatre cents coups, premier film de François Truffaut, Antoine Doinel est encore un enfant, et de nombreuses scènes se déroulent dans les murs du collège (même si le jeune garçon et ses camarades semblent passer le plus clair de leur temps à faire l’école buissonnière). Les dictées, le maître, les punitions, Balzac, le mensonge, la camaraderie, la faute... : tout ce qui peut caractériser l’expérience d’un individu de 14 ans vivant une enfance difficile nous est montré. Après sa fuite du pensionnat, le célèbre plan final du film marque avec brio l’instant de la maturité, au moment où Jean-Pierre Léaud jette au spectateur un regard complice, dès lors figé pour l’éternité.
"L'argent de poche" (1975)
Dans L'Argent de poche,Truffaut filme l’enfance "comme un enfant", pourrait-on dire. Il trouve ainsi une forme tout à fait adéquate à son sujet. Ce film volontairement naïf d’un cinéaste pourtant déjà expérimenté, nous montre comment explorer et représenter l’enfance au cinéma. D’ailleurs, nul autre réalisateur n’a aussi bien réussi à investir le monde propre des enfants qu’il dirige. Truffaut se met littéralement au service des enfants, il n’essaie pas de les prendre sous son aile mais les regarde comme tels. C’est tout le charme d’un film qui tente de capter cet univers privilégié de l’enfance, que chacun de nous a d'ailleurs connu.
Vous devez vous connecter pour écrire un commentaire
-
ElisabethSwann
-
Holywood82
-
Hollie Wood
-
edbloom
-
charisma08
-
segolenemm75
-
segolenemm75
-
segolenemm75
-
emporio68
-
cruizerwb
-
Coco6po
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
fab290689
-
the_littlele_bowsky
-
3LIYAH83
-
SeverusSweeney
Tweet
Les Gardiens de la galaxie : 24 détails cachés dans le film Marvel
Tweet
-
- Terrifier 3 J-28
- Gladiator 2 J-7
- Sur un fil J-21
- Louise Violet J-21
- Vaiana 2 J-0
- Jamais sans mon psy J-21
- Wicked Part 1 J-0
- Mufasa: le roi lion J-21
- The Lord Of The Rings: The War Of Rohirrim J-14