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Votre avis sur The Big Bang Theory ?
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21 critiques
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Meilleure sitcom de tous les temps. Les épisodes sont tous remarquablement écrits (c'est le chef d'oeuvre de Chuck Lorre), l'humour est omniprésent, les acteurs sont excellents, avec une mention particulière pour Simon Helberg, hilarant, et Jim Parsons, extraordinaire de bout en bout.
La VF est assez bonne, mais la VO est beaucoup plus riche.
Je regarde régulièrement quelques épisodes, et je n'arrive pas à m'en lasser.
Incontournable.
La VF est assez bonne, mais la VO est beaucoup plus riche.
Je regarde régulièrement quelques épisodes, et je n'arrive pas à m'en lasser.
Incontournable.
Franchement j'adore cette série. Pour être honnête je fais ma critique seulement maintenant mais je viens de terminer mon 6eme visionnage de la série entière. Malgré ça, je m'en lasserai jamais. C'est une série drôle, touchante, parfois on apprend des trucs et surtout on s'attache vite aux personnages même secondaire comme stewart ou burt. Je vous la conseille vivement ainsi que son spin off "young sheldon"
Alexarod
Déjà le début est fracassant vu l’annonce inattendue de Sheldon. Par la suite ça ronronne et on en revient aux situations de couples habituelles, comme la saison 7, donc je la mets au même niveau.
Bizarrement le temps d’antenne est plus partagé puisqu’on s’habitue à tous. Du coup, le couple phare (Penny-Leonard) disparait un peu, ce qui occasionne une certaine déception. Le problème c’est que les scénaristes se focalisent sur Sheldon, certes c’est un grand intérêt, mais là ça fait trop pub pour la série spin off sur le perso plus jeune. De plus, la quantité tout comme la qualité de l’humour baisse, principalement à cause de la trame narrative qui doit conduire la continuité. A suivre les histoires des uns des autres on perd en intensité. Le mariage tant annoncé revient trop souvent, ce qui gâche son intérêt, même le nouveau travail de Raj’ n’est réduit qu’à une anecdote. Par contre, la fâcherie entre ce dernier et Howard dure un peu, ça rajoute du piment dans leur « couple ».
Les producteurs hésitaient à finir sur cette saison, et en fait je comprends pourquoi, l’épilogue aurait pu constituer une bonne fin, surtout qu’on est clairement sur la pente descendante. Cependant, les scénaristes ont réussi à faire 11 saisons de bonne facture et on s’attache au groupe, lui donner une bonne fin serait génial donc on est reparti.
Bizarrement le temps d’antenne est plus partagé puisqu’on s’habitue à tous. Du coup, le couple phare (Penny-Leonard) disparait un peu, ce qui occasionne une certaine déception. Le problème c’est que les scénaristes se focalisent sur Sheldon, certes c’est un grand intérêt, mais là ça fait trop pub pour la série spin off sur le perso plus jeune. De plus, la quantité tout comme la qualité de l’humour baisse, principalement à cause de la trame narrative qui doit conduire la continuité. A suivre les histoires des uns des autres on perd en intensité. Le mariage tant annoncé revient trop souvent, ce qui gâche son intérêt, même le nouveau travail de Raj’ n’est réduit qu’à une anecdote. Par contre, la fâcherie entre ce dernier et Howard dure un peu, ça rajoute du piment dans leur « couple ».
Les producteurs hésitaient à finir sur cette saison, et en fait je comprends pourquoi, l’épilogue aurait pu constituer une bonne fin, surtout qu’on est clairement sur la pente descendante. Cependant, les scénaristes ont réussi à faire 11 saisons de bonne facture et on s’attache au groupe, lui donner une bonne fin serait génial donc on est reparti.
