Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
samedi 26 avril 2008 - 05h00
[REC] et Funny Games U.S : deux films, deux genres totalement différents. A l'arrivée : deux éléctrochocs monstrueux. L'occasion pour la Rédac' de sonder chacun de ses membres sur sa plus grosse flippe et son plus gros choc ciné. N'hésitez pas à évoquer les vôtres sur le forum !
7 / 9
Quelle est votre plus gros choc au cinéma ?
Très honnêtement, je n'attendais pas grand-chose de 28 jours plus tard, vu la tristesse des précédents films de zombies (Resident Evil notamment), et la capacité qu'a Danny Boyle à rater un film sur deux, mais là j'avoue que j'ai pris une belle rafale de phalanges sur ce coup. Déjà, voir que les morts-vivants ont découvert qu'on pouvait aussi se servir de ses jambes pour courir, c'est plus que pas mal pour nous prendre aux tripes, surtout lorsque les scènes de tension sont filmées de façon aussi réaliste, avec, en bonus, des plans hallucinants des rues de Londres désertes. Un choc inattendu, donc, et qui aurait du me servir de leçon. Mais non : trois ans plus tard, je pensais pouvoir faire le malin devant un 28 semaines plus tard que j'imaginais comme rien de moins qu'une bête resucée de l'original, et j'ai pris le même type de claque, sur l'autre joue cette fois-ci, et ce dès la scène d'ouverture qui a même été jusqu'à me filer des frissons.
Quelle est votre plus grosse flippe au cinéma ?
Aussi étonnant que cela puisse paraître, et malgré les films d'horreurs que je vois sans aucun problème, je n'ai jamais été autant angoissé, dans une salle obscure, que face à Signes. Oui, oui, celui de M. Night Shyamalan dans lequel des extra-terrestres se servent du champ de Mel Gibson comme d'un Spirograph' pour annoncer leur invasion prochaine. Autant, sur un sujet proche, Independence Day ou Mystère (la dernière saga de l'été de TF1) m'avaient bien fait rire, autant celui m'a glacé le sang à plusieurs reprises, tant le réalisateur met sa virtuosité et son art indéniable de la suggestion au service d'une ambiance des plus inquiétantes. Et entre le coup de la silhouette aperçue sur un toit ou dans un champ de maïs, ou l'arrivée des petits hommes verts signifiée par le chien qui cesse subitement d'aboyer puis des rais de lumière qui s'obscurcissent brièvement, le film m'a tellement collé au fond de mon siège que j'en ai encore plus regretté sa fin ratée.
Très honnêtement, je n'attendais pas grand-chose de 28 jours plus tard, vu la tristesse des précédents films de zombies (Resident Evil notamment), et la capacité qu'a Danny Boyle à rater un film sur deux, mais là j'avoue que j'ai pris une belle rafale de phalanges sur ce coup. Déjà, voir que les morts-vivants ont découvert qu'on pouvait aussi se servir de ses jambes pour courir, c'est plus que pas mal pour nous prendre aux tripes, surtout lorsque les scènes de tension sont filmées de façon aussi réaliste, avec, en bonus, des plans hallucinants des rues de Londres désertes. Un choc inattendu, donc, et qui aurait du me servir de leçon. Mais non : trois ans plus tard, je pensais pouvoir faire le malin devant un 28 semaines plus tard que j'imaginais comme rien de moins qu'une bête resucée de l'original, et j'ai pris le même type de claque, sur l'autre joue cette fois-ci, et ce dès la scène d'ouverture qui a même été jusqu'à me filer des frissons.
Quelle est votre plus grosse flippe au cinéma ?
Aussi étonnant que cela puisse paraître, et malgré les films d'horreurs que je vois sans aucun problème, je n'ai jamais été autant angoissé, dans une salle obscure, que face à Signes. Oui, oui, celui de M. Night Shyamalan dans lequel des extra-terrestres se servent du champ de Mel Gibson comme d'un Spirograph' pour annoncer leur invasion prochaine. Autant, sur un sujet proche, Independence Day ou Mystère (la dernière saga de l'été de TF1) m'avaient bien fait rire, autant celui m'a glacé le sang à plusieurs reprises, tant le réalisateur met sa virtuosité et son art indéniable de la suggestion au service d'une ambiance des plus inquiétantes. Et entre le coup de la silhouette aperçue sur un toit ou dans un champ de maïs, ou l'arrivée des petits hommes verts signifiée par le chien qui cesse subitement d'aboyer puis des rais de lumière qui s'obscurcissent brièvement, le film m'a tellement collé au fond de mon siège que j'en ai encore plus regretté sa fin ratée.
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