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    Foxtrot
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    AZZZO
    AZZZO

    268 abonnés 728 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 avril 2018
    La mort d'un fils. Samuel Maoz part de ce thème pour démonter lentement les mécanismes psychiques qui enferment les hommes dans leur passé. On retrouve la "zone grise" évoquée par Primo Levi, cette incapacité des hommes à survivre à l'horreur, à transformer inlassablement le hasard en culpabilité. Derrière l'histoire de cette famille c'est aussi Israël qui est évoquée en filigrane. Le silence et la lenteur du film peuvent déplaire mais le talent du réalisateur est indéniable. Tous les plans, tous les sons, tous les mouvements de caméra sont au service de son propos. Une esthétique efficace et inhabituelle.
    traversay1
    traversay1

    3 122 abonnés 4 629 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 avril 2018
    Dans cette vieille danse surannée qu'est le Foxtrot, les pas ramènent immanquablement au point de départ. Une métaphore qu'utilise avec sensibilité dans sa narration le film de Samuez Maoz, ce cinéaste israélien révélé par le claustrophobe Lebanon, un brin formaliste mais très doué. Foxtrot se divise en trois parties distinctes, mais reliées entre elles, chacune avec un style différent, sans oublier une petite séquence animée et une conclusion terrassante. Fondamentalement, le film joue sans cesse avec l'absurde des situations (un soldat dont on annonce la mort par erreur, un checkpoint surtout fréquenté par les dromadaires, etc) évidentes allusions au fonctionnement de la société israélienne. Les thèmes qui fâchent ne sont pas abordés de façon militante et frontale comme chez d'autres cinéastes du pays mais avec une ironie grinçante y compris un épisode terrible en lien avec les "colonisés" palestiniens qui a d'ailleurs créé la polémique en Israël. Lion d'argent à Venise, Foxtrot parle de sujets très forts comme le deuil ou le lien entre les différentes générations, d'Auschwitz à la guerre au Liban, avec une sorte de rage rentrée et caustique sublimée par une mise en scène imaginative, parfois étouffante ou à l'inverse aérienne, instillant de l'émotion, de l'humour, de la tendresse et de la colère. 8 ans se sont écoulés entre les dates de sortie de Lebanon et de Foxtrot. Espérons attendre moins longtemps pour le prochain film d'un des meilleurs cinéastes actuels.
    vidalger
    vidalger

    296 abonnés 1 228 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 avril 2018
    Après Lebanon, chef d'œuvre absolu sur la guerre poisseuse et ses absurdités, vue à partir des péripéties d'un simple équipage de char, ce réalisateur israélien réussit à nouveau à nous intéresser à un événement quasi-banal de la non-guerre perpétuelle entre Juifs et Palestiniens.
    Le vrai sujet semble toutefois être une critique acerbe de l'armée et des militaires pour qui tout est une question de procédure et de respect du protocole.
    Ce film en trois actes nous projette d'abord avec une grande brutalité dans l'intimité d'un couple à qui on vient apprendre que leur fils, jeune troufion-apprenti soldat, est "tombé" en opération. Le deuxième acte nous montre l'ennui et la stupidité de la mission à laquelle participent ces jeunes gens sur la frontière entre deux régions du même pays ! Le troisième acte revient dans la famille du jeune soldat, après un double twist habile du scénario.
    Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on ne mâche pas le scénario pour le spectateur, parfois abandonné pendant de longues minutes avant de discerner ce qu'il doit comprendre. Ce n'est pas gênant et concourt à nous plonger dans cette tragédie et à partager tristesse, ennui, révolte et autres sentiments qui accompagnent le deuil de cette famille.
    On aura compris que cette représentation de l'armée est une métaphore ironique de l'état d'un pays qui s'enfonce peu à peu dans une impasse, au risque de faire pleurer dans de nombreuses familles pendant encore de nombreuses années.
    Interprétation remarquable, caméra intelligente, montage parfait ! Une LEÇON, à projeter dans les écoles françaises de cinéma de toute urgence.
    velocio
    velocio