Audrey L
Bazinga ! Voici que vient de se terminer en grande nostalgie et suspens The Big Bang Theory. Soit la série des doux-dingues geeks et des pétillantes misses qui les regardent comme autant d'extra-terrestres incompréhensibles (mais ô combien attachants). On a un pincement au cœur si l'on a suivi la série à ses débuts, depuis maintenant douze ans (que le temps file...) en se remémorant les premiers fous-rires, les premiers amours et les invités de renom, saupoudrés d'humour foufou et de théorèmes physiques. A priori, la science n'avait rien d'hilarant, et pourtant le Big Bang Theory a réussi à faire rire avec de la physique quantique dont la plupart des spectateurs sont "assez peu spécialistes" (pour ma part, un sacré euphémisme) grâce à Penny qui nous représente avec son air perplexe face aux geeks passionnés. Douze années de générique rock and roll avec son énumération à cent à l'heure, de titres (français) très inspirés (je ne sais pas qui choisi les titres des épisodes en français, mais clairement il a tout compris), de personnages tous excellemment doublés en VF et également aussi importants dans l'intrigue, qui évoluent pour passer d'électrons libres à relations plus sérieuses. Et Sheldon. Comment oublier Sheldon, dont l'acteur Jim Parson a réussi à ancrer dans nos esprits son regard assassin, son sourire malsain, ses jérémiades hilarantes et ses sautes d'humeur légendaires... Les premières saisons sont les meilleures, même si le final vaut clairement le détour. Maintenant, impossible de dire adieu à cette série qui clame autant son amour pour la science que pour ses personnages, on se remet à l'occasion un petit épisode pour rigoler, en criant bien sûr : "Knock knock knock Big Bang Theory !!!"
Genialissime. j'adore cette serie ,je les regarder a force que mes Enfants me dises que c'est super..Et là je me suis avaler la série.Top👍👍👍
Alexarod
Ou l’adaptation actuelle de Friends version geek. En effet, beaucoup de similitudes : le groupe d’amis, toujours le même appartement où tous défilent, un début tonitruant sans introduction des personnages, des histoires du quotidien (même si celui-ci est bien différent), 2 groupes distincts qui se retrouvent dans une pièce, une love story compliqué avec de multiples rebondissements, un autre couple qui se forme (bien plus solide) et se marie, un membre non officiel mais récurrent (Janice = Stuart ?), un concurrent dans le groupe pour le couple phare (Joey = Raj’ ?)… Ultime preuve du passage de témoin : on retrouve un ex de Phoebe dans l’épisode 6 de la saison 9. Néanmoins ces ressemblances ne sont pas pour me déplaire, puis c’est symptomatique de l’évolution de la société, d’un côté Friends maintenant ressemblerait davantage à cette bande de geeks que des trentenaires dans un café ou un salon.
Même formule certes mais avec des persos tellement différents que ça marche de nouveau, surtout que le comique est au rendez-vous, jouant des clichés de cette culture pop-geek-nouvelles technologies de l’actualité. La culture geek étant bien entrée dans les mœurs il était normal de la retrouver si marquée, ça parle à tout le monde désormais. Notons que les guest stars de tous univers sont balaises (Carrie Fischer, la voix de Vador, Stan Lee, du Star Trek etc). Néanmoins résumer les 4 « génies » à la simple consommation de BD est succinct, les références à de vrais travaux scientifiques sont légion également, ce qui, avec un travail de recherche, peut être enrichissant pour tous, enfin de la culture en s’amusant. Puis l’étude des conventions sociales, auxquelles Sheldon est étranger, est un régal autant qu’une mine de faits hallucinants. La seule grosse différence est le facteur Schelly, il n’y avait pas un protagoniste si important dans Friends, ni si spécial.
Mon plus grand regret sera, paradoxalement, l’évolution des personnages. Autant j’aime voir une trame continue dans une série, autant là ça a fait avancer les histoires des protagonistes en dévaluant l’humour. La formule de départ était sans doute trop pensée pour un style de persos et de public, donc quand les couples ont commencés à se former on a perdu le côté célibataires ados qui ramenait tant de situations comiques, d’autant que les intrigues se sont multipliées et la dispersion a divisé l’intérêt…
Au final l’ensemble est assez inégal : j’ai adoré les 6 premières saisons (surtout la 3ème) et après ça a décliné, mais sans jamais atteindre un niveau catastrophique. Si l’humour a lui aussi baissé c’est pour mieux construire les rapports entre les personnages et leur psychologie. En tout cas j’en garderai un bon souvenir. Je pense qu’elle supportera un revisionnage dans quelques années sans qu’on en souffre trop car les références actuelles ne sont pas légion, et il n’y a pas besoin d’être calé dans la SF ou d‘autres domaines pour comprendre les jokes. Bref n’hésitez pas à mater, ça peut être long mais ça reste bien.
