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    Peggy Sue s'est mariée
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    Ricco92
    Ricco92

    181 abonnés 2 090 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2024
    La quarantaine est un âge où on peut commencer à repenser à ce qu’on aurait pu faire autrement dans sa vie. C’est ce que Peggy Sue semble avoir l’occasion de faire (on ne saura jamais vraiment si l’histoire racontée est un rêve ou la réalité) dans Peggy Sue s’est mariée ! Dans ce film de commande (il devait au début être réalisé par Jonathan Demme puis par Penny Marshall), Francis Ford Coppola (qui ne signe le générique que sous l’appellation Francis Coppola) troque complètement le style flamboyant de films comme Le Parrain ou Apocalypse Now pour un style plus discret (presqu’académique) et intimiste. Alors qu’on pourrait s’attendre au vu du sujet à une comédie romantique, le cinéaste choisit plus d’aller sur un registre mélancolique et tendre. Utilisant un casting mêlant acteurs installés (Kathleen Turner ou John Carradine) et comédiens en devenir (son neveu Nicolas Cage, sa fille Sofia Coppola, Jim Carrey, Helen Hunt…), Peggy Sue s’est mariée est loin d’être l’œuvre la plus marquante du réalisateur mais est une réflexion intéressante sur le destin et sur les choix de vie qui peut surtout attirer un public suffisamment mature pour s’être posé ce genre de questions.
    Roub E.
    Roub E.

    747 abonnés 4 825 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mai 2023
    Un film qui reprend le thème un peu éculé de « et si c’était à refaire » avec cette Peggy Sue quarantenaire en instance de divorce usée par la vie qui replonge accidentellement dans les années 60 et la fin de son lycée. Il y a de bons moments ou l’émotion se crée comme lorsque Peggy Sue retrouve sa chambre chez ses parents, veut mieux se comporter avec sa sœur et où la vie semble de nouveau s’ouvrir à elle. Kathleen Turner est d’ailleurs pour beaucoup dans ces quelques passages réussis. Mais le reste du film est bien plus laborieux. Nicolas Cage en roues libres est insupportable, Francis Ford Coppola ne semble pas savoir comment clore son film et ce dernier devient vraiment laborieux et sans surprise dans la dernière partie. Reste tout de même une belle reconstitution de cette Amérique des années 60 et un joli numéro d’actrice.
    Artriste
    Artriste

