Avis sur Les Mondes de Ralph

Comme chaque année, à la période de Noël, les studios cinéma rivalisent d'inventivité pour nous ramener nous, et surtout nos très chers bambins dans les salles obscures. 2012 n'y fera donc pas exception avec notamment 2 films d'animation à gros budget qui se font concurrence, à savoir le 52ème film d'animation Disney "Les mondes de Ralph", et le nouveau Dreamworks "Les 5 légendes". [...]
Au final, ce nouveau Disney se révèle certes divertissant, mais un niveau en dessous des "5 légendes", et même si Disney a réussi son pari avec ce film qui a quand même un beau cachet, on ne peut s'empêcher d'être triste car celui-ci semble définitivement marquer la fin de la vraie patte Disney, qui oeuvrait encore jusqu'à Raiponce, mais qui semble aujourd'hui très loin. Disney est rentrée dans une nouvelle ère totalement différente de la précédente, avec une volonté affichée et tout à fait défendable de vouloir rester dans l'air du temps, mais certains comme moi seront certainement un peu nostalgiques de nos dessins-animés d'enfance, mais, après tout, il faut savoir évoluer :)
En conclusion, si vous devez choisir entre les 2 films, Edgar vous conseillerait davantage "Les 5 légendes", mais gardez un oeil sur "Les mondes de Ralph" qui est vraiment aussi un film à voir !

Bon d'accord, Disney en a fait des meilleurs, mais les Mondes de Ralph reste un très bon film. Dans la trempe de Toy Story, il propose un véritable univers. Tout est pensé et parfaitement imaginé. spoiler: De la gare centrale des jeux, aux sauts de puces de Félix, en passant par la réunion des méchants anonymes
, c'est juste du grand Disney. On n'a aucun mal à imaginer que c'est véritablement ce qui se passe quand l'arcade ferme. Comme quand on était enfants, on n'avait aucun mal à imaginer que Woody et Buzz se mettaient à vivre quand on sortait de la chambre. L'humour dans les dialogues et les jeux de mots sont parfaits, on rit, on est ému, un très bon moment à passer!

Les Mondes de Ralph est le tout premier classique d’animation Disney que j’ai été voir dans une salle de cinéma. Mais c’est aussi l’un des plus exceptionnel pour être une adaptation cette fois non pas d’une œuvre littéraire en particulier comme beaucoup de Disney tel que La Belle et la Bête tiré du roman du même nom, Aladdin avec Les contes des 1001 nuits, Le Roi Lion avec Hamlet de Shakespeare ou encore Tarzan adaptant justement l’histoire de l’homme-gorille sur grand écran. Je ne pense même pas qu’on parle d’une adaptation en particulier puisque ce film est un concentré de tout un univers vidéo-ludique principalement tiré du charme des jeux vidéo rétro, le genre de jeu vidéo vieux jeu mais qui inspire beaucoup de sympathie auprès des fans du genre.

L’année de sa sortie, quand j’ai vu la première bande-annonce avec le groupe de méchant de jeu vidéo dont Bowser, le général Bison, Robotnik ou encore le fantôme de Pac-Man réuni dans une séance de méchant anonyme de jeu vidéo, j’étais tout excité et c’était ma grosse période jeu vidéo à ce moment là. Voir autant de personnages iconiques du monde du jeu vidéo, que ça soit les héros ou antagonistes de jeu vidéo, c’était juste énorme, mais ça pouvait aussi être un ratage si le mélange et l’histoire était mal dosée. Et comme, une fois encore, je m’intéressais pas de si près que ça au cinéma, j’ai été assez con pour préférer, à ce moment, au terme de 2012 Rebelle de Pixar à Les Mondes de Ralph (et bien que j’apprécie ce Pixar, il est loin des meilleurs et je ne lui aurais pas attribué l’oscar en ce qui me concerne vu la concurrence). Dans le cas du classique d’animation Disney, la promotion autour du film n’était pas aussi forte que leur précédent classique Raiponce, on avait bien eu une grosse promotion lors des JO de Londres avec deux des acteurs du casting original doublant Felix et Calhoun, je n’ai pas le souvenir que la campagne autour du film était très poussive. Mondialement, le film s’en est tout de même vraiment bien tiré, que ça soit avec la critique américaine ou chez nous les baguettes fraîches, mais ce n’est pourtant pas le Disney que l’on retient le plus parmi ceux de cette nouvel âge d’or des studios aux grandes oreilles, surtout face à Raiponce ou La Reine des Neiges, ou même encore Les Nouveaux Héros plus récemment. Et pourtant, non seulement je trouve que le défi de Disney est largement relevé, mais en tant de fan du jeu vidéo j’ai passais une heure et demi de plaisir malgré le peu de reproche qu’on peut lui faire.

