Votre avis sur Les Dents de la Mer ?
5,0
Publiée le 2 mai 2017
Ah la la ! Ce film est pour ma part celui qui m'aura le plus terrifier ,c'est pour dire malgrès le fait que je vivais en Guadeloupe j'ai attendu d'avoir 14 ans pour prendre mon courage à deux mains et me baigner dans cette mer qui me faisait si peur à cause des requins .Le film d'horreur de Spielberg aura était d'un impact inconcevable pour l'époque comme jamais aucun autre film n'aura pu égaler malgrès les années peut etre y est il si bien arriver en appuyant sur ses propres phobies vu qu'il à une peur panique de la mer et surtout de ceux qu'elle cache.Mais la ou c'est surpuissant c'est qu'à l'époque tous étais inconnu ou peu connu du grand écran, qui connaissait Spielberg à l'époque? Pas grand monde car ce film n'est que sa 3ème réalisation,tout comme le trio d'acteurs principaux,qui les connaissaient ?John Williams lui aussi peu de monde à l'époque son nom n'étais pas connu .

Voilà l'un des points surprenant du film c'est que c'est une équipe d'inconnus qui va etre à l'origine du premier blockbuster et qui marquera à jamais l'histoire du cinéma .Il est bon à s'avoir que c'est aussi le premier grand succès de Spielberg et c'est d'ailleurs "ce film" qui lancera son incroyable carrière! Dès l’intro du film le ton est immédiatement donné grâce à la surpuissante et méga connu BO de John Williams qui elle seule fais flipper et qui ajouter au film donne une terreur et une tension extrème ,d'ailleurs la première victime du monstre fais partis des scènes les plus marquantes du cinéma.Toutes une génération et plusieurs autres encore après se retrouverons terrifier par les profondeurs des mers et par ceux qui la peuple,même encore aujourd'hui le film en effraie plus d'un malgrès les 40 ans du film.

La peur d'être dévoré par un grand requin blanc s'est propager telle un virus impossible à stopper à cause de ce film qui eu un impact direct sur les gens,le cinéma,l'éradication tragique des requins en bref sur la société entière.Qui peut se vanter d'avoir réussie cela,personne à part Spielberg .La peur fut si traumatisante pour la société qu'elle eu un impact sur les vacances et tous ce qui l'accompagne,baignade,hotel...Elle eu pour le coup des conséquence favorable aux vacances en montagne ^^.Il fallu plusieurs années pour que la phobie des gens vis-à-vis des baignades en mer retombe mais jamais elle ne s'effaceras car dans un coin de notre cerveau on finit toujours par y repenser,bravo Spielberg! Il faut dire que la peur nous atteins grâce à un sens du suspense maîtriser à la perfection, et engendre en nous une psychose .Tout sa pour dire que grâce à juste un film Spielberg aura foutu la pétoche au monde entier, et 40 ans après les gens ont encore peur !

La réalisation de Spielberg n'a pas pris une ride et reste encore aujourd'hui efficace,frappante,indémodable en bref c'est cultissime ! D'ailleurs, l’atmosphère du film doit énormément à la mythique bande originale du grand John Williams qui après Zimmer est mon compositeur préféré,il composa d'ailleurs des monuments du cinéma comme la bo connu de tous de la saga Star Wars et des premiers Harry Potter du très très lourd ! Vraiment Williams est un génie.

Pour ma part le film à un point très fort c'est qu'il joue sur plusieurs phase de la peur et elle se départage en deux partie.La première partie du film joue avant tout sur le stress et la peur de ce que l'on ne voit pas,exemple: avec ses vue pris en dessous des baigneurs ou l'on voit la caméra s'approcher de plus en plus des jambes des baigneurs l'angoisses touche à son comble et nous rédies les jambes,d'ailleurs la vue subjective du requin est intelligemment mise en scène,et l'on voit très peu le requin se qui joue absolument sur notre imagination et pour le coup sur nos peurs de ce que l'ion peut pas voir ,pour le coup on se met facilement dans la peau des victimes.Pour la deuxième partie l'action est plus présente car il s'agit de la confrontation mais n'enlève en rien la peur puisque la elle se transforme en huis-clos sur le bateau de Shaw et la le requin n'est plus la seule peur,l'étendue vaste de la mer prend toutes son ampleur et on comprend qu'ils sont seules au mondes face au requin.