    1 177 abonnés 3 036 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2018
    Il y a 8 ans, le réalisateur israélien Samuel Maoz avait réussi à scotcher les spectateurs en les enfermant durant 92 minutes à l’intérieur d’un tank israélien engagé dans l’invasion du Liban de 1982. Un exercice de style totalement réussi, ayant pour titre "Lebanon", et qui avait permis à ce réalisateur d’obtenir une récompense majeure, le Lion d’or de la Mostra de Venise 2009, pour ce qui était son premier long métrage de fiction. De nouveau en compétition à la Mostra de Venise, édition 2017, "Foxtro"t s’est vu attribuer le Grand prix du Jury, devancé pour le Lion d’or par "La forme de l’eau". "Foxtrot" a, par ailleurs, engrangé la bagatelle de 8 Ophir (Les Oscars / Césars israéliens), dont celui du meilleur film, en septembre dernier.
    Un dicton affirme qu’il faut se méfier de l’eau qui dort. En matière de cinéma, il faut, de même, se méfier des films qui donnent l’impression de s’intéresser à la situation d’un pays et de ses habitants, mais qui prennent de grandes libertés avec la stricte réalité et qui fricotent avec l’absurde même dans les situations les plus graves. Attention, entendons nous bien : ce ne sont pas les spectateurs qui doivent se méfier de ces films, bien au contraire, non, ce sont ceux qui tiennent les rênes dans le pays concerné. C’est ainsi que "Foxtrot" semble être un film sur l’armée israélienne, sauf que, dans la réalité, les postes de contrôle sont aujourd’hui dotés d’équipements très modernes et très majoritairement privatisés. Pour le pouvoir, qu’y a-t-il à craindre d’un film où l’absurde côtoie le tragique, où le burlesque semble prendre le pas sur le drame, d’un film dans lequel le bâtiment où vivent les soldats penche de plus en plus et où leur jeu préféré consiste à chronométrer le temps mis par une canette pour dévaler une pente de plus en plus prononcée ? Eh bien, c’est ce pas de côté effectué par Samuel Maoz qui lui permet, sans avoir l’air d’y toucher, en donnant l’impression d’être à côté de la plaque, de se montrer particulièrement caustique quant à la situation actuelle de son pays et quant à la façon dont sont traités les palestiniens.

    Malgré les nombreuses récompenses engrangées par "Foxtrot", ou, peut-être, à cause d’elles, ce film a fait l’objet d’une importante polémique en Israël. En cause, le jugement sans appel porté sur le film par Miri Regev, la Ministre de la culture israélienne, alors qu’elle n’avait même pas vu le film mais qui, en septembre dernier, clamait haut et fort qu’elle avait honte de ces récompenses israéliennes venant couronner une œuvre qui « salit l’image de l’armée» de son pays. Il est probable qu’on avait dû lui raconter les deux scènes les plus fortes du film : la fameuse bavure qu’on se gardera de « divulgâcher » et son prolongement, la dissimulation de cette bavure par un bulldozer. On aurait pu rajouter la parabole des chaussures, des chaussures de ville bien propres, bien cirées pour les chefs, les décideurs, ceux qui, le plus souvent, ne voient les zones de conflit que de loin, des rangers pleines de boue pour ceux qui passent leur temps dans le merdier créé par les premiers. En tout cas, Samuel Maoz a répondu à Miri Regev que c’était par amour et pour le protéger qu’il critiquait son pays, ajoutant que cette voiture qu’on enterre pour « effacer » la bavure était une métaphore d’un pays qui préfère enterrer la vérité plutôt que d’y faire face et de se poser les bonnes questions.
    Samuel Maoz est un réalisateur qui tourne peu et on est en droit de le regretter. En effet, que ce soit "Lebanon" ou "Foxtrot", ses films s’avèrent tout à la fois très personnels, déroutants et d’une grande force. Dans "Foxtrot", Samuel Maoz se montre l’égal d’un Aki Kaurismäki dans son art consommé pour faire cohabiter le drame et le burlesque.On peut espérer que la polémique lancée par la Ministre de la culture israélienne et qui vient s’ajouter aux nombreuses récompenses obtenues à Venise et dans son propre pays va donner à ce film le coup de pouce lui permettant d’en faire un succès dans notre pays.
    Daniel C.
    Daniel C.

    132 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 avril 2018
    Que signifie mourir ? Comment supporter la perte de quelqu'un ? Est-ce du deuil, dont il s'agit ? De l'effroi à apprendre ou constater la disparition brutale et imprévisible de quelqu'un ? La guerre n'a aucun sens, les militaires nous vendent leur fonds de commerce en prétendant la justesse du combat. Il y aussi la présence de la danse, du pas de danse rythmé par le foxtrot. C'est charmant, touchant, bouleversant. C'est une danse incarnée au masculin dans le film. Il y a surtout cette façon si singulière de poser la caméra, qui va filmer du dessus. Cela crée une approche inattendue du réel, comme jamais on ne le rencontre dans la vraie vie. parfois, c'est à ras de sol que se tient la prise de vue, on suit les pas, les pieds des protagonistes. Il y a aussi la dimension traumatique, qui fait partie du quotidien de nombreux israéliens. Tout ça est insensé, qu'après l'horreur de la shoah, le risque de mourir soi encore aussi insistant. L'irreprésentable de la perte d'un enfant peut être sujet à bouleversements, à rebondissements, à déclinaisons autres. Etre un homme, ce peut être aussi faire l'aveu de ce qui a entaché durablement le cours de sa vie, un point de culpabilité insondable, indicible, indépassable, que l'on tente d'étouffer sans jamais y parvenir, comme une sorte de retour du refoulé. Le Lion d'Or de Venise est bien mérité. Bravo à Samuel Maoz pour ce film puissant magnifiquement incarné par de brillants acteurs.
    Cine vu
    Cine vu