Passons tout d’abord, histoire de garder les bonnes habitudes, aux personnages avec notre antihéros sans mauvais jeu de mot, Ralph La Casse, la version humaine de Donkey Kong et personnage principal de son jeu depuis plus de 30 ans, dont le seul rôle en tant que méchant est de détruire l’immeuble à chaque partie et pour ne pas aider, spoiler: il n’a même pas la sympathie des personnages de son jeu, il en est même détesté et isolé de tous dans une version jeu vidéo d’une décharge et ne demande qu’à être aimé de tous.
C’est déjà pas mal du tout en soi pour s’attacher à notre bon gros tas de muscle en salopette. Et quand on le met avec Vanellope, ça devient beaucoup plus intéressant que ça ne l’est déjà. Le fait même qu’il soit dans cette situation dés le départ renforce notre empathie envers lui, et voir que Disney a réussi à gérer la différence entre être un personnage et être soi-même en dehors de ses heures de taf sans pour autant faire de Ralph un cliché de méchant qui change du tout au tout ou trop facilement, ça c’est cool. En plus certains de ses dialogues avec Vanellope font vraiment sourire, donc franchement j’aurais du mal à oublier un Donkey Kong bis aussi attachant. Et pour revenir à sa co-équipière, ajoutons à ce grand gaillard une gamine pas plus grande qu’une pomme, chipie et de bon humeur en plus d’être une surexcitée (tout le contraire de Ralph) en la personne de Vanellope Von Schweetz. Personnellement, j’adore son Design, une gamine aux apparences de garçon manqué avec des sucreries dans les cheveux dans un univers de sucrerie à la Mario Kart, fallait y penser. Et ses enfantillages avec Ralph amènent pas mal de bon sourire, mais surtout Disney en profite pour lier étroitement les deux personnages et en faire deux opposés que tout rapproche : spoiler: l’un étant rejeté de son propre jeu à cause de son rôle, l’autre rejetée pour être une erreur informatique qui n’a pas sa place dans ce qui est également son propre jeu (à moins que).
De même, on prend très rapidement cette petite en sympathie, et pour ma part sa joie et son exubérance m’ont vraiment mit de bon humeur. Donc, avec deux personnages principaux terriblement solides, est-ce qu’on peut ajouter quelque chose de mieux ?

Et bien, on a justement Félix Fixe Junior, le Mario à la Disney et le vrai héros du jeu de Ralph, mais avec une version neuneu pourtant bien sympathique de ce héros à moustache ici sans moustache sans oublier un côté plombier pour la référence à notre italien japonais (ça veut rien dire et je m’en fous). Ajoutez à ce jeune réparateur adoré de tous la sergente Calhoun spoiler: avec un backstory aussi dramatique que drôle et vous aurez là un duo aussi invraisemblable que charmant.
On pourra juste regretter une chose, que Disney ne tente pas exploiter davantage spoiler: la situation de rejet dans lequel se retrouvera Félix une fois aux cachocolats parce que, le fait de voir le héros du jeu de Ralph être à son tour en situation semblable aurait pu lui donner plus de matière mais c’est trop rapidement réglé pour que l’on se sente concerné par l’épreuve (si on peut appeler ça ainsi) que traverse Félix.
Mais si lui et Calhoun n’ont pas un traitement semblable à nos deux héros, chacun reste très sympathique dans leur manière d’être et leur petite histoire d’amour est tellement drôle qu’on aura du mal à ne pas sourire pour eux.

Par contre, je trouve très regrettable que le méchant, spoiler: en la personne de Sa Sucrerie,
ne soit au final pas plus marquant que nos autres personnages. Alors qu’il y avait matière à le rendre touchant ou même tout simplement drôle : spoiler: étant autrefois connu sous le nom de Turbo, un héros d’un autre jeu d’arcade, il s’est vite vu délaissé par les joueurs par un autre jeu de course et en est devenu jaloux au point de boycotter son jeu pour s’incruster dans celui qui lui avait volé sa popularité, en provoquant la fermeture de deux jeu d’arcade à la fois. Jusqu’à ce qu’on apprenne finalement qu’il a survécu et a boycotter un autre jeu afin de retrouver cette même popularité.
En soi ce n’est pas du tout de mauvaises bases, et si je dois le comparer à Yokai du Disney de 2015, il a même un temps d’apparition plus important… mais le film ne prend jamais l’occasion de le rendre plus intéressant, j’irais pas jusqu’à dire qu’il en devient oubliable mais on est très loin du traitement des principaux protagonistes.

Pour le reste, on a les habitants de l’immeuble de Ralph, les gamines de Sugar Rush, une boule de chewing-gum, et enfin : les nombreux caméos de jeux vidéos auxquels Disney se permet de rendre hommage à de nombreuses reprises à des jeux vidéos rétro existant réellement, mais j’y reviendrais d’ici quelques lignes. Donc en clair, si le méchant ne convainc pas, Ralph et Vanellope ont un traitement largement suffisant pour qu’on ait envie de s’attacher à eux et de les voir réussir ce qu’ils entreprennent et Félix ainsi que Calhoun assurent également de nombreux sourire de leur côté.

