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    Eleven
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    Dead-for-Someone
    Dead-for-Someone

    35 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 novembre 2018
    Même si l'ambiance générale n'est pas trop mauvaise, ce film ne parvient
    pas à dépasser le thriller horrifique de série B.

    Après la mort de sa femme et de son fils, l'écrivain Joseph Crone
    (Timothy Gibbs) se rend à Barcelone pour aller voir son frère et son
    père mourant. Mais des phénomènes étranges font leur apparition, et la
    date du 11 novembre revient sans cesse...

    La réalisation n'est pas grandiose: le cadrage n'est pas toujours
    réussi, les prises de vues sont parfois vraiment ratées, la mise en
    scène n'est pas très intéressante; si les mouvements sont fluides, la
    profondeur de champ n'est pas très belle.
    Le scénario commence pas trop mal, il y a une bonne ambiance et
    l'angoisse monte. Mais le tout finit très vite par tourner en rond, les
    séquences supposées faire peur ne fonctionnent pas vraiment, on a
    l'impression de revoir plusieurs les mêmes scènes et la fin est
    totalement incompréhensible. On a droit aussi à beaucoup de clichés et
    d'incohérences.
    Les personnages ne sont pas attachants et certains sont même mal écrits.
    Les acteurs sont assez bons, ils offrent des prestations assez crédibles.
    Les dialogues sont très faibles, ils se résument à: "Joseph, tu devrais
    croire en Dieu." "Non." "OK." C'est répétitif et ça se prend parfois
    trop au sérieux.
    La photographie a une lumière assez intéressante, mais les couleurs trop
    criardes ou au ton trop sépia gâchent parfois le tout.
    Le montage est très banal et pas très intéressant.
    Les décors sont un peu vides, les costumes pas mauvais et la musique pas
    très marquante.

    "Eleven" reste une production assez faible et guère passionnante.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 novembre 2018
    Une nullité infâme : scénario indigent, une caractérisation des persos digne d'une rédac' de cm1, des clichés éculés tout comme les dialogues, une photo lamentable, un twist à deux balles et je ne parle pas des incohérences... passez votre chemin.
    Stéphane M
    Stéphane M

    1 abonné 128 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 octobre 2017
    bhouuuuu, quel ennui ! un vide intersidéral ce film. Rien de rien pour le réalisateur de 3 SAW. Pas d'horreur, de sursaut, une histoire plate de chez plate. Bref, c'est soporifique, passez votre chemin... Avoir des crédits pour faire un truc pareil je comprend toujours pas.
    RedArrow
    RedArrow

    1 542 abonnés 1 498 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 mai 2017
    Entre notre monde et un autre vit tout un tas de créatures infernales et encapuchonnés pour cacher leurs masques hideux en latex. Apparemment pas très contentes de leur situation, elles ne font rien d'autre que d'embêter une poignée d'élus humains (et de spectateurs) en leur assénant plein de visions ridicules. Seulement, elles ne peuvent le faire qu'à des moments bien précis : toujours à des dates ou à des horaires où "11.11" apparaît ! (Oui, c'est un brin idiot, des créatures sans âge d'une autre dimension se référant à un système de mesure du temps créé par des humains mais bon, s'il n'y avait que ça...)
    Alors, à l'approche du 11/11/2011, autant dire qu'elles deviennent fines folles, surtout qu'à cette date, il y aurait peut-être moyen pour elles d'entrer dans notre monde pour y faire la fiesta démoniaque du millénaire ! En tout cas, bien meilleure que celle de l'an 1111 comme les livres d'histoire ne mentionnent aucun déferlement démoniaque à l'époque...

    Retour dans notre monde et plus précisément dans la vie de Dan, un écrivain à succès. Depuis un petit moment, sa bonne étoile semble être complètement partie en vrille tant les tragédies successives lui tombent sur la tête comme des trombes de pluie d'enclumes.
    Sa jolie femme et sa fille ? Bim, réduites en petits tas de cendres lors d'un terrible incendie.
    Il monte tranquillement dans sa voiture après s'être fait dragouiller par une amie de sa thérapie de groupe (consécutive du premier drame). Bim, un conducteur le percute de plein fouet.
    Son père religieux avec qui il n'a plus de contact ? Bim, son frère l'appelle pour lui annoncer que le paternel est sur le point d'aller étreindre la Faucheuse.
    Son sommeil, ses nerfs et sa santé mentale ? Bim, Dan voit plein de trucs bizarres ces derniers temps, des mauvais rêves où sa femme et sa fille rôtissent une nouvelle fois bien sûr mais aussi de drôles d'humanoïdes encapuchonnés et toujours avec des 11 partout en plus...