La première partie est ma favorite et dévoile un plan artistique de mise en scène tenant du génie, d'ailleurs,en plus de ce que j'ai énuméré au dessus,les séquence ou tout le monde est pris d'une panique générale sur la plage font vraiment réelle et donne un véritable impacte à la peur viscéral et nous donne pour le coup un véritable coup de poing de mise en scène .Coté casting on à droit à 3 acteurs inconnue" Roy Scheider, Robert Shaw, Richard Dreyfuss"qui nous en mettrons plein vue du début à la fin on ressent avec eux la peur primale fasse à ce qu'ils sont confronté.Ils sont vraiment à fond dans leur personnage et pour tout dire je les trouves tous les 3 charismatique et surtout Roy Scheider qui pour le coup nous fais facilement partagé sa peur et ce que je retiendrais de Robert Shaw en plus de sa fameuse chanson"Au revoir et adieu" c'est l'histoire absolument terrifiante qu'il raconte sur la prise de fond de L' Indianapolis.

CONCLUSION:Une oeuvre à la fois fascinante, terrifiante mais par dessus tout admirable de génie pur.Une réalisation maîtrisée de bout en bout imparable et frappante à la fois .Spielberg tu est un génie!Et je terminerais par ceci:
"Je le répète, ce n'est pas un accident dû à un bateau, ni à une hélice, ni à un récif de corail, ni à Jack l'éventreur non plus. C'est dû à un requin.
5,0
Publiée le 10 août 2015
En 1975, Steven Spielberg est encore un tout jeune réalisateur, certes auréolé des relatifs succès de "Duel" ou de "Sugarland express". Et puis l’apparition en 1974 du best-seller éponyme de Peter Benchley intéressa au plus haut point Spielberg, attiré vraisemblablement par le succès et le potentiel d’une adaptation cinématographique. Doté de ses talents de visionnaire et d’un budget 4 millions de dollars, rien ne l’arrêtera en dépit d’un surcoût de 5 millions de dollars, pour aboutir au résultat que nous connaissons tous, tant commercial (rapport de 470 millions de dollars) que marquage des esprits même 40 ans après. Le requin (notamment le grand blanc) est diabolisé, la peur des requins fut et reste omniprésente, faisant réfléchir à deux fois les gens avant d’aller se baigner à l’époque. Il faut dire que l’entame donne le ton d’entrée, avec cette visite des bas-fonds sous une musique de John Williams quelque peu angoissante. La tension monte au fur et à mesure grâce à une mise en scène réussie et une réalisation impeccable. Le trio d’acteurs principaux y est également pour quelque chose : Roy Scheider campe un chef de police qui remplit à merveille son rôle en étant obnubilé par la sécurité des habitants et des vacanciers, Richard Dreyfuss est dans la peau d’un expert en océanographie qui connait particulièrement les squales, et Robert Shaw excelle dans l'interprétation d'un vieux loup de mer au caractère bien trempé et arrogant tant il parait sûr (trop ?) de lui. Alors qu’ils sont issus d’un monde complètement différent, ils se trouvent réunis pour une seule cause, en raison d’un maire trop longtemps en proie au pouvoir de l’argent apporté par les vacances d’été s’annonçant sous le meilleur auspice. C’est à partir du moment où les trois hommes embraquent pour la traque de l’animal que l’attention du spectateur est irrémédiablement captivée. Le scénario, bien que réécrit à plusieurs reprises, est bien rédigé, offrant un déroulé logique et convaincant. Le suspense va en grandissant, l’alternance de scènes calmes et angoissantes y étant pour quelque chose, au