Au doublage français, on retrouve une nouvelle fois Donald Reginoux (un habitué maintenant chez Disney pour les doublages que ça soit en animation ou en film) qui fait un excellent boulot en Félix, surtout quand il va dans les aigus. Dorothée Pousséo est géniale comme toujours, nerveuse et ultra énergique ce qui va parfaitement avec le caractère de Vanellope, j’aimerais d’ailleurs la voir doubler pour un nouveau Disney un de ces 4. Xavier Fagnon était également très investi, alors que j’avais pas apprécié son doublage pour Sullivan dans Monstres Academy (personne ne remplace Jacques Frantz), ici ça passe beaucoup mieux. Isabelle Desplantes, Benoît Brière et le reste des comédiens de doublage faisaient également très bien leur travail.

A la musique, Henry Jackman qui signait sa deuxième collaboration chez Disney après Winnie l’ourson, reprend une nouvelle fois du service chez les studios de Mickey. J’avais beau ne pas avoir de thème en particulier en tête à la fin du visionnage, sa musique est loin d’être désagréable à entendre, que ça soit pour le ton des jeux vidéos bien rétro chez Ralph, des jeux en haute définition chez Hero’s Duty (sympa l’allusion à Call Of Duty) ou dans l’univers tout mignon et bien rose bonbon de Sugar Rush. On a aussi le droit à un placement de Shut Up and Drive de Rihanna placé au bon moment, à la bonne scène, ça n’est pas aussi cool qu’Immortals de Fall out Boys dans Les Nouveaux Héros mais au moins contrairement à En Route (que de BON souvenir) ça ne cherche pas à promouvoir un album de l’artiste et le choix musical est logique avec le propos de la scène.

Mais j’ai un gros faible pour le travail fait sur l’animation et l’univers vidéoludique développé par Disney avec tout ce que l’histoire autour du gaming peut nous proposer, parce que le jeu vidéo ça date quand même de la fin des 50’s et depuis on en a vue défiler des masses des jeux. Disney a eu l’idée intelligente de donner une animation différente et des textures différentes entre les différentes générations de personnage de jeux vidéo qui se rencontrent : un style rétro et plus carré pour Ralph et les personnages de son jeu, en haute définition pour les jeux moderne avec des formes triangulaires, et des formes plus arrondis pour ceux de Sugar Rush. De plus, Disney se fait plaisir avec les caméos dans la première partie pour ce qui est de leur hommage aux jeux vidéos les plus populaires. Alors première question : vous avez joué au moins une fois à Street Fighter ? Super Mario Bros ? Sonic the Hedgehog ? Pac Man ou encore Solid Snake ? Et bien vous allez être content, chaque jeu à le droit à son petit hommage avec l’apparition de l’un de leurs protagonistes dans des situations bien différentes de ce que à quoi on s’imaginer dans leur propre jeu.

La fameuse scène dans la bande-annonce n’est autre spoiler: qu’une parodie (très amusante) des alcooliques anonymes reconvertis ici en réunion des méchants anonyme ou l’on voit Zangief expliquer la morale même du film à Ralph (oui messieurs/dames, le tas de muscle de Street Fighter) et d’autres méchants iconique comme Bowser, Robotnik, le fantôme de Pac-Man président la réunion (avec la grosse voix de Patrick Béthune en plus dans la VF).
Et niveau caméo, Disney se lâche : spoiler: entre Chun-Li discutant avec un autre combattant de Street Fighter dans la gare centrale qui n’est autre qu’une immense multiprise reliant tout les jeux-vidéos arcades entre eux, le champignon de Mario, le slip de Zangief et le point d’interrogation de Solid Snake que trouve Ralph dans la réserve du bar du jeu Tapper, Sonic et Pac-Man à l’anniversaire de l’immeuble de Ralph,
on en a pour tout les goûts pendant le premier quart d’heure. Même les placements de produit sont faits avec une totale ironie… mais là par contre, même si ça fait vraiment sourire, ça va parfois un peu trop loin. Je veux dire : spoiler: que Sa Sucrerie ait des soldats Oréo comme garde (qui ne servira à rien), je veux bien, mais faire de la poudre chocolatée Nesquik des sables mouvant, aussi marrant que ça soit c’est quand même très con.


Mais de toute manière, on ne pourra pas se plaindre de ne pas voyager : trois mondes en une heure et demi ça paraît peu mais chacun est développé suffisamment et comme il faut. Néanmoins, on peut sentir par moment des textures inachevées que ça soit pour les personnages ou les décors, bien que ça ne gâche pas le plaisir visuel et l’envie de bouffer des sucreries que donnera le dernier univers.

Et enfin, parlons du scénario, qui est peut être ce qui m’a le plus surpris puisque ça a à peu près le même principe que Qui veut la peau de Roger Rabbit : l’histoire présente plusieurs personnages apprécié et connu de la culture-pop mais ils ne sont jamais le point central de l’intrigue. C’est pas un concept que je qualifierais de copier/coller sur le film de Robert Zemeckis, mais il faut qu’il soit bien exploité et qu’il ait son propos : et il l’a très clairement !