    Bon, vous l'avez compris, Dan est un de ces élus qui peuvent percevoir ce qui se passe en dehors de notre monde et, le 11 novembre 2011 approchant, ce qu'il prend tout d'abord pour de simples hallucinations post-traumatiques va prendre une ampleur bien plus menaçante...

    Sacré Darren Lynn Bousman ! En 2011, alors qu'on reprenait quelque peu espoir en lui après le clivant (mais génial) "Repo ! The Genetic Opera" ou sa sympathique relecture de "Mother's Day", le bonhomme a trouvé le moyen de briser toutes nos (quelques) attentes en commettant ce "Eleven" impardonnable. Déjà le concept opportuniste d'un film autour de la symbolique d'une date (à la manière du remake de "La Malédiction" qui pointait le bout de son nez le 06/06/06) n'était pas ce qu'il y avait de plus alléchant mais, ce qu'il a trouvé le moyen d'en faire, "11-11-11" de son titre original, est un déchet absolu.

    Techniquement tout d'abord. Réalisation à la ramasse, photographie hideuse, effets visuels consternants, bande originale à côté de la plaque,... Les quatre coins de l'écran semblent dégouliner d'un mauvais goût absolu qui s'incarne à son paroxysme dans un sens du montage particulièrement catastrophique semblant vouloir annihiler toute tentative crédible de narration cohérente (les pauvres comédiens en sont d'ailleurs les premières victimes). Ce découpage abrupt de chaque scène enferme "Eleven" dans un rythme sans queue ni tête et le film se retrouve ainsi dans l'incapacité totale de produire le moindre soupçon d'angoisse ou de tension -pire, d'une quelconque d'émotion.

    Les séquences ratées s'enchaînent donc sur une histoire qui, sur le fond, est certes très classique mais qui, entre d'autres mains plus expertes, aurait peut-être pu produire son petit effet et, qui sait, même nous intéresser à cette utilisation du mythe de l'ouverture de la onzième porte du Paradis (les frais de serrurerie doivent être dingues dans le monde des morts).
    Manque de chance, en plus d'en faire n'importe quoi visuellement Bousman, nous raconte tout ça n'importe comment.

    Après une exposition aux Etats-Unis grotesque et bien trop longue (un tiers du film !), le réalisateur se décide d'un coup à délocaliser son héros en Espagne pour mieux essayer de pomper l'ambiance si particulière du cinéma fantastique ibérique alors en plein essor. Ça ne marchera pas. Bousman, pas encore remis de son expérience sur la saga "Saw", a bien évidemment construit son récit autour d'un éternel twist final se déroulant le fameux jour du 11/11/11 alors, en attendant, il faudra meubler avec des conflits familiaux/religieux (comprenez blabla sans intérêt), des scènes où le héros recherche ce que tout le monde (sauf lui) a compris depuis le début et bien entendu les apparitions de nos amis-démons à capuches de plus en plus audacieux (en gros, ils font des mitoses dans le brouillard à 11h11 pm, se cachent en grimaçant dans des taillis et laissent traîner des vieilles racines noires partout derrière eux, ces gros dégoûtants !).
    De plus le film arrivera vers son terme, de plus il tentera de nous faire avaler des couleuvres atteignant la taille d'anacondas ! Avec plusieurs pics d'hilarité à la clé comme cette fille brune, connaissance toute récente et vague love interest du héros, qui saute dans le premier vol New York-Barcelone pour venir l'aider dans son enquête ("je suis une fille spontanée" dira-t-elle, si on vous dit que l'épouse morte dans un incendie était blonde, ça vous donne un vague indice sur la subtilité des évènements à suivre mais chuuut, gardons le mystère pour les plus naïfs). Et le fameux jour J, le 11/11/11, alors que la Terre s'apprête à affronter des vagues de créatures célestes monstrueuses, que vont faire ces deux grandes courges ? Se balader en amoureux dans un labyrinthe naturel à Barcelone... Ouais, pas sûr qu'on aurait opté pour ce genre de préparatifs à une attaque démoniaque de grande ampleur, hein ?...