même titre que la mise en images. Steven Spielberg nous montre ici son immense talent de cinéaste en nous gratifiant de plans inquiétants, comme cette découverte nocturne de la barque sous les rayons d’une lampe torche passant difficilement au travers des vitres salies par l’air iodé, les embruns et la saleté, rendant ainsi l’instant plus glauque et chargé de stress. Ou comme ces plans où on s'attend à voir quelque chose, mais où finalement il ne se passe rien. Spielberg a su jouer avec nos nerfs. Spielberg nous gratifie également d’images d’archives de l’institut océanographique lorsque le requin attaque la cage, sans doute dans le but d’amener de la fluidité dans les mouvements du requin et donc de le rendre aussi réaliste que possible. Car en 1975, les effets spéciaux n’ont pas la même qualité que ceux d’aujourd’hui. Le cinéaste savait déjà que son requin de 8 mètres en animatronique ne correspondait pas à l'aisance réelle de l'animal, aussi s’attache-t-il à ne le montrer qu’au strict minimum. Evidemment, 40 ans après, on voit que ça a pas mal vieilli, mais le film est toujours aussi flippant. Si flippant qu’au moment de sa sortie, "Les dents de la mer" était interdit aux moins de 18 ans, n’étant aujourd’hui déconseillé qu’aux moins de 12 ans. A l’instar de l’intrigue qui laisse un souvenir impérissable, la musique de John Williams a marqué également les esprits. Le pouvoir de l’argent y est vivement critiqué : on ne lésine pas avec la sécurité de la population. Et puis on note aussi le goût du cinéaste pour les histoires vraies qui semblent anecdotiques tant elles sont relativement inconnues du grand public, avec cette évocation de la tragédie du cuirassé USS Indianapolis. Je m’étonne même qu’il n’ait pas fait quelque chose sur ce sujet, si on tient compte de sa filmographie ("1941", "La liste de Schindler", "Amistad", "Il faut sauver le soldat Ryan", "Munich", "Cheval de guerre", "Lincoln"). Le fait est que "Les dents de la mer" ont remportés en 1976 trois Oscars sur quatre nominations, la concurrence étant très rude cette année-là. Il a d’ailleurs été le plus gros succès commercial de l’année, tant et si bien que 4 séquelles ont été tournées (mais pas par Spielberg) en 1978, 1983, 1987 puis en 1995 pour le petit écran (dont je viens d’apprendre l’existence). Autant que vous le sachiez de suite, aucune d’entre elles n’arrivent à la cheville du numéro 1. Cette réalisation fait office de référence dans le genre. Elle a été souvent imitée, mais jamais égalée. Si j’avais un conseil à vous donner, vous lancer dans la découverte de la saga serait une pure perte de temps. Autant rester sur cette version qui est le premier chef-d’œuvre du grand monsieur Steven Spielberg.
3,5
Publiée le 8 octobre 2017
" Les dents de la mer " film culte de Steven Spielberg .

L'histoire se déroule pendant la saison estivale dans la petite station balnéaire d'Amity qui est mis en emois quand le corps atrocement mutilé d'une vacancière est découverte sur le littoral . Pour Martin Brody ( Roy Shreider ) le chef de la police il ne fait aucun doute que la jeune fille a été victime d'un requin affamé . Il décide alors d'interdire l'accès des plages aux vacanciers mais se heurte à l'hostilité du maire uniquement intéressé par l'afflux de touriste et lui ordonne de réouvrir les plages immédiatement . Pendant ce temps le requin va continuer à semer la terreur le long des côtes et à dévorer les baigneurs ...