Toutefois, avant de parler de ce qui est bon, parlons de ce qui ne va pas : en soit, le film arrive à faire énormément de bonne chose spoiler: concernant la relation Vanellope/Ralph
mais il n’évite pas le cliché habituel auquel on a souvent eu le droit. Mais si vous savez, spoiler: l’un étant rejeté de son propre jeu à cause de son rôle, l’autre rejetée pour être une erreur informatique qui n’a pas sa place dans ce qui est également son propre jeu (à moins que). 0
Bon après, sincèrement c’est pas aussi mal fait que dans d’autres films mais franchement Disney ? En une heure et demi vous aviez moyen de mieux l’amener. En plus de cela, et même si j’apprécie énormément l’humour de ce film, les gags pipi/caca de Vanellope n’étaient pas nécessaire si ce n’est faire rire les gosses de 6 ans (et en plus ça marche, je m’en souviens encore pendant ma séance cinéma), encore que ça passe puisque j’adore la gamine et qu’on reste quand même très loin d’un humour lourdingue d’un Transformers de Michael Bay mais ça n’était pas une nécessité.

Quand bien même, après ces quelques soucis concernant l’humour et les éléments forcés du récit, je retiens énormément de bien du script. La principale force du film vient surtout de la relation entre Ralph et Vanellope et de la leçon que ça apporte. spoiler: l’un étant rejeté de son propre jeu à cause de son rôle, l’autre rejetée pour être une erreur informatique qui n’a pas sa place dans ce qui est également son propre jeu (à moins que). 1


De plus, les rebondissements et retournement de situation ne sont pas là par hasard comme si ils venaient de nulle part et aident Ralph à apprendre : spoiler: l’un étant rejeté de son propre jeu à cause de son rôle, l’autre rejetée pour être une erreur informatique qui n’a pas sa place dans ce qui est également son propre jeu (à moins que). 2
Ce qui est vraiment bien au final, c’est que la fin n’est pas un happy end forcé ou Ralph change de rôle après un parcours, spoiler: l’un étant rejeté de son propre jeu à cause de son rôle, l’autre rejetée pour être une erreur informatique qui n’a pas sa place dans ce qui est également son propre jeu (à moins que). 3


Je pense en avoir suffisamment dit pour expliquer en long et large ce que je pense des Mondes de Ralph : c’est un coup de cœur pour les personnages et l’univers, beaucoup de respect pour l’hommage rendu et un vrai plaisir de revoir ce film malgré un méchant assez faible et quelques passages forcés. Disney est bel et bien en forme désormais et bien parti pour tenter des choses avec son nouvel âge d’or, même si je n’attends pas particulièrement une éventuelle suite à ce film. A découvrir notamment si vous adorez les jeux vidéos (et aussi le cinéma).

Un excellent film d’animation, innovant et nostalgique, qui nous propose un voyage dans l’univers animé des jeux d’arcade. Pacman, Mario, Sonic, Street Fighter, Tomb Raider, Mortal Kombat… les références sont multiples tout comme les clins d’œil cinématographiques ("Star Wars", "Alien"...) et alimentaires (Nesquik, Coca Cola, Mikado, Subway, Oreo, Mentos…). La réalisation fait également preuve d’habilité et de soin au niveau de son visuel, passant des graphismes old school aux images riches en couleur. Un film intelligent qui rend un brillant hommage au monde des jeux vidéos des années 1980-1990 !

Les Mondes de Ralph , ou le méchant devient gentil ! Une idée originale et réussite porté avec brio par les nombreux personnages de qualités tous aussi touchants et attachants . Un hommage au anciens jeux très réussi , ainsi qu'au jeux futurs qui aujourd'hui sont d'un réalisme de plus en plus marquant . Un univers et des graphismes splendides viennent compléter ce Disney qui restera dans les annales . Je verrais bien une suite ce profilé car j'ai vu une porte ouverte pour un second opus probable , ce qui en somme ne serait pas une mauvaise chose mais il ne faudrait pas tout gâcher avec une suite de moins bonne qualité . Donc en attendant je vous conseil vivement " Les Mondes de Ralph " , vous passerez un agréable moment !

Wa ouh! Que dire d'un aussi beau film? Déjà la réalisation est parfaite, les personnages géniaux et une incroyable originalité!!! C'est tout simplement la perfection même d'un dessin animé, et une exception à la règle Disney. En fait, avant d'entrer dans la salle, je pensais que j'allais regarder un petit film sympa qui ne mériterait pas plus que trois étoiles, mais la, je dis bravo!!! A voir absolument!!!