    Bref, hormis un twist très prévisible mais qui rattrape un peu cette affaire damnée par avance (après tout, c'est comme d'habitude ce sur quoi tout a été bâti), on pourrait résumer "Eleven" à une question que se pose Dan en cours de toute : "Pourquoi 11 ? Et pas 47 ? Ou 63 ?", quelqu'un lui répondra "C'est comme ça, le monde mystique a ses propres règles". En gros, les voies démoniaques sont impénétrables, va te faire voir.
    Donc, si on vous demande pourquoi vous vous êtes infligés "Eleven", dites pareil. Il n'y aura pas d'autre réponse admise de toute manière...
    sukifanee
    sukifanee

    4 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 septembre 2016
    Alors le doublage en Français...L'histoire est....trop religieuse à mon goût. Il y a tellement de clichés, c'est ennuyeux, limite ridicule. L'homme qui a perdu la foi, les affreuses blessures de famille, et nianiania. "Il faut que tu ais la foi"! La mémé qui vient réveiller l'acteur principal, en le forçant à s'habiller, pour aller à la messe, lui redonner la foi. C'est ennuyeux. Bof.
    Kapp Pacino B.
    Kapp Pacino B.

    10 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 novembre 2014
    Darren bousman à beau être le réalisateurs des SAW il signe là un de ses plus mauvais films.
    Avec de grosses incohérences religieuses c'est du gros n'importe quoi.
    Les acteurs sont mauvais et pas crédibles.
    On a envie de zapper dès les 5premieres minutes du film.
    Les effets spéciaux ne sont pas beau idem pour la qualité des images.
    Projet réalisé avec un petit bisget dont le résultat n'en est que très médiocre !
    Inutile de perdre votre temps comme j'ai perdu le mien à regarder ce film.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 107 abonnés 4 226 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 avril 2014
    Eleven est un mauvais film, pas indécent, mais totalement quelconque. Les acteurs d’abord ne sont pas des plus fameux. Timothy Gibbs n’est pas mauvais, mais il a un personnage qui en fait trop, et qui finit par perdre en crédibilité. Par ailleurs il est tout de même extrêmement versatile, tant est si bien que l’effort fait pour lui donner de la consistance s’écroule trop souvent. Le personnage de Michael Landes est déjà plus intéressant, mais l’acteur est presque transparent. Par ailleurs lui aussi n’est pas totalement consistant, plaidant d’un coté l’irrationnel et ne parvenant pas à croire aux fantômes ! Ca cloche. Un peu déçu aussi que quelques bons interprètes avec des personnages corrects ait été laissé de coté, à l’image de Wendy Glenn ou de Lluis Soler. Malgré tout, dans l’ensemble il n’y a pas de grosses surprises, avec une bonne ration de lieux communs et des acteurs qui peinent à faire des étincelles, au mieux jouant le jeu, au pire se montrant vraiment apathique.
    Le scénario a un gros problème de rythme. Eleven est un film terriblement mou jusqu’aux vingt dernières minutes, avec un ratage total dans sa partie centrale, d’une lenteur rare. Il y a très peu d’action, de rebondissements, de suspens, et l’histoire finit du coup, par ce manque de fluidité criant, par devenir peu compréhensible voir alambiquée, avec une histoire de chiffres dont on ne sait plus trop bien ce qu’elle signifie ni d’où elle vient. Le dénouement est par ailleurs assez quelconque, et ce terme, quelconque, je crois caractérise bien Eleven. Il n’y a rien de surprenant, de prenant, d’intriguant, le public le plus aimable suivra poliment ce qui se passe à l’écran, mais ne frissonnera guère.
    Coté réalisation, Bousman livre un travail sympathique, bien référencé, mais trop poli. Il a pourtant une grande expérience du cinéma d’horreur, mais il faut avouer qu’ici il semble avoir privilégié l’ambiance à l’action, en favorisant des mouvements de caméra lent, des plans fixes, en s’attachant aux décors, et même si c’est pas mal fait, le souci c’est que cela ne fait que renforcer le coté somnolent du métrage. Il aurait fallu au contraire plus de punch, plus de nervosité, pour atténuer l’impression paresseuse du scénario et des acteurs. On appréciera cependant une jolie photographie, c’est vrai, avec des couleurs soignées, de beaux contrastes chaud-froid qui font d’Eleven un métrage assez efficace de ce coté là. D’autant que les décors, sans être géniaux, s’avèrent relativement convaincant. Là aussi plus de personnalité n’aurait pas été de refus. Les effets spéciaux, peu nombreux sont encore de bonne qualité. En revanche il ne faut pas s’attendre à un véritable film d’horreur avec des scènes sanglantes, Eleven fait vraiment le choix de l’ambiance pour amener les frissons. C’est plutôt raté sur ce dernier point, et là encore, l’absence de violence graphique n’aide pas à se réveiller. Quant à la musique, c’est surtout une musique d’atmosphère, sans grande personnalité mais efficace malgré tout.
    Au bout du compte Eleven n’est pas film infâme, mais il est juste très quelconque, et il glisse comme une goutte d’eau sur les plumes d’un canard. Après visionnage il ne reste guère autre chose qu’une impression d’ennui poli devant un spectacle plutôt élégant, mais sans aucune saveur. Bref, un film de genre qui n’a pas de sel, ce qui décevra légitimement les amateurs. 1.5.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 novembre 2013
    Au secours!!!!!
    D'un ennui mortel! Il ne se passe rien je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire.
    Personnages sans aucuns reliefs, pas de scène flippantes, on aenvie de dormir zzzzzzz
    gnomos
    gnomos