    124 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2018
    Au delà d’un conflit.

    Un portait de famille confronté au deuil. L’histoire se compose en trois tableaux .

    Première partie : L’arrivée soudaine de l’armée israélienne pour annoncer à Michael et Dafna, la mort de leur fils Jonathan, jeune soldat de 19 ans.
    Puis en plan rapproché la douleur du père, que l’on va suivre dans l’appartement. Sous le choc il est désorienté, mais la colère prend le dessus.
    Sa femme, sous sédatif, s’abrite dans le sommeil.

    Lior Ashkenazi est saisissant et multiple, une performance incroyable qui nous renverse.
    Seulement l’armée s’est trompée de soldat et Michael exige le retour, immédiat de son fils.

    Deuxième partie : On rejoint quatre jeunes soldats postés au poste frontière entre Palestine et Israël. Ils sont chargés de vérifier chaque véhicule de passage. En plein désert quatre jeunes hommes à peine sortie de l’enfance, qui s’ennuient écrasés sous le soleil, parfois la barrière se lève, non pour faire passer un ange mais un dromadaire.

    Le cadre est surprenant, une zone sinistrée, un van déglingué, un parasol au-dessus du poste de garde et une chambre en tôle qui bascule dans la boue. Les gamins laissent passer le temps, dansent, se racontent des histoires et se relayent par deux pour assurer les gardes.
    Une ambiance particulière où quelques voitures vont passer et chacune est une histoire dans l’histoire. Les lampes torches, la tension palpable, les palestiniens angoissés et les jeunes soldats trop inexpérimentés pour affronter un vrai conflit.

    Un terrain de jeux dangereux où peut se jouer le pire. On va croiser trois voitures et chacune avec des passagers désorientés par la violence de ce conflit sans fin.

    Un couple sans histoire passera sans trop de difficulté, puis un deuxième.
    Là, les soldats inquiets font sortir le couple, la femme, vêtue comme pour un mariage, va rester sous la pluie, humiliée, en attendant l’autorisation. Cette scène est bouleversante, son désespoir est poignant mais d’un regard son mari va tenter de la rassurer, c’est dans le non dit que le scénario est le plus parlant.
    La troisième voiture transporte de jeunes palestiniens joyeux et insolents, mais un malentendu va déclencher le pire. Jonathan est sous le charme de la jeune femme dans la voiture et d’un regard il est amoureux. Ce gosse est plein d’imaginaire, il raconte en dessins l’histoire de sa famille et de son père, c’est cocasse et triste.

    Troisième partie, nous voilà de retour dans l’appartement à Tel Aviv. Michael et Dafna semblent s’être séparés et le chagrin est présent. Une confrontation avec une complicité remplie de tendresse où le couple se dévoile enfin.

    Tout est parfait : la réalisation, la lumière, la photo, le scénario et le casting.

    Un film à voir absolument pour nous éclairer sur un pays en guerre et les conséquences collatérales pour deux peuples, des gens ordinaires qui n’ont rien demandé, rien revendiqué, mais subissent le pire.
    isakkk
    isakkk

    14 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 avril 2018
    Un film très exigeant qui a du mal à nous emporter. Ce trop plein d’esthétisme et de formalité visuellle (mais pas seulement visuelle) nous éloigne des sentiments et bloque l’empathie qui devrait être naturelle. Un beau film lent qui se boucle et met le personnage du père face à son passé qu’il pensait avoir enfoui.
    fasskinder
    fasskinder

    25 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 avril 2018
    Un film très malin à la mise en scène genre publicitaire, tout est à l'excès... l'architecte vit dans un appart design qui sent trop le studio de cinéma et les militaires dans un container où il n'ont pas fait le ménage depuis 60 ans. La caméra bouge de tous les côtés, pano sans arrêt sur des objets sans intérêt... on se questionne si au final tout ça ne serait que de la propagande pour l'armée israélienne (rien que l'affiche glam)... Quelques étoiles pour des bons moments quand même, mais pas suffisants pour un film entier, ça fait très court métrage de fin d'école.
    Boby53
    Boby53