" Les dents de la mer " est un film culte signé Steven Spielberg récompenser par 3 oscars qui a marqué toute une génération de spectateurs dans les années 70 . Ce film est l'adaptation d'un roman de Peter Benchley sortit en 1974 . Le réalisateur Steven Spielberg qui avait été révéler en 1971 avec le film " Duel " c'est vu proposer en 1976 d'adapter le roman à l'écran . Tourner avec un petit budget de 9 millions de dollars le film en rapporta plus de 470 millions de dollars à travers le monde devenant ainsi le plus gros succès de toute l'histoire du cinéma à l'époque . Avant d'être détrôner deux ans plus tard par " la guerre des étoiles " de george Lucas . En France le succès du film fut également colossal en attirant plus 6 millions de spectateurs devenant ainsi le plus gros succès de l'année 1976 sur notre territoire . Steven Spielberg vit alors sa carrière de réalisateur exploser grâce à l'immense succès mondiale des " dents de la mer " qui en fit un réalisateur bankable qui lui permit par la suite de réaliser une pléiade de films devenu cultes ( rencontre du 3e type , Indiana jones , E.T l'extraterrestre , Jurassic Park ... ) .
L'histoire des " dents de la mer " est simple mais d'une redoutable efficacité et original à l'époque avec un requin affamé qui va terroriser une petite station balnéaire en dévorant les vacanciers avec le chef de la police locale qui va alors tenter de capturer et tuer le squale ce qui va donner lieu à son lot d'angoisse , de frayeur , d'horreur , de suspense et d'action . Le film est un très bon mélange de thriller , de suspense , d'action et d'horreur / épouvante . Spielberg avait inventer un nouveau genre avec ce film le thriller aquatique dont beaucoup reprendront le concept par la suite ( " piranhas" , " peur bleu" ...) . La bonne idée du film c'est de ne pratiquement pas monter le requin à l'écran . Spielberg avait du mal à faire fonctionner le requin du film qui était un faux requin mécanique et il décida alors de le montrer le moins possible à l'écran plutôt que de montrer un requin qui ne serait pas crédible et de tout miser sur la mise en scène qui est très efficace et inventive ( par exemple avec la caméra qui se déplace sous l'eau et qui film les gens en s'approchant d'eux de manière à ce que l'on pense que c'est le requin qui les regarde et qui s'apprêtent à les attaquer ) et sa donne une vrai force au long métrage car sa rend le film encore plus stressant et angoissant car on sait pas à quoi il ressemble d'où il peut venir ce qui accentue le stresse , l'angoisse et le suspense . Le suspense est d'ailleurs maîtriser de main de maître par Spielberg . La musique de Jonh Williams qui est devenu culte est juste mythique et colle à merveille à l'ambiance du film . La musique assez angoissante et menaçante dans ses sonorités rend les scènes encore plus menaçante et angoissante nottament les séquences où le requin s'apprête à passer à l'attaque . La musique est vraiment un des éléments qui à vraiment contribuer au succès de ce film qui remporta d'ailleurs un oscar .
Le film est porter par un très bon casting avec entre autre Roy Scheider très bon et charismatique dans le rôle de ce chef de la police de la station balnéaire déterminé à tuer ce requin qui terrorise la station balnéaire . Il va s'associer à Quint bien interpréter par Robert Shaw un pêcheur local bien décider à pêcher le requin et Matt Hooper bien jouer par Richard Dreyfuss un expert de l'océan et des requins qui va leur apporter ses connaissances pour capturer et tuer le requin . Le trio Roy Scheider , Robert Shaw et Richard Dreyffuss fonctionne bien . Même si le film à un peu vieillit sur certaines scènes (quand le requin est filmé en gros plan on voit qu'il est faux ) , qu'il n'a plus la force qu'il pouvait avoir à sa sortit ( a l'époque c'était vraiment novateur ce genre de film depuis on en a vu des tas du même style et qu'il n'y a plus l'effet de surprise et la force de l'époque) et qu'il contient quelques longueurs par moment il reste toujour aussi efficace et divertissant avec quelques séquences mémorables devenu cultes

spoiler: ( toute la séquence finale sur le bateau pour capturer le requin )


. Ce film a tellement marquer les esprits et a traumatisé tellement de spectateurs à sa sortie en 1976 que la fréquentation des plages a largement diminuer l'été qui a suivi la sortit du film . D'ailleurs beaucoup n'ose plus mettre un pied dans l'océan depuis qu'ils on vu ce film . Depuis le triomphe des " dents de la mer " beaucoup de producteurs et de réalisateurs ont essayer de surfer sur le succès des " dents de la mer " en lançant une pléiade de films sur les requins . Mais pas beaucoup ont réussit l'exploit de rivaliser avec les " dents de la mer " qui reste inégalable et la référence dans ce domaine .