    85 abonnés 1 829 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2023
    Comédie dramatique réalisée par Francis Ford Coppola, Peggy Sue S'Est Mariée est un long-métrage convenable. L'histoire débute en 1985 et nous fait suivre Peggy, accompagnée de sa fille, se rendant à une réunion d'anciens élèves, vingt-cinq ans après, alors qu'elle est sur le point de divorcer de Charlie son amour de toujours rencontré sur les bancs de l'école. Seulement, durant la soirée, la mère de famille s'évanouit et se réveil en 1960, période de sa dernière année scolaire ou elle va pouvoir changer son destin. Ce scénario est alléchant sur le papier, et s'il est plaisant à suivre, il est tout de même regrettable que le concept ne soit pas plus poussé que cela. En effet, en l'état, l'intrigue est assez convenue alors qu'elle aurait pu donner lieu à plus de possibilités. Tout le cœur du récit se joue à travers les relations entre les personnages, Peggy revoyant des êtres aimés depuis disparus, ce qui provoque de belles retrouvailles. Hélas, l'émotion est pourtant loin d'être débordante, le ton étant assez neutre malgré quelques sourires provoqués, mais le côté dramatique n'est pas assez prononcé et ne parvient pas à être touchant. Les protagonistes sont tout de même appréciables et interprétés par une distribution comportant de jolis noms comme Kathleen Turner, Nicolas Cage, Helen Hunt ou encore Jim Carrey. Tous ces rôles entretiennent des échanges sympathiques, soutenus pas d'assez bons dialogues. L'ensemble est réalisé de façon classique mais efficace par Francis Ford Coppola dont la mise en scène est particulièrement soignée. La photographie est belle et colorée, couplée à une reconstitution d'époque agréable qu'on ressent beaucoup également grâce à la b.o. En effet, celle-ci est généreuse et qualitative, se composant de nombreux titres dansants de cette période, permettant ainsi de renforcer l'ambiance d'autrefois. Cette romance se conclut sur une fin un peu abrupte mais satisfaisante, venant mettre un terme à Peggy Sue S'Est Mariée, qui pour conclure, est un film de bonne facture, même s'il n'est pas indispensable.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 016 abonnés 4 093 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 février 2023
    Quand il aborde le tournage de « Peggy Sue s’est mariée » en 1986, Francis Ford Coppola est au creux de la vague. Non pas tant artistiquement, ayant réalisé après son chef d’œuvre absolu « Apocalypse Now » (1979) pas moins que « Coup de cœur » (1982), « Outsiders » (1983), « Rusty James » (1983) et « Cotton Club » (1984), mais surtout financièrement, aucun de ces quatre films n’ayant rapporté de l’argent. Etant même pour « Coup de cœur », un véritable flop autant critique que financier. Pour remettre à flot Zoetrope Studios, sa propre société de production, Coppola doit trouver une martingale. Le projet « Peggy Sue s’est mariée » est initialement prévu pour Jonathan Demme avec Debra Winger dans le rôle principal. Les démêlés de Demme avec la très susceptible Debra Winger finissent par aboutir à l’arrivée conjointe de Coppola et de Kathleen Turner en lieu et place du duo de départ. Nicolas Cage, le neveu de Coppola, complète la distribution succédant à Steve Guttenberg et Dennis Quaid un temps envisagés. Le succès colossal et mondial quelques mois plus tôt remporté par « Retour vers le futur » de Robert Zemeckis incite certainement à la mise en route du scénario de « Peggy Sue s’est mariée » proposant à son tour un voyage temporel. Mais l’approche retenue est sensiblement différente. Là où Robert Zemeckis faisait feu de tout bois en multipliant les prouesses techniques et en usant avec jubilation de tous les entrelacs narratifs permis par les multiples sauts temporels, la démarche de Coppola semble beaucoup plus prosaïque et dépouillée voire modeste. Le réalisateur questionne spoiler: en effet la possibilité fantasmatique offerte à Peggy Sue, s’évanouissant lors d’une soirée d’anciens élèves fêtant le 25ème anniversaire de leur sortie du lycée, de remonter dans le temps pour savoir si son destin aurait pu être autre et surtout si le choix de Charlie Bodell (Nicolas Cage) son amour de jeunesse devenu son époux était le bon alors qu’ils sont dans le présent en cours de divorce. Drame existentiel de nos vies qui ne passent qu’une fois sur le mode : « Si c’était à refaire…
    », « Peggy Sue » permet à Coppola alors connu pour sa démesure, de prouver qu’il peut mettre son talent au service d’un film intimiste rendant compte tout simplement de nos vies ordinaires faites d’amour, d’ambitions déçues, de regrets, de petites lâchetés mais aussi de joies intenses et de rêves plus grands que soi. Kathleen Turner est une Peggy Sue tout simplement formidable. Actrice au parcours atypique qui n’a pas tenu toutes ses promesses. Débutant sa carrière en 1981 avec le très sulfureux « La fièvre au corps » de Lawrence Kasdan qui remet au goût du jour le film noir, elle devient instantanément un sex -symbol. Elle enchaîne avec « A la poursuite du diamant vert » sorte d’avatar des « Aventuriers de l’Arche perdue ». Kathleen Turner brille alors de mille feux jusqu’à « La guerre de roses » de Danny de Vito où elle retrouve Michael Douglas pour un affrontement amoureux mémorable. Mais les années 1990 infligent un brutal coup d’arrêt à son ascension, à cause d’une prise de poids qui change son image. Sa côte s’effondre pour ne jamais remonter hormis dans le très jouissif « Serial mother » (1994) de John Waters où Kathleen Turner se joue avec une ironie mordante de son changement d’apparence. Dans « Peggy Sue s’est mariée » encore à son meilleur, elle aide grandement Coppola à dresser le portrait nostalgique d’une jeunesse insouciante qui fait à travers son voyage temporel le bilan de ces années un peu vaines et vides de sens où ne comptaient que la consommation et l’apparence qui commandait le rapport superficiel aux autres. Un film sans doute mineur comparé aux très grands films qui peuplent l’œuvre de Francis Ford Coppola mais un film à ne pas négliger qui révèle la part sensible du grand réalisateur.
    soulman
    soulman