Les mondes de Ralph...encore une pépite de plus d'un 4ème âge d'or Disneyiens qui pour le moment tient toutes ses promesses ! Sorti en 2012 et signé Rich Moore, les Mondes de Ralph est un bel ovni de l'usine à rêve de tonton Walt. Sans forcément compter parmi les meilleurs du studio, ce classique Disney se distingue du peloton de ces contes de fées et de princesses pour nous plonger dans un tout autre univers: celui des jeux vidéo...et attention, pas n'importe lesquels, ceux des 1990's ! ^^
A sa sortie il y a 3 ans, j'avais découvert le projet un peu sur les tas, sans avoir nourri de grande impatience comme pour Raiponce, donc sans grandes attentes. Et quelle divinement bonne surprise ! Encore une fois la machine à rêves fait des merveilles !
L'histoire prend donc place dans l'univers virtuel des jeux vidéo d'arcade. Ralph "La casse" méchant du jeu "Félix fixe junior" (dont le boulot est de tout casser) aspire à une vie meilleure. Un jour, il décide de quitter son jeu en quête de gagner une "médaille des héros" afin d'être reconnu à sa juste valeur. Mais sa quête l'enverra par inadvertance dans le jeu "Sugar Rush", un monde tout en sucrerie où il fait alors la rencontre de Vanellope Van Schweetz, une jeune "erreur de programme" (qui bug tout le temps) rêvant de participer aux compétitions de karts. Les quiproquos amèneront alors Vanellope et Ralph à passer un accord ou chacun d'eux y trouve son compte. Voilà pour le pitch global. Et qu'il est bon que cet excellent divertissement que nous offre Disney, jamais à cours d'idées !
Un film d'animation sur les jeux vidéo avec la magie du maître, rien qu'à lire le synopsis ça vaut le détour.
Premier point à aborder: l'originalité, Les mondes de Ralph est sans aucun doute l'un des films d'animation les plus originaux de ces dernières années aux côté des génialissimes Vice Versa et Zootopie. L'univers des Mondes de Ralph est original, véritable rêve de geek avec en prime un retour en enfance magique comme seul Disney en a le secret on entre dans le monde des jeux vidéo. Très retro dans les références en la matière, le film s'adresse directement aux adolescent de la fin des années 1980- début des années 1990 donc d'amblé même les "grands enfants" y trouvent leur compte.
Ralph c'est le genre de Disney qui te transporte littéralement dans son monde, un monde bien encré avec ses lois, ces règles, ces classes (gentils/méchants). Jonglant entre aspect pixelisé en surface et graphismes 3D inside, l'univers numérique est très riche, composé de pleins de jeux et de délires différents, qui plus est tout est ingénieusement pensé, spoiler: le fait que les personnages virtuels puissent circuler d'un jeux à l'autre en voyageant à travers les prises
. Chose indéniable, le charme de ce film repose surtout sur le principe même de son scénario, sur l'idée suivante: que font les personnages de jeux vidéo quand personne ne joue avec eux, ça nous rapproche énormément de Toy Story de Pixar ! A première vue on pourrait même croire qu'il s'agisse d'un Pixar (prendre un concept, créer tout un univers autour...) et même si c'est pas comparable avec Toy Story...la magie est belle et bien là et quand bien même on sait que c'est pas vrai, l'enfant qui est en nous ne peu s'empêché d'y croire.
Côté scénario il est à l'image de son univers, bien pensé: faire se croiser le destin de 2 personnages issues de 2 jeux vidéo différents est un très bon postulat, donnant lieu à des aventures des plus folles et des plus imprévisibles, pleines de surprises et de rebondissements on joue le jeu (lol) et on se laisse surprendre.
Les personnages sont vraiment super, bien trouvés, ils ne ressemblent à aucuns autres de chez Disney.
Déjà on a comme protagoniste un "méchant", déjà on casse les codes habituels mais encore plus par le fait que le méchant ici n'assume pas de l'être et veux juste de la reconnaissance. Une personnalité complètement à l'opposé des habituels Cruella, Capitaine Crochet, Jafar ect...pathétique mais c'est ce qui le rend très drôle. En plus son personnage a tout de la carrure d'un Donkey Kong de Mario avec ses gros poings bon uniquement à faire dans la casse (pas pour rien qu'on le surnomme ainsi^^); Vanellope, héroïne trop choupi (<3), haute comme trois pommes mais dotée d'un caractère de cochon, ses problèmes de "programme" et le fait qu'elle soit discriminée à cause de ça font qu'on la prend en pitié
( le coup de la "pixlexie" xd ). Félix, le héros ici réduit à un rôle de personnage secondaire, une demi portion de Mr Bricolage qui saute partout, sa relation avec le Sergent Calhoun détend bien l'ambiance et contribue efficacement à l'humour.
L'aspect visuel...gros point fort ! Un gros délire aux paysages les plus dingues dans une explosion multicolore, un véritable tsunami de couleurs pétillante et croustillante, surtout l'univers de Sugar Rush qui est visuellement le plus aboutit. spoiler: Vous prenez Mario Kart, vous prenez Candy Crush, vous mélangez le tout et vous obtenez Sugar Rush. Un jeux vidéo de rally dans un univers 100% sucré dans un environnement à base de bonbons et de gâteaux qui met vraiment l'eau à la bouche, un vrai paradis pour les gourmet encore mieux que dans Tempête de boulettes géantes (n'est ce pas Toriko^^). Une richesse visuelle doublé de courses de karting en folie dans les veines de Mario kart Wii (entre la route glagla et la montagne Choco), des courses sans fois ni lois avec des gadgets à gogo: glace canon, mitraillette à bonbons ou encore cerise explosive...vraiment on s'y croit.