" Les dents de la mer " un classique du cinéma à voir et à revoir .
4,0
Publiée le 25 avril 2022
Un très bon film culte du grand Steven Spielberg !
L’histoire est très satisfaisante et Roy Scheider est convaincant !
Robert Shaw et Richard Dreyfuss sont satisfaisants et tous les autres acteurs sont très corrects.
Le requin est convenable et plutôt bien élaboré pour l'époque et les images sont convaincantes.
Les décors sont bien et la station balnéaire d'Amity est agréable.
L'ambiance est plaisante et en plus magnifiée par l’excellente bande originale devenue mythique du légendaire John Williams !
Les scènes où le requin dévore ses victimes sont assez bien réalisés et il n'y a que la partie de la chasse sur le bateau qui comporte quelques petites longueurs ce qui est dommage malgré un suspense bien mené et une traque du squale plutôt entraînante.
Un film donc dans l’ensemble très réussi et qui restera à jamais marqué dans nos mémoires comme le traumatisme d'une génération, d'ailleurs même aujourd’hui qui n'a jamais pensé à ce film quand on se baigne en mer !
5,0
Publiée le 21 mars 2017
Gros classique, Les Dents de la mer, premier du nom, est un excellent film de monstre, qui garde toujours autant ses qualités, notamment pour susciter la peur.
L’intérêt majeur du film est en effet d’être réellement angoissant. Distillant quelques effets horrifiques toujours top (notamment dans le final), le métrage montre peu le requin, mais chacune de ses apparitions est mémorable, et la tension et le suspens sont savamment entretenus par un réalisateur au top, qui parvient toujours à avoir l’idée choc pour marquer son spectateur (sur la plage bondée par exemple). Peu spectaculaire a priori, malgré quelques séquences impressionnantes, Les Dents de la mer est entièrement porté par un rythme très fluide, des idées entrées dans les « lieux communs » du genre tant elles furent reprises, et par une capacité à laisser penser du début à la fin que le requin, délicieusement sadique, peut aussi bien perdre que gagner.
Doté d’une mise en scène rigoureuse, d’un cadre judicieusement choisi, et ménageant avec une rare intelligence ses effets horrifiques, Les Dents de la mer est très peu critiquable sur la forme, avec, en sus, une bande son entrée dans la légende. Pour ma part, ce Jaws est la preuve qu’avec un budget somme toute réduit, et sans effets numériques outranciers, il est tout à fait possible de créer un film luxueux et puissant.
Le casting est convaincant. Ce n’est peut-être pas l’argument massue du film, mais honnêtement, difficile de ne pas trouver logique un Robert Shaw en Quint, un Richard Dreyfuss en savant, et un Roy Scheider en sheriff. Très bon choix au final, avec des acteurs à la hauteur, et quelques seconds rôles délicieusement piquant, notamment le fameux maire. Murray Hamilton était loin de se douter que son personnage allait devenir probablement le type le plus connu du cinéma catastrophe, c’est-à-dire le maire totalement débile prêt à tout pour sauver la fête de la courgette ou du hareng saur, même à braver les pires catastrophes.