    69 abonnés 1 155 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 février 2023
    Certainement pas un grand Coppola mais le plaisir de revoir l'excellente Kathleen Turner dans un rôle pas si évident, et la toute jeune Sofia dans celui d'une peste, sœur de Peggy Sue. Même si le scénario patine un peu à mi-film, les décors sont beaux et les rapports amoureux sont revitalisés dans les dernières scènes avec finesse et nostalgie. Pour tous les fans de Buddy Holly et de Dion and the Belmonts.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    587 abonnés 2 764 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Peggy Sue Got Married présente l’intérêt d’aborder le voyage dans le temps comme un moyen de confronter un présent décevant avec un passé tout à la fois idéalisé – parce qu’il appartient à la mémoire individuelle et redonne vie et forme à ce qui n’était jusqu’alors qu’une somme de souvenirs épars – et porteur des germes de l’échec à venir, soit la perspective d’un mariage placé sous le signe de la prolongation et la concrétisation de l’insouciance et de l’amour véritable, alors qu’il cristallisera la souffrance des amants. L’exploration d’un passé, qui oscille entre le personnel et le générationnel dans la mesure où la jeune femme ne fouille pas sa mémoire mais retourne dans les années 60, vise alors moins à le réécrire qu’à comprendre le présent et permettre au couple de perdurer, de surmonter la crise qu’il traverse.

    Aussi le regard de Peggy Sue sur sa ville d’adolescence associe-t-il deux statuts : celui d’acteur qui peut légèrement influencer la marche de son destin, celui de spectateur désabusé qui se raccorde à la magie d’un âge synonyme de liberté et de bonheur. La séquence de trajet en voiture fait d’elle un touriste émerveillé : assise à l’arrière après avoir quitté l’infirmerie scolaire, elle redécouvre son passé à partir de ce qu’elle est maintenant. De même, les interactions avec sa famille et son entourage se modifient-elles, qualifiées de « bizarres ». Ce voyage temporel a donc un effet miroir, explicité par l’ouverture et la clausule du film : son effet est spéculaire, et Peggy Sue revoit moins à l’identique les êtres, les lieux et les situations qu’elle a connus autrefois qu’elle ne les perçoit sous un nouveau jour, décelant la fragilité d’une sœur que l’on mésestimait sans raison ou le talent d’un petit-ami que l’on fait souffrir pour des fautes qu’il n’a pas encore commises.

    Francis Ford Coppola retrouve donc ici l’un de ses thèmes de prédilection, à savoir la fuite du temps et les dégradations qu’elle produit sur les sentiments et, plus généralement, sur l’âme ; ce faisant, il présente aussi les années 80 comme nostalgiques des années 60, mieux comme dépendantes d’elles comme le faisaient déjà, pour la décennie précédente, American Graffiti (George Lucas, 1973) ou Grease (Randal Kleiser, 1978) avec les années 50.