Evidemment on trouve beaucoup d'humour, déjà par l'inadaptation de Ralph d'un jeu à l'autre, les jeux de mots qui sont légions dans le monde de Sugar Rush avec l'appui de placement de produits comme Coca, Mentos, Nesquik, Oréo en passant aussi à quelques clins d'oeils cinématographies discrets comme Star Wars où Alien et des caméos tels que les héros de Mortal, Combat, Call of Duty ou Sonic (à qui au passage on a collé une voix ridicule). Le doublage Français est de qualité, bonne prestation pour François Damien Demaison peu habituer à l'exercice. On retrouve aussi la voix unique de Dorothée Pousséo, dont le timbre un peu hyperactive colle parfaitement à cette pile électrique de Vanellope.
Donald Reignoux...bon pas besoin d'en dire plus, la perfection ce mec !
La morale est bonne, ça sort pas des sentiers battus des morales à l'eau de rose typiquement Disney mais c'est toujours quelque chose de beau de de pertinent, dans le cadre de Ralph : spoiler: accepter d'être celui que l'on est et surtout que les méchant aussi ont le droit au confort. On peu être "étiqueté" méchant tout en étant le héros de quelqu'un d'autre.
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Malgré tout, j'aurais 2-3 reproches (mineurs) à faire aux mondes de Ralph, premièrement à mes yeux, l'univers n'a pas été suffisamment exploité, on explore pas assez de jeux différents. Ensuite le méchant qui manque un peu d'épaisseur. spoiler: Ici on a pour méchant un roi, celui de Sugar Rush dont on découvrira à la fin sous le "masque" l'identité de Turbo (pas l'escargot hein ^^), le plus grand pilote de tout les jeux vidéo. Roi Tyrannique fait sur le modèle de la Reine rouge d'Alice au pays des merveilles (pour l'attitude colérique), il ne cherche qu'à rester au sommet et simplement élargir son règne à l'ensemble du "royaume" numérique.
Un peu fade mais on va pas trop chipoter, ça gâche pas le plaisir. Voilà, pour conclure, Les mondes de Ralph est vraiment un Disney extra, une réussite de plus qui ne cesse de reconfirmer pour notre plus grand bonheur le regain de forme du studio dans les années 2010. Original, inventif, drôle, prenez la manette et que la partie commence !
J'espère vraiment qu'il aura une suite car honnêtement, l'univers est tellement intéressant et riche de possibilités (comme je l'ai dit on y découvre pas beaucoup de mondes virtuels), j'espère vraiment que Rich Moore saura nous pondre un bijoux de la même trempe, surtout qu'il a laissé entendre que Mario serait de la partie...^^

L’immersion dans le monde du jeu vidéo est méticuleusement construite,tout les différents univers son présents et bien représentés.On retrouve des personnages phare du jeu vidéo dans un film,qui ne se sert pas d'eux uniquement pour faire du placement de produit mais les imbriques comme des références incontournables du monde du jeu vidéo.Les références sont plutôt bien vues,ont passe ainsi d'un monde à l'autre,du jeu naif au jeu de guerre ultra violent sans aucun problème.C'est franchement divertissant et amusant au départ,puis le film perd un peu de tout ça vers la fin mais il est tout de même très bien mené.C'est toute cette utilisation de petits détails lié à cet univers qui vient renforcer encore un peu plus l'attrait pour le monde de Ralph.Ça pétille de partout comme un petit bonbon aciduler en bouche.

Les Mondes de Ralph est une réussite totale dans le genre film d'animation. Histoire très divertissante, charges en humour et en décors époustouflants, a couper le souffle. Un scénario très chargés, truffés d'actions. Une mise en scène épique et choc, d'une virtuosité sans précédente. L'histoire est super, les personnages sont très convainquant, garnis d'humour et de bonté. Un film qui plaira au petit comme au grand ! Un film spectaculaire !! Rythmé, palpitant, un chef d'oeuvre ! 5/5 ****

Les Mondes de Ralph : Agréable surprise ce nouveau dessin animé signé Disney. On voit qui on toujours de l’idée et toujours de nouveaux univers à nous faire découvrir, et ça fait plaisir. Cette fois ci, il nous faire voyagé dans le monde du jeu vidéo avec un dessin animé un peux moins romantique que ce que on peut voir et plus dans genre Toy Story. Mais, ce qui a de fort avec Disney, c’est qu’il y a toujours de un magnifique voyage, une belle aventure et surtout de l’émotion. Car on découvre un méchant de jeu vidéo qui en a marre d’être méchant et qui va se liée d’amitié avec une petites fille de jeu vidéo qui elle aussi est rejeté (car c’est un beug). Et vraiment, j’ai trouvé magnifique lien d’amitié qui se forme entre eux deux. Donc voila, un scénario et un univers riche et bien utilisé, de l'humour, une très belle fin et il y a de nombre clin œil et référence aux anciens jeux rétros. Et comme je le disais, on a le droit a des personnage drôles, originaux, attachants et émouvant entre Ralph-la-Casse (qui veut toujours bien faire) ou encore Vanellope von Schweetz (un peu collante mais trop chou ^^)... De plus, la réalisation est toujours maitrisée à la perfection chez Disney : des graphismes de tout beautés, des animations magnifique, avec dans ce film de très beau jeux de couleur car oui, ce dessin animé est remplit de couleur : c’est vraiment agréable. Et avec ça, des musiques toujours aussi sympa qui colle parfaitement au thème et a l’univers. Voila, vraiment, je suis ravi d’avoir vu ce dessin animé qui fait plaisir à voir : j’ai passé un très bon moment. Grâce à un univers original, des personnages attachants et de l’émotion dans cette histoire. Je ne peux que vous le conseillé : aux petites comme aux grands. Regarder le, c’est un régal et un véritable plaisir.