Même formule certes mais avec des persos tellement différents que ça marche de nouveau, surtout que le comique est au rendez-vous, jouant des clichés de cette culture pop-geek-nouvelles technologies de l’actualité. La culture geek étant bien entrée dans les mœurs il était normal de la retrouver si marquée, ça parle à tout le monde désormais. Notons que les guest stars de tous univers sont balaises (Carrie Fischer, la voix de Vador, Stan Lee, du Star Trek etc). Néanmoins résumer les 4 « génies » à la simple consommation de BD est succinct, les références à de vrais travaux scientifiques sont légion également, ce qui, avec un travail de recherche, peut être enrichissant pour tous, enfin de la culture en s’amusant. Puis l’étude des conventions sociales, auxquelles Sheldon est étranger, est un régal autant qu’une mine de faits hallucinants. La seule grosse différence est le facteur Schelly, il n’y avait pas un protagoniste si important dans Friends, ni si spécial.
Mon plus grand regret sera, paradoxalement, l’évolution des personnages. Autant j’aime voir une trame continue dans une série, autant là ça a fait avancer les histoires des protagonistes en dévaluant l’humour. La formule de départ était sans doute trop pensée pour un style de persos et de public, donc quand les couples ont commencés à se former on a perdu le côté célibataires ados qui ramenait tant de situations comiques, d’autant que les intrigues se sont multipliées et la dispersion a divisé l’intérêt…
Au final l’ensemble est assez inégal : j’ai adoré les 6 premières saisons (surtout la 3ème) et après ça a décliné, mais sans jamais atteindre un niveau catastrophique. Si l’humour a lui aussi baissé c’est pour mieux construire les rapports entre les personnages et leur psychologie. En tout cas j’en garderai un bon souvenir. Je pense qu’elle supportera un revisionnage dans quelques années sans qu’on en souffre trop car les références actuelles ne sont pas légion, et il n’y a pas besoin d’être calé dans la SF ou d‘autres domaines pour comprendre les jokes. Bref n’hésitez pas à mater, ça peut être long mais ça reste bien.
La presse est ridicule et ne comprends rien comme les rageux. La série est originale, bien pensées, cohérente, elle est très plaisante à regarder hormis quelques fautes dans les doublages qui ne correspondent pas au vrai comique de l'original, les rires trop artificiels alors que les rires de la série ne sont pas générés ordinateur. Sinon elle se regarde sans se lasser. C'est doux, très bien trouvé, une des rares séries drôle qui m'ait accrochée. C'est vraiment bien quand on a le moral au plus bas. Ils sont en vérité assez caustiques, parfois méchants et c'est très drôle.
Alexarod
Dernière saison mais saison de trop aussi, même les acteurs semblent le penser vu la lassitude qu’ils commencent à montrer, ainsi que les souhaits de chacun
spoiler:
d’en finir petit à petit
.
Certes si ça s’était achevé spoiler: sur le mariage de Sheldon et Amy
ça aurait fait banal, sauf que la suite n’est pas intéressante et convenue. On se focalise toujours plus sur Shelly (ses beaux-parents, sa thèse, spoiler: le prix Nobel), tout juste si le mariage arrangé de Raj’ a droit de citer
, mais la psychologie des persos avance. C’est plus que famélique comme trame et l’intérêt a complètement disparu, alors l’humour… En plus le procédé visant à promouvoir le spin off Young Sheldon m’agace pas mal (épisode 10). Néanmoins il faut nuancer car sur la conclusion de la série le niveau remonte un peu, Léonard s’affirmant ça fait du bien. Le final est sympa, pas une apothéose mais ça passe, et même si toutes les histoires ne sont pas finies (Raj’ surtout) on ne s’en préoccupe guère, puis ia Buffy...
Bref c’est pas mal mais c’est tout, disons que ça conclut la série de bonne façon.
.
Certes si ça s’était achevé spoiler: sur le mariage de Sheldon et Amy
ça aurait fait banal, sauf que la suite n’est pas intéressante et convenue. On se focalise toujours plus sur Shelly (ses beaux-parents, sa thèse, spoiler: le prix Nobel), tout juste si le mariage arrangé de Raj’ a droit de citer
, mais la psychologie des persos avance. C’est plus que famélique comme trame et l’intérêt a complètement disparu, alors l’humour… En plus le procédé visant à promouvoir le spin off Young Sheldon m’agace pas mal (épisode 10). Néanmoins il faut nuancer car sur la conclusion de la série le niveau remonte un peu, Léonard s’affirmant ça fait du bien. Le final est sympa, pas une apothéose mais ça passe, et même si toutes les histoires ne sont pas finies (Raj’ surtout) on ne s’en préoccupe guère, puis ia Buffy...
Bref c’est pas mal mais c’est tout, disons que ça conclut la série de bonne façon.