    Toutes ces qualités, d’ordre esthétique et symbolique, ne sauraient pourtant masquer l’incapacité rencontrée par des acteurs mal choisis à susciter émotions et compassion, la lourdeur des dialogues et l’absence de charme. Dit autrement, le long métrage traite du voyage dans le temps mais n’est à aucun moment magique. Comme si Coppola se contentait de mettre en images un projet qu’il s’approprie mais qu’il sait ne pas venir de lui, à l’instar des fameux miroirs réfléchissant des reflets imparfaits.
    Loïck G.
    Loïck G.

    289 abonnés 1 636 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 février 2021
    Vingt-cinq ans avant l’excellent « Camille redouble » de Noémie Lvovsky, Coppola imagine sur un scénario de Jerry Leichtling et Arlene Sarner un retour dans les années lycée. Chaque cinéaste adopte un ton résolument différent. Quand Camille refuse délibérément de revivre ce qu’elle a connu en jeune fille, Peggy recolle innocemment les pièces de son propre puzzle. Elle vit un conte de fée, elle tient à sa baguette magique. Ce qui procure une comédie sentimentalo-romantique, à peine nostalgique. Nicolas Cage enjôleur de première est marrant. Kathleen Turner tout à fait dans la peau de son personnage. Il est sympathique de relever les premiers pas ou presque de Jim Carrey et découvrir Sofia Coppola en petite peste tout aussi agréable. On passe un moment agréable, en ne regrettant rien de ces années sixties. AVIS BONUS Jean-Baptiste Thoret est aux commandes , analyse et commentaires
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 231 abonnés 7 247 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 février 2021
    1985, la fête bat son plein lorsque les anciens du lycée Buchanan fêtent leur réunion d’anciens élèves. Comme lorsqu’ils étaient étudiants, ils élisent un roi et une reine du bal et c’est Peggy Sue qui est élue, sauf qu’au moment de venir sur scène, elle s’évanouit. Quand elle se réveille, elle est revenue en 1960 et va redevenir le temps d’un instant, l’étudiante insouciante qu’elle a été.

    Peggy Sue s'est mariée (1986) est une œuvre de commande dans laquelle Francis Ford Coppola est arrivé sur le tard pour remplacer le réalisateur initial qui avait quitté le projet pour divergences artistiques. Était-ce dans un but purement mercantile de la part des producteurs ou est-ce le hasard du calendrier qui a voulu que ce film (qui a rencontré un très grand succès au box-office), sorte au cinéma un an après l’énorme succès rencontré par Retour vers le futur (1985) ?

    Visiblement, les années 60 collent à la peau du cinéaste, lui qui venait de réaliser Outsiders (1983), se retrouve de nouveau dans les sixties avec cette histoire rocambolesque de voyage dans le temps (ou rêve donnant l’illusion de la réalité). On aurait aimé y adhérer, mais le film étant sans réelle envergure (hormis le joli plan d’ouverture via un traveling arrière face à un (faux) miroir) et sans enjeu, l’ensemble s’avère hélas rapidement décevant. Certes, le casting est joli et fort sympathique (Francis Ford Coppola y fait jouer sa fille (Sofia), son neveu (Nicolas Cage) et toute une ribambelle de têtes connues telles que Catherine Hicks, Jim Carrey, Kathleen Turner, Helen Hunt ou encore John Carradine), mais il ne suffit pas d’un bel emballage pour convaincre, il faut aussi que l’histoire et la mise en scène tiennent la route.

    Le réalisateur nous dépeint une Amérique fantasmée, avec un joli enrobage à grands renforts de maisons cossues, des costumes et de rutilantes voitures 60’s, mais en dehors de tout cela, il faut bien admettre que le film s’avère relativement plat et lancinant (que penser de la séquence se déroulant dans la loge maçonnique, virant dans le grand n’importe quoi ou ce personnage de poète déchu & polygame ?). Quelle était la marge de manœuvre du cinéaste pour honorer sa commande ? Telle est la question, tant on peine à reconnaître sa patte, son style. Le résultat s’avère kitch et gnangnan, malgré d’excellents acteurs, si l’on fait abstraction d’un Nicolas Cage poussif et exaspérant.

