(...)Même si Nagisa Ôshima semble se réinventer à chaque long-métrage, on retrouve de nombreuses constantes au sein de sa filmographie. L’une d’elle est le fameux code du bushido, et son implantation dans la sphère familiale japonaise. Comme Journal d’un Voleur de Shinjuku dans un registre plus burlesque, LA CÉRÉMONIE est typiquement un film post-68, imprégné d’un fort esprit de révolte contre la tradition sociétale ...
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