Un excellent Disney ! visuellement c'est très réussi, un scénario inventif, des personnages attachants, de l'aventures et de l'humour.

Ah ! J'ai adoré ! Les Mondes de Ralph est une super film qui se démarque des films d'animation Disney habituels, un peu plus mature et réfléchi, n’importe quel amateur de jeux vidéos va adorer.
La quantité de clins d’œil et le respect envers l'univers vidéo-ludique dont je suis un grand fan va faire plaisir aux trentenaires qui sont encore sur leur bonne vieille borne d'arcade en train de jouer à Street Fighter.
L'humour est là, l'action aussi, l'idée est très originale et je me suis tellement reconnu dans le personnage de Ralph que j'aurais moi-même pu l'inventer de toute pièce !
Le début est vraiment bon et accrocheur, la qualité des expressions de visage vaut presque celle d'un Pixar, mais le milieu du film qui se passe dans Sugar Rush est un peu long et chiant à la longue, même si la fin épique rattrape tout cela.

Je le recommande à tout le monde, très bon film vraiment ! Allez, je rehausse la note.

Les Mondes de Ralph ! 52ieme long-métrage d'animation Disney. En plus d'être un des Disney les plus originals, c'est un véritable hommage au monde du jeu vidéo !

Ralph Lacasse : méchant de son jeu (où son but est de tous casser) qui fête ses 30 ans , mais malheureux de cette vie qui l'oblige a dormir dans une décharge et a ne jamais avoir de compagnie. Pour changer cela, il veut devenir gentil mais pour le prouver, il devra gagner une médaille uniquement réservé aux gentils. Ce n'est pas une quête d'identité mais plutôt une quête de renommé. Il est vrai que les méchants ne sont pas les plus aimés par leur entourage (même si pour les gamers, c'est assez le contraire). On peux clairement comprendre son choix car même s'il est programmé ainsi, il a tout autant le droit de vivre comme les autres car sans lui, le jeu est foutu !

Vanellope von Schweetz : Comme Ralph, elle est la paria de son propre jeu. Une véritable anomalie causant des bugs sur son environnement. Dorothé Pousséo lui donne l'excellent timbre de petite chipie mais tellement adorable qu'on ne peut que l'aimer.

Ce qu'on retiendra des secondaires que sont Félix Jr (doublé par l'excellent Donald Reignoux) et le sergent Calhoun, c'est surtout une relation digne de comédie romantique mais montrant une subtilité. On a toujours représenté la guerre des génération avec les vieux jeux pixellisé et les nouveaux en HD, cette "romance" permet de casser cette image montrant que Old et New peuvent coexister sans chichi.

Sa Sucrerie : On pouvait croire que c'était juste une sorte de bouffon excentrique à la Chapelier Fou, un peu dangereux mais rien de grave. Ben c'est lui qui va initié le concept des prochains Disney du "méchant révélé à la dernière minute". On pouvait croire que malgré ses magouilles il essayait de protéger une de ses citoyens mais il s'avère que c'est un sacré jaloux et égoïste. De son véritable nom "Turbo", il ne fait que perdurer un plan déjà réalisé. Voulant être le centre d'attention de tous, un comportement je dirais normal pour un héros de jeu vidéo. Mais à force d'être trop attirant, on finit par être attiré par sa perte.

Le message du film est le fait d'accepter ce qu'on est ! Il ne faut pas se forcer à changer car c'est grâce aux amis qu'on finit par trouver ce qu'on est au fond.

Tout ce message est porté par la relation entre Ralph et Vanellope. Tous deux rejetés par leur propre camarade de leur propre jeu, ils sont de nature solitaire mais leur rencontre changera la donne.Je vais citer une phrase de Zangief qui deviendra plus compréhensible à la fin : "Ce n'est pas parce que tu es méchant que tu es méchant !". Ce qu'il veut dire c'est qu'il faut faire la différence entre son role de méchant et son caractère. Hélas, Ralph ne le comprend pas ou peut-être si mais pas son entourage qui ne voit qu'en lui qu'une brute qui ne sait que détruire. C'est grâce à la confiance de Vanellope que notre héros saura que c'est ce côté "méchant" qui le rend "gentil" aux yeux de la gamine.