    11 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mai 2018
    3actes: le premier très lent, trop où la rigidité des plans confiné à la lourdeur. Le second: in situ là où se serait déroulé le drame, le plus intéressant, le plus drôle (?), le plus iconoclaste, le plus dérangeant aussi. Le troisième, retour aux parents, celui qui m'a le plus gêné, le moins utile. Et puis le plan final... Film inégal, mal construit, malgré quelques très beaux plans, mais qui pour le second acte mérite d'être vu. Et une claque à la glorification de l'armée israélienne.
    dejihem
    dejihem

    118 abonnés 659 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 avril 2018
    Il faut savoir faire face a la connerie humaine. C’est très vrai. Le film est comme une danse absurde qui revient à son point de départ de façon extrêmement cinématographique. Visuellement, le résultat est bien barré : à l’intersection des films de Jean-Pierre Jeunet, de Roy Anderson et de Bill Plymtoon (pour la séquence animée), la mélancolie teintée de satire sociale, le deuil permanent lié à la Shoah et malgré tout, une certaine projection vers l’avenir, le film fait mouche.
    Loïck G.
    Loïck G.

    289 abonnés 1 634 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2018
    Une grande exigence de cinéma qui peine à trouver son rythme, mais l'atteint assez vite sur un jeu d'acteurs irréprochable et un sujet (éculé) qui retrouve sous l'œil du réalisateur une vigueur inédite. Un brin ascétique, la mise en scène n'en demeure pas moins forte et intelligente pour dire encore que la guerre, cette connerie... Et même beaucoup plus tant l’œuvre est puissante, irrationnelle au regard d’un cinéma beaucoup plus démonstratif, mais qui décuple par son minimalisme les intentions et la réalisation d’un cinéaste à nul autre pareille. Ses films ne ressemblent à aucun autre cinéma…
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    montecristo59
    montecristo59

    34 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2018
    Le destin comme quadrature d'un cercle vicieux, l'absurdité de la guerre voire de la vie, c'est pour moi le propos que Samuel Maoz nous entre dans le crâne à force de virtuosité. La mise en scène très minimaliste et esthétique dans la deuxième partie, décalée jusqu'à l'humour, contrepoint très réussi de la première où la tension dramatique nous sature en émotion, retourne au final vers le drame et aborde le thème de la culpabilité rongeant l'amour vrai. Bien peu d'espoir à retirer des perspectives sur le conflit israelo-palestinien évoquées dans ce film très noir et très brillant, fascinant, et dérangeant pour le moins. Un moment d'intensité qui a déplu à la "bien-pensance" israelienne, forcément...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 2 mai 2018
    On se demande où le réalisateur veut en venir. Certes le conflit israélo/palestinien est un bourbier. Mais le scénario doit-il s'embourber pour le démontrer ? D'autres films l'ont fait tellement mieux : les Citronniers, Omar, Bethléem. La fin est très décevante. Quel sens cela a-t-il ? Le réalisateur se complait dans des plans trop longs, on ne compte plus les plans en plongée, ceux où il filme le reflet des personnages, ça dure des heures, c'est prétentieux, complaisant. Reste quelques moments absurdes, drôles, dans la deuxième partie.
    ATON2512
    ATON2512

    53 abonnés 1 098 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 avril 2018
    L dernier film de Samuel Maoz (2018) , film de guere ou drame à la fois familial et iimiste voire sociologique ? Les deux assurément . Tant l'histoire constitutive d'Israel baigne le film . Fort bien interprété par Lior Ashkenazi, Sarah Adler, Yonaton Shiray . Le film se constitue de trois tableaux comme une suite logique d'un drame qui se noue dès les premières scènes . Un jeu entre le réalisateur et le spectateur qui devant le drame qu'il pressens va passer par de nombreux sentiments contradictoires. La partie (seconde) sur la guerre joue totalement sur l'absurde d'une situation de guerre impalpable. C'est limite totalement surréaliste voire un rien fantastique. Comme pour appuyer l'ADN de l'nfermement dans lequel semble plo,gé le pays depuis sa création. Le regard de la situation du pays comme le drame familial qui en est presque sa résultante sont montrées avec une fore et une grande acuité.
    Passionnant et à voir absolument !
    Genres Drame, Guerre
    Jean-Pierre G.
    Jean-Pierre G.

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 mai 2018
    Une agonie de lenteur, de plans complaisants et interminables, à mourir d'ennui et d'esthétisme creux.
    Les meilleurs films de tous les temps
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