Je ne m’étendrai pas outre mesure sur Les Dents de la mer, car il est dur de ne pas répéter ce qui a déjà pu être dit à son sujet. Excellent métrage, j’aurai plutôt eu tendance à lui donner un 4.5, notamment par le caractère un peu redondant du scénario, dans la première patrie, mais surtout car certaines scènes sentent le déjà-vu. Mais en vérité, c’est parce que depuis Jaws énormément de films l’ont copié, et pas forcément pour le mieux. Aussi, je me dois quand même de donner 5.
5,0
Publiée le 28 janvier 2017
Enfin!!! Enfin j'ai pu voir et me délecter de ce film mythique au cinéma dans une copie merveilleuse de qualité qui, en dehors des looks et de certains effets spéciaux vieillissant mais très corrects, cette oeuvre ne fait pas ses 41 ans. Un grand grand film où la maîtrise de la caméra et du montage sont exceptionnels. Au cinéma, du pur bonheur!
3,5
Publiée le 26 mai 2015
Et dire que Les Dents de la Mer, titre français que Spielberg a toujours préféré à Jaws en VO, ne devait être au départ qu'un téléfilm comme Duel. Et dire que Spielberg n'avait même pas trente ans. Et dire qu'il n'a coûté que douze millions de dollars. Et dire que le tournage en 1974 a été entaché de problèmes techniques (filmer sous l'eau a tellement été prise de tête pour Spielberg qu'il ne veut désormais plus tourner sous l'eau), de mouvements de grève, de dépassements de budget occasionnant un retard dans la conception du film d'où la menace du patron d'Universal Pictures d'arrêter le film. Mais ce sont généralement les tournages compliqués qui accouchent des grands films. A la fois huis-clos, thriller, film d'horreur, hommage à Hitchcock, on ne peut pas classer Les Dents de la Mer. Moi, ce qui m'a impressionné, c'est la maîtrise de Spielberg à seulement 28 ans. Une maîtrise et une maturité que ne possèdent et ne possèderont jamais certains metteurs en scène plus expérimentés. Il a parfaitement su doser l'utilisation de la violence sans qu'elle ne devienne gratuite, montée de la tension et critique sociale : spoiler: le maire de la station balnéaire préfère jouer la politique de l'autruche, nier l'existence du requin, plutôt que de perdre des touristes
. Le film rapportera 125 millions de dollars de recette aux USA, et 470 millions dans le monde. Il permet aussi à son célèbre réalisateur de connaître une consécration internationale après le faible score de Sugarland Express qui n'était pas non plus un film pour enfants comme Les Dents de la Mer. Donc résumer Spielberg à la naïveté d'E.T ou Hook est évidemment réducteur. Dommage que les suites ne soient pas à la hauteur de l'original.
5,0
Publiée le 5 juillet 2023
Le film qui spoiler: inventa deux nouveaux genres