On peut même faire un parallèle entre Ralph et Turbo. Tous les deux ont éprouver de la jalousie, l'un face à la gloire des gentils et l'autre à cause de la concurrence. Surtout que c'est ironique car Turbo était un gentil et le voilà devenu méchant sans le vouloir alors que pour Ralph, c'est de plein gré. J'imagine la catastrophe destructrice si Ralph devait tout ravager pour obtenir sa médaille quitte à détruire un monde.

Animation : Doué d'une excellente animation, l'univers du jeu vidéo permettait plus de créativité comme reproduire pixel par pixel les styles graphiques et animations saccadés des bornes d'arcades. Il y a même aussi une différence de texture de peau. Par exemple, les personnages venant de jeu rétro ont une animation saccadée (respectant celle qu'ils ont en mode pixel) et une texture plus lisse voir plastique. Tandis que les jeux récents comme celui de Calhoun sont ultra fluide avec une texture HD et plus détaillée.

Décors : Les décors sont représenté par les 3 genres de jeux présenté dans ce film : Le jeu rétro plateforme où tout est droit et carré, avec un style très chic, comme un pixel (même les éclaboussures prennent une forme aux bords carré donnant cet illusion de pixel). Le FPS avec des décors très détaillé avec un environnement prédisant le chaos à venir. Enfin, le jeu de course à la Mario Kart où c'est juste du gros délire : Un monde entièrement fait de bonbons et de sucreries ! Ce qui est juste hallucinant car Ils ont réussi à produire la texture de la réglisse, du chocolat (liquide ou poudre) et toutes sortes de gourmandise qui nous donneraient faim. Bien sur, tout élément est utilisé intelligement pour les faire correspondre à des choses réelles comme le magma coca.

Musique : Chaque monde à son propre thème musical : Synthétique pour les univers pixels, épique pour les FPS et un style rock japonais pour Sugar Rush. Surement pour faire référence à la nationalité d'une bonne majorité de jeu et expliquant aussi le côté adorable et mignon de ce jeu. Tout ça accompagné d'une magnifique bande son.

Emotions : L'humour est un peu enfantin mais les références du genre "Lara Croft" feront rire les habitués de l'univers vidéo-ludique. Et bien sur, la partie émouvante avec Ralph qui détruit la seule chose qu'il a pu réussir à construire et ça en même de temps de détruire les rêves de Vaneloppe.

Avis Personnel : Un pur bonheur de faire des stop au débuts juste pour voir quels personnages connu de jeux vidéo Disney a pu intégrer. Passant de Pong à Sonic et de Street Fighter à Pacman, on n'en voit pas le bout.
Et aussi, j'ai bien aimé le combat contre Turbo digne des traditionnels combats de Boss.

Conclusion : Un grand hommage à ce 8ieme art qu'est le Jeu Vidéo !!

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Avec Les Mondes de Ralph, Disney réalise un excellent film d'animation. L'univers du jeu vidéo est tout simplement génial et on ne compte plus le nombre de clins d'oeil fait à d'autres jeux vidéo ultra connus comme Mario, Sonic, Street Fighter, Mortal Kombat et d'autres. Si le film s'adresse aux plus jeunes, il s'adresse également aux générations plus anciennes qui auront grandies avec les jeux que j'ai cité précédemment car de nombreuses touches d'humour leurs sont adressées. Néanmoins, le plus jeunes s'attacheront à Ralph, ce gros personnage attendrissant et à la petite Vanellope, véritable boule d'énergie. Sans oublier, Félix et le sergent Calhoun, excellents eux aussi. Les Mondes de Ralph est un film d'animation très réussi avec de nombreuses scènes hilarantes (la réunion des méchants anonymes ou la course finale façon Mario Kart). Bref, je me suis régalé.

Les Mondes de Ralph m'intéresse depuis quelques semaines, enfin je comptais le voir depuis plus longtemps mais là j'ai vraiment eu envie, pourquoi ? Je sais pas, je suis un peu dans une période Pixarienne, en gros "film d'animation" donc j'ai eu l'envie de voir ce Disney.

Je savais que l'histoire reprenait des jeux mais je ne m'attendais pas à ça, je ne m'attendais à pas au fait que ce gros méchant Ralph traverse d'autres jeux, ce qui fut assez sympa à découvrir au final, j'ai pris du bon temps à suivre ce Ralph la casse en manque de considération, son aventure est très plaisante et ses rencontres également. J'aurais cependant aimé voir un peu plus de clins d’œil, d'univers et de personnes de jeux vidéos mais bon comme je ne suis pas un pro en jeux retro si faut j'en ai loupé pas mal.
Même si ça ne transcende pas l'univers de l'animation et que l'histoire ne soit pas plus originale que ça, l'idée de rendre les personnages de jeux vidéos vivants, que leur borne de jeu soit leur habita et toutes ces petites choses sont vraiment intéressantes et pour le coup originales.

Donc ce fut un très bon moment passé en compagnie de ce tendre méchant aux mains surdimensionnés.