    A noter enfin, qu’il existe un remake officieux, avec Camille Redouble (2011) de Noémie Lvovsky.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Y Leca
    Y Leca

    21 abonnés 912 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2020
    Beau film sur les années adolescentes US qu'on aimerait revivre - ou pas. Referait-on sa vie de la même façon si on le pouvait ? Subtil mélange d'Américain Graffiti et de Retour vers le futur, avec une Kathleen Turner frémissante quand elle était encore belle.
    Gilles B
    Gilles B

    14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2020
    Film très touchant de Francis Coppola,mais que l'on appréciera vraiment si l'on a plus de 30 ans. Je l'ai vu pour ma part avec quelques décennies d'écart et je l'avoue,l'effet n'est pas le même. Comment ne pas avoir envie de revenir dans le passé ne serait-ce que quelques temps et revoir les gens que l'on a aimé. Et pourquoi pas essayer de changer certaines choses et bousculer le destin.Nostalgique mais jamais mièvre,ce beau conte de fée sans prétention vous emportera comme la brise légère d'une douce nuit étoilée
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 septembre 2019
    Un an après Retour vers le futur, Coppola s’essaie au voyage dans le temps et c’est malheureusement raté. La réalisation est plate, le montage laborieux, les acteurs pas très bons (Nicolas Cage, au secours !) et le scénario manque de rythme et de vrais enjeux. L’émotion a du mal à prendre et les rares gags tombent à plat. Le film n’est pas désagréable et le voyage dans le temps a toujours son petit charme, mais je ne vois pas l’intérêt d’inventer un tel point de départ pour ensuite s’amuser si peu avec ce qu’on peut en faire. C’est quand même l’occasion d’apercevoir les débutants Helen Hunt et Jim carrey dans de petits rôles.
    Del arte
    Del arte

    14 abonnés 403 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2019
    Le titre ne dévoile rien du film et du jeu des acteurs. Nicolas Cage quand même. Une jeune femme tombe le jour d'une grande décision et repart pour une vie qui lui permettra de prendre une décision. Au dernier moment elle se rend compte que tout cela avait déjà été joué et qu'elle n'attendra pas un nouvelle fois la possibilité de choisir parce que cette possibilité n'arrivera pas. Jeux des années 1950, rose et bleu pastel, un film très réussi.
    zhurricane
    zhurricane

    71 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 février 2019
    Un des premiers films, qui propose à son personnage principal, le fait de revivre à l'époque de son adolescence. Ici l'actrice principale est joué par Kathleen Turner qui s'en sort superbement bien, à noter les presque débuts de Nicolas Cage génial dans le rôle de l'ado et de la célébrité et un Jim Carrey qui avait déjà un immense charisme Le film est frais, sympathique La force du film est vraiment de miser juste sur l'effet nostalgique, sur l'effet est ce que j'ai fais le bon choix dans ma vie, est ce que je vis avec la bonne personne Et c'est vraiment tendre ce qui ressort des personnages qu'ils soient adultes ou ados. Bien sur le pinacle est la relation entre Turner et Cage ados, avec aussi l'autre ado qui récite de la poésie et celui qui va devenir célèbre par son invention. Bref un film des années 80, très nostalgique au final, et qui met de bonne humeur.
    pierrre s.
    pierrre s.

    359 abonnés 3 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 janvier 2019
    Une comédie agréable à suivre qui soulève la question des souvenirs et du destin. Pas un grand Coppola mais un film à voir.
    Alexis C.
    Alexis C.

    3 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 décembre 2018
    Ce n'est pas le meilleur film de Coppola c'est certains mais ça reste une jolie fable. Véritable réflexion sur le temps qui passe et les regrets, le film est riche en émotions. L'interprétation des acteurs y est pour beaucoup, tout comme les musiques de John Barry et la mise en scène de Coppola. Le scénario est assez bon. On reprochera au film certaines longueurs et un manque de rythme évident.
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