Le génie de Steven Spielberg, 26 ans, de John Williams – Thème des Dents de la mer – et d’une formidable équipe de production qui ont donné naissance à spoiler: deux nouveaux genres : le premier « film de requin » et « blokbuster d’été » de l’histoire du septième art
.

Mais "Les Dents de la mer" va au-delà de ces appellations cinématographiques et est un classique largement considéré comme l'un des meilleurs films jamais réalisés.

En 2001, "Les Dents de la mer" a été sélectionné par le Librairie du Congrès pour être conservé dans le National Film Registry des Etats-Unis comme étant « culturellement, historiquement ou esthétiquement significatif ».

5/5
5,0
Publiée le 5 février 2015
Un immense film culte du cinéma d'horreur réalisé par le grand Steven Spielberg. Le film a sûrement pris un petit coup de vieux au niveau des effets spéciaux (le requin est moins effrayant que dans ma jeunesse) mais sûrement pas pour le reste. Une mise en scène très réussi de Spielberg et surtout une BO de John Williams complètement géniale, qui est à coup sur l'élément qui fait le plus frissonner dans le film. Un film à voir une fois dans sa vie
5,0
Publiée le 28 juin 2015
La traque d'un animal dangereux n'était pas un sujet nouveau en 1975, mais c'est après l'énorme succès du film qu'on verra à l'écran une flopée de bestiaux nuisibles menaçant l'homme (pieuvre, piranhas, grizzly, insectes en tous genres, araignées, rats géants etc...). La grande habileté de Spielberg est d'avoir remis au goût du jour quelques vieux thèmes du cinéma américain : peur viscérale, peur de l'inconnu, impuissance, lutte inégale, traque insensée... Il a eu aussi le génie de ne montrer le requin qu'au milieu du film, par petites touches, jusqu'à la scène terrifiante où il renverse le bateau et avale son ultime proie. C'est d'ailleurs dès le départ du bateau du port d'Amity, qui emmène ses 3 héros principaux, que ce fabuleux suspense prend toute sa dimension, non pas que la première partie soit inintéressante, elle est nécessaire pour faire démarrer l'histoire, mais cette traque en mer reste un gigantesque morceau de bravoure où les 3 personnages sont confinés dans l'espace clos du bateau, pauvre coque de noix à la merci d'un chasseur puissant, le tout entrecoupé par une pause pour détendre le spectateur, celle où Quint raconte la tragédie de l'Indianapolis. Cette traque est aussi exceptionnelle humainement, car non seulement elle s'assimile à la chasse obsédante du capitaine Achab dans Moby Dick, qui traque la baleine blanche, mais surtout parce que Spielberg a eu le don de choisir 3 acteurs de talent destinés à symboliser 3 types humains : Quint le vieux loup de mer fanatique et truculent, Brody le policier lucide qui n'est pas sans faiblesses, Hooper le scientifique écervelé mais coriace ; Spielberg a laissé à Robert Shaw, Roy Scheider et Richard Dreyfus une grande liberté d'improvisation qui permet d'enrichir leurs personnages. Et finalement des 3, c'est le policier pusillanime qui viendra à bout du monstre dans une scène finale grandiose, après 2h de tension soutenues par la musique subtile et mémorable de John Williams qui sait effrayer par des notes simples de violons. Malgré un tournage chaotique qui posa de nombreux problèmes avec le requin mécanique, les recettes phénoménales du film ont permis à Spielberg d'affirmer son talent de jeune cinéaste de 28 ans par sa mise en scène virtuose, et d'en faire l'un des prodiges de Hollywood, ce qu'il confirma ensuite par ses autres films. En attendant, il avait flanqué une trouille bleue aux baigneurs du monde entier, et ce film reste même 40 ans après sa réalisation, complètement mythique et indémodable.
5,0
Publiée le 3 novembre 2016
Les Dents de la Mer est un chef-d’œuvre (encore un) du génial Steven Spielberg.
L'atmosphère est intense. Le film nous maintient en haleine pendant peut-être la moitié du film sans montrer le fameux requin géant. Il y a certes des morts et de l'hémoglobine, mais on ne voit jamais le requin. Le réalisateur a l'intelligence lors des scènes de bains de sang de film de les filmer soit à travers les yeux du prédateur soit en filmant juste la surface de l'eau. Les effets spéciaux autour du requin ont d'ailleurs pris un très léger coup de vieux, et le fait que le film fasse toujours aussi peur aujourd'hui malgré son âge prouve bien que la force du film réside dans sa réalisation.
La musique de John Williams est absolument culte, elle parvient à nous terrifier à partir de seulement deux notes (un peu plus par la suite du morceau).
Les acteurs sont plutôt bons. C'est d'ailleurs assez étrange qu'à part Richard Dreyfuss, aucun d'entre eux n'ait véritablement percé. Roy Schneider porte très bien le film. Richard Dreyfuss et Robert Shaw l'accompagne bien.