Comme beaucoup de séries la longueur de celle-ci lui a fait perdre sa fraîcheur et son originalité.
Les clichés sont sympathiques et plutôt réalistes et l'humour est omniprésent.
Si on est un geek averti on se reconnaitra dans au moins un des personnages.
C'est intelligent et assez exact pour un sujet qui se veut habillement vulgarisér la science et la complexité des relations sociales pour des gens socialement inaptes.
Le syndrome d'Asperger de Sheldon est brillamment traité et interprèté par Jim Parson.
Les clichés sont sympathiques et plutôt réalistes et l'humour est omniprésent.
Si on est un geek averti on se reconnaitra dans au moins un des personnages.
C'est intelligent et assez exact pour un sujet qui se veut habillement vulgarisér la science et la complexité des relations sociales pour des gens socialement inaptes.
Le syndrome d'Asperger de Sheldon est brillamment traité et interprèté par Jim Parson.
Il est très rare de tomber sur des séries qui ne s’essoufflent pas après tant de saisons. Drôle et divertissante du début à la fin, avec des excellents acteurs, The Big Bang Theory nous manquera.
Une très bonne série comique qui rappelle les Friends ou How I Met Your Mother mais avec un postulat de base plus original.
Une saison avec des épisodes très sympa mais une deuxième partie de saison qui s'essouffle. Un bon final. J'aurai aimé un peu plus, mais déjà bien touchant. Triste de voir cette série se terminer mais elle tournait en rond
Certains se demandent si c’est pas saison de trop, c’est pas nouveau mais là je commence à pas en douter. En fait rien ne bouge : Leonard et Amy ont du mal à vivre leur couple à cause de Sheldon, Penny a moins de présence, Bernadette est enceinte (encore) donc rien de neuf, Howard subit et s’efface, Stuart est toujours nourrice chez Howie mais trouve plus ou moins quelqu’un et Raj’ ne fait rien de particulier à part se fâcher momentanément avec Howie et changer de coupe de cheveux (ouah, ça tiendra pas).
A part ça rien d’autre, pas de nouveautés, pas de science, on attend qu’il se passe quelque chose mais le scénaristes nous font du réchauffé toute la saison, puis de si longs préparatifs pour un mariage très ricain sam gave perso.
A part ça rien d’autre, pas de nouveautés, pas de science, on attend qu’il se passe quelque chose mais le scénaristes nous font du réchauffé toute la saison, puis de si longs préparatifs pour un mariage très ricain sam gave perso.
Les nouveaux Friends sont des geeks. The Big bang Theory c'est la revanche de la culture geek. Ceux qui méprisaient Warhammer se retrouvent aujourd'hui pour jouer à des jeux de société entre amis, ceux qui ne "comprenaient rien" aux ordinateurs ont 3 écrans chez eux, LOTR a remporté 11 oscars, les jeux vidéos sont devenu du e-Sport et le grand public cite le nom des Avengers plus facilement que ceux des apôtres. Autrefois cantonné au rôle de side kick (informaticien boutonneux ou scientifique loufoque) le geek est devenu un héros, qui pour vaincre, privilégie son cerveau sur développé à ses muscles atrophiés. La scène qui symbolise cette métaphore c'est la confrontation entre Kurt et Leonard lors de la costumed party (Saison1Ep6) "Homo habilis discovering his opposable thumbs says what? Kurt: What?" Et Penny tombe amoureuse du hobbit... C'est la victoire de l'esprit sur le corps ce qui fait du bien dans un monde Insta/snapshot/TikTok passionné par l'image et l'apparence. The Big Bang Theory se distingue aussi par ses dialogues et punchlines au sommet desquels trône Sheldon. C'est la principale faiblesse de BBT, elle repose trop sur son génial personnage central dont l'incapacité à maîtriser les conventions sociales les plus simples est le ressort comique principal de la série. Les autres personnages m'auront moins touchés d'autant que la série semble chercher à toucher toutes les minorités possibles afin d'élargir son audience déjà considérable. Au final j'ai passé des moments divertissants devant ces formats courts, dynamiques, anti religieux, anti fake science et dont les multiples références à "la" culture qui a bercé ma jeunesse m'ont fait alterner entre rire et souvenir.
Selon moi, la meilleure Sitcom avec How I Met. Un humour décapant. Malgré les 12 saisons, on ne s'ennuie jamais, les blagues font toujours mouche... Une des meilleurs séries humoristiques, si ce n'est la meilleure americaine