Avis sur The Best Of Enemies

Magnifique film vraiment très touchant remarquablement super bien interprété par la splendide actrice Taraji P.henson franchement regardez ce film absolument c'est une belle leçon de vie

J'ai vu un film... inspiré d'une histoire vraie qui a le mérite de nous plonger dans un monde pas si lointain d'un apartheid inadmissible, dans le Sud des Etats-Unis. On suit le combat des noirs pour bénéficier des même droits que les blancs. Le film est touchant car on rentre très profondément dans la psychologie, les tourments et les craintes des différents personnages. C'est un film qui comporte une part immense d'humanité, et les dialogues sont particulièrement réussis. Les séquences du film sont vraiment bien construites et on suit l'évolution cet éminent membre du KKK qui décide, courageusement, de prendre sa part de l'autre. Sam Rockwell est comme toujours impeccable.

Un de ces films qui, malgré un sujet central extrêmement grave et sérieux, s'avère irrémédiablement positif et profondément touchant. Dans la longue liste des oeuvres traitant de la ségrégation raciale aux Etats-Unis pendant les années 60, un long-métrage qui se rapproche davantage de "Mississippi burning" d'Alan Parker pour son analyse très humaniste, pragmatique de son thème que de réalisations plus amples comme "Selma" ou "Lincoln". Centré sur le point de vue du personnage de Sam Rockwell qui offre une nouvelle fois une superbe prestation toute en électricité et en justesse et dont le face-à-face avec l'excellente Taraji P; Henson est intéressant et intelligemment écrit, un ensemble d'une belle force narrative mais dont la mise en scène très conventionnelle le dessert un peu, loin d'en faire un chef d'oeuvre inoubliable mais plutôt une honnête réussite.

Ce film est en tout point une réussite; le jeu des acteurs est brillant, les situations alertent le grave et le léger, la méthode de discussion est géniale. Vraiment un excellent comme sait en produire le cinéma américain.

le film traite d'un pan important de l'histoire américaine, de la ségrégation particulièrement marquée dans certains états au début des années 70. par cette concertation participative et démocratique, la parole est donnée à chaque clan en toute équité. un sujet fort, sociétal et politique, porté par des personnages forts devenus amis et particulièrement bien incarnés par T. P Henson et S. Rockwell. un hymne à l'ouverture et à la tolérance, une leçon de vie avec en bonus, une bande son qui nous plonge une peu plus dans l'époque.

Film à l'américaine, bien réalisé, bien filmé, mais malheureusement tellement linéaire. Un scénario sans aucune surprise, hyper classique, autour de l'évolution dans les années 70 des moeurs et pensées des américains blancs vis à vis des populations afroaméricaines. Pas mal, mais clairement rien de plus

À la suite d'un incendie dans une école réservée aux noirs, un compromis doit être trouvé pour que des élèves ne se retrouvent pas sans endroit où étudier. Rien d'insurmontable sur le papier sauf que nous sommes en 1971 et que les tensions raciales sont toujours présentes. Pour trouver une solution, Bill Riddick, un médiateur, est appelé pour travailler avec deux camps radicalement opposés. Il y a d'un côté Ann Atwater, une activiste des droits civils, et de l'autre, C.P. Ellis, un membre du Ku Klux Klan. Pour son premier film, Robin Bissell raconte cette histoire vraie sans faire de jugement. Il essaie de nous faire comprendre pourquoi certaines personnes ont un comportement aussi extrême. Certes, le récit est un peu édulcoré avec cette rédemption rapide, mais le récit est plein d'humanité et attachant. Le réalisateur doit beaucoup à ses acteurs qui sont très bons, Taraji P. Henson et Sam Rockwell en tête. L'histoire aurait pu être plus engagée et le traitement moins policé, mais dans l'ensemble, c'est un bon petit film sur une histoire qui méritait d'être racontée par rapport au message qu'elle véhicule.