    48 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 octobre 2013
    Très déçue par ce film. Voyant le nom du réalisateur, je pensais voir un film d'horreur, et j'avais bien aimé les Saw et Mother's day. Las, c'est un film d'épouvante religieux, où l'on s'ennuie beaucoup, ( j'ai fait avance rapide au bout d'un moment et n'ai ensuite regardé que la fin, parce le film se traîne à une allure de gastéropode léthargique ), mais même la fin ne fait pas peur, c'est juste un peu malin, et beaucoup trop tard. Les initiales de l'écrivain sont JC, je ne sais pas si c'est exprès, son frère a l'initiale S, hasard encore ? Bref, c'est une histoire de ce genre, un truc qui tourne autour de l'éternelle confrontation entre le bien et le mal, avec le triomphe du mal et tout le toutim, genre " La Malédiction " du pauvre. Pour les courageux qui ont du temps à perdre, ou les insomniaques, quoique je songe à me faire rembourser, car je ne me suis même pas endormie. Revenez à l'horreur, mr Bousman, la prochaine fois.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 octobre 2013
    J'ai vraiment sous estimais ce film. Mais quand je l'ai regardé,j'ai eu honte de l'erreur que j'ai le budget du long métrage est très faible, mais l'ambiance est travaillé,j'ai jamais eu peur devant un film d'horreur récent et juste pour cet exploit,il mérite un oscar.J'était vraiment sous le regardait le.
    FIN.
    NeoLain
    NeoLain

    4 317 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 septembre 2013
    De quoi rendre malade un mathématicien. Le réalisateur Bousman (Saw II, III & IV), ne parvient pas à nous faire frissonner. Sur le thème des récurrences des chiffres, ici, nous sommes devant le chiffre 11. Une énième histoire fade sous fond de religion, l'intrigue se met en place timidement sans pour autant que l'on décroche, nous avançons et le chiffre zéro commence à venir dans note esprit. Zéro parce que le résultat global, nous tournons en rond.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 juin 2013
    A fuir : rarement vu 1h35 d'inutilité à ce point. Ne paye même pas la pellicule.
    WinslowLeach666
    WinslowLeach666

    26 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juin 2013
    Bousman, Bousman, t'as encore fait une bouse man ! Oui je sais elle est facile et sûrement déjà faite un grand nombre de fois mais comment ne pas s'en empêcher quand on voit ce 11.

    Pourtant son remake du Mother's day de Charles Kaufman était plutôt bon, mais quand on voit la filmographie de sieur Bousman, on peut douter de la paternité de ce dernier sur le film mais pas sur le 11 qui nous interesse ici. Plus lent qu'un épisode de Derrick sous Xanax, plus ennuyeux qu'un match de football, en bref aussi passionnant qu'un album de Christophe Maé, nullissime, pitoyable, affligeant, j'en passe et des meilleurs. A fuir comme la peste.
    11/11/11, 1+1+1+1+1+1=6
    Trois fois le chiffre 11 , donc 3 fois 6, donc 666 au secours Satan m'habite.
    Saint Damien Thorne priez pour moi.
    Quelle malediction
    clint54
    clint54

    21 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mai 2013
    Le sujet d'abord méritait certes réflexion. Retranscrit au cinéma, en film çà donne un énième long-métrage récurrent sur le Diable, Le Mal et ses conséquences. Ensuite, le Réalisateur connu, on se dit là.. çà peut devenir un Thriller ésotérique qui tourne au gore. Que nenni,le film se regarde donc comme un bon vieux Damien, le côté Gothique en plus. Pas désagréable, mais une sensation d'inachevée....la fin surtout achève ce sentiment de frustration ...
    Stargate
    Stargate

    261 abonnés 2 873 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mai 2013
    D'accoooord... Alors la fin laisse clairement un goût d'inachevée, malgré l'improbable retournement de situation. Et le film réussit à faire peser un climat oppressant. Mais il y a un peu trop de longueurs, et encore une fois, la fin m'a déçu. Cela dit, pas de quoi descendre plus que ça Eleven, qui ne mérite tout de même pas ça.
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