Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
mardi 21 juillet 2009 - 05h00
Une bonne scène de combat au cinéma, ça laisse des traces, et pas qu'aux acteurs. A l'occasion de la sortie de "Ong-Bak 2", la rédac' témoigne - Dossier coordonné par Maximilien Pierrette
8 / 11
Le film
Old boy de Park Chan-wook (2004)
La scène en question
Oh Dae-Soo, un père de famille sans histoire, est enlevé un jour, devant chez lui. Incarcéré et séquestré, sans raison apparente, dans une cellule clandestine, son seul lien avec le monde extérieur est une télévision via laquelle il apprend l'assassinat de sa femme, dont il est le principal suspect. Au bout de quinze années de captivité, il est libéré, toujours sans la moindre explication. En sortant de sa cellule Oh Dae-Soo se retrouve dans un long corridor...
Pourquoi ça fait mal ?
Au bout du corridor : la sortie... mais entre notre héros et celle-ci se dresse une vingtaine d'assaillants pour la plupart armés (couteau, batte de base-ball...). A moitié fou après plus de quinze ans d'effermement, Oh Dae-Soo, seul contre tous, décide de les affrontenr, avec l'énergie du desespoir... et un marteau !
Filmé en un plan séquence de plusieurs minutes, appuyé par plusieurs lents travellings latéraux et une petite musique lancinante, cette scène de baston ultra-réaliste confine (un peu plus) le spectateur à la claustrophobie. En faisant le choix de ne dévoiler au spectateur que les informations auxquelles le héros a accès, celui-ci prend fait et cause pour Oh et adopte totalement sa vision chose : quitter ce corridor, coûte que coûte, et sortir, pour comprendre.
Attention les yeux !
Old boy de Park Chan-wook (2004)
La scène en question
Oh Dae-Soo, un père de famille sans histoire, est enlevé un jour, devant chez lui. Incarcéré et séquestré, sans raison apparente, dans une cellule clandestine, son seul lien avec le monde extérieur est une télévision via laquelle il apprend l'assassinat de sa femme, dont il est le principal suspect. Au bout de quinze années de captivité, il est libéré, toujours sans la moindre explication. En sortant de sa cellule Oh Dae-Soo se retrouve dans un long corridor...
Pourquoi ça fait mal ?
Au bout du corridor : la sortie... mais entre notre héros et celle-ci se dresse une vingtaine d'assaillants pour la plupart armés (couteau, batte de base-ball...). A moitié fou après plus de quinze ans d'effermement, Oh Dae-Soo, seul contre tous, décide de les affrontenr, avec l'énergie du desespoir... et un marteau !
Filmé en un plan séquence de plusieurs minutes, appuyé par plusieurs lents travellings latéraux et une petite musique lancinante, cette scène de baston ultra-réaliste confine (un peu plus) le spectateur à la claustrophobie. En faisant le choix de ne dévoiler au spectateur que les informations auxquelles le héros a accès, celui-ci prend fait et cause pour Oh et adopte totalement sa vision chose : quitter ce corridor, coûte que coûte, et sortir, pour comprendre.
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