L’histoire (vraie) est belle. Ça suffit à en faire un film intéressant à défaut d’être passionnant. C’est sans doute dû au manque d’aspérité. C’est trop lisse, trop gentil, trop long. Mais si on se laisse porter par le récit, on passe malgré tout un moment plutôt agréable et réconfortant.

Excellente composition des acteurs qui nous plonge dans cette ambiance ségrégationniste en 1971 dans la ville de Durham en Caroline du nord. Le scénario est bon et on se laisse captiver par cet affrontement entre deux communautés sur fond de droits civiques. Sam Rockwell est toujours aussi à l'aise dans ses rôles de méchant, et il confirme son oscar de meilleur second rôle dans "Three Billboards Outside Ebbing, Missouri". Ce n'est ni surjoué, ni dans le pathos.

LE BOUCLIER DE COULEUR. L'humiliation ou la dignité. Le lion contre les moutons. Martin Luther King a aimé.

Film dont la lumière n a pas assez était faite dessus a mon humble avis, très belle réalisation le casting est excellent, l histoire est captivante et tiré d une histoire vraie. Film que les jeunes générations de tout horizons, status ou origines mais surtout la jeune génération américaine devraient tous voir afin que le monde de demain ne retombe pas dans les travers du monde d hier, attention l'Histoire est bien trop souvent un éternel recommencement!!! Film a resonnance extrêmement forte dans la montée actuel de l Amerique raciste de Trump.

Un film qui raconte une histoire vraie qui se passe en 1971 en Caroline du Nord et c'est comme un petit miracle. Il n'est pas question ici de développer des intrigues ou de faire du spectacle et ce film est bien convaincant dans cet esprit de présentation et de comprendre comment le changement devient possible sans démesure. Un film très humain et réaliste qui n'édulcore pas les choses sans du tout s'attarder sur des aspects trop sordides. Une ode à l'amitié et la bienfaisance entre les différences.

Film très émouvant. Au début j'ai eu peur des éventuels relents démagogiques auxquels je m'attendais. Et puis non, en fait c'est l'histoire de 2 mondes qu'on aurait pu croire aux antipodes mais qui en fait se sont apprivoisés en se concentrant sur leurs points communs. Sam Rockwell est un acteur absolument hors pair, un de ces génies du 21eme siècle capable de jouer toute la palette des émotions humaines. Parfait pour ce rôle de bougre finalement attachant

The Best Of Enemies est un film biographique qui raconte l'histoire biographique d'Ann Atwater (Taraji. P. Henson). Une militante des droits civiques noire. Lorsqu'une école noire a été incendiée, les élèves noirs avaient besoin d'autres salles de classe. Ann Atwater a donc demandé l'opportunité aux élèves noirs de Durham en Caroline du Nord d'aller à l'école avec des enfants blancs. Le reste appartient à l'histoire. C'est filmé d'une manière merveilleuse et l'histoire coule. Regarder ces 2 heures et 13 minutes ressemblait à 1 heure et 45 minutes. Dans ce film j'aime la façon dont les personnages changent et évoluent. J'ai été diverti de manière sérieuse et sophistiquée. Ce n'est pas vraiment une comédie ou une histoire de crime. C'est un drame très solide et bien raconté sur deux personnes différentes qui ne peuvent pas être plus différentes mais qui ont appris l'une de l'autre...

Un film sur le thème du racisme qui vise plus spécialement l'égalité des races et l'intégration dans les écoles. Voilà qui change un peu de ce qu'on a l'habitude de voir. Premier défi gagné, c'est sans violence, et dans un lieu où les gens communiquent ensemble quelque soit leur couleur de peau. Deuxième défi, et pas des moindre, l'action est menée de front par une femme, qui plus est, une femme de couleur que l'on écoute. Et enfin, troisième défi, amener un homme de race blanche, nommé président du clan ennemi, à voter en faveur de l'égalité. Comment le réalisateur s'y est-il prit ? en lui faisant ressentir le même sentiment d'impuissance... Un coup de maître, bravo !