On ne s'ennuie pas du tout, malgré une histoire qui ne semble tenir qu'en quelques mots (un requin faisant un massacre sur une plage). On ne voit pas du tout les deux heures passer et cela est du à de bons rebondissements et une mise en scène intense et géniale.
Se dire que Les Dents de la Mer n'est que le deuxième long-métrage de Steven Spielberg est assez impressionnant.
5,0
Publiée le 4 septembre 2014
En 1975, Steven Spielberg adapte intelligemment le best-seller nautique de Peter Benchley et provoque une vague de terreur sans prècèdent dans les salles obscures du monde entier! Avec un sens du suspense consommer, il joue sur la psychose engendrèe par les requins, suggère plus qu'il ne montre la crèature (tout du moins dans la première partie) et signe une oeuvre phare du cinèma amèricain, porter par un trio grandiose: Roy Scheider en chef Brody, Richard Dreyfuss en expert des requins et Robert Shaw en vieux loup de mer! Spielberg fait donc monter la tension en rèvèlant lentement le requin avec la musique de John Williams, l'une des plus terrifiante musique du 7ème art! Quelques rèpliques sont inoubliables ("il nous faudrait un plus grand bateau") et le film nous offre ègalement une sèquence d'ouverture particulièrement flippante, celle d'une jeune fille prenant seule un bain de minuit, jouant plus que jamais sur notre peur de l'inconnu! En 1975, les fameuses dents propulsèrent Spielberg en haut du box-office, rendant cèlèbre la mythique station balnèaire d'Amity.
4,5
Publiée le 10 juillet 2015
Troisième film de Steven Spielberg (deuxième si on veut être précis et ne pas compter "Duel" comme tel) et premier gros succès, "Jaws" est fidèle à sa réputation. Des années après, impossible de rester insensible rien qu'à la première scène spoiler: (soit la mort de la jeune fille)
, scène qui fait tout simplement froid dans le dos et annonce la couleur. Mais au final, ce n'est pas vraiment ce qui compte dans le film: c'est le suspense qui prédomine sur les scènes de "terreur"...et quel suspense ! Quelle maitrise de la part de Spielberg ! Lors des scènes sur la plage, la tension monte de manière à chaque fois très efficace, impossible de ne pas être scotché. De plus, les personnages sont attachants, que ce soit Brody (Roy Scheider) ou Hooper (Richard Dreyfuss qui ira ensuite rencontrer les extraterrestre encore sous la direction du maitre). En plus d'être prenant de part son suspense, on notera aussi une petite critique des personnes qui pensent avant tout aux intérêts économiques: ce n'est pas d'une subtilité désarmante mais ça reste appréciable spoiler: (quel tête à claque que ce maire !)
. Le film atteint cependant son apogée lors de sa deuxième partie spoiler: en pleine mer
. Pour être honnête, toute la première partie ne m'a pas forcément captivé de bout en bout (sans être désagréable, hein) et c'est à partir spoiler: de l'arrivée définitive de Quint dans l'intrigue
(génial Robert Shaw dans un rôle marquant) que j'ai été totalement scotché. Comme je l'ai dit, les personnages sont attachants et ça aide. La superbe mise en scène de Spielberg aide beaucoup aussi: il y a une bonne gestion de l'espace, des plans iconiques ( spoiler: comment oublier celui ou le requin apparait derrière Roy Scheider ?
)...il y aussi une jolie photographie et surtout la musique de John Williams ! Le thème principal, tout en tension, est difficilement oubliable et sert admirablement le film. On notera aussi que le requin n'a pas vraiment vieilli (en tout cas à mes yeux). Son apparence effrayante reste intacte...Beaucoup plus prenant dans son excellente seconde partie (le climax est d'ailleurs génial), "Jaws" n'en reste pas moins une belle réussite de bout en bout. Un film stressant, passionnant, bien écrit, bien mis en scène, imprévisible ( spoiler: je ne m'attendais pas du tout à la mort de Quint, surtout de manière si violent
e)...autant de superlatifs qui devraient convaincre n'importe quel sceptique de se jeter sur ce film culte. C'est loin d'être mon Spielberg préféré (ni celui qui me fascine le plus) mais la réussite reste indéniable...et puis quel duel entre les hommes et le requin !
3,5
Publiée le 31 mars 2021
Les habitants d'une petite ville découvrent sur le littoral du corps atrocement mutilé. Pour le chef de la police, le responsable est un requin, mais le maire refuse de fermer la plage.

C'est une réalisation de Steven Spielberg qui signait son premier classique deux ans avant RENCONTRES DU 3ÈME TYPE. Le scénario a été écrit par Carl Gottlieb, Peter Benchley et John Milius. Le film remporta trois Oscars : Meilleur son, Meilleur montage et Meilleure musique. Il y aura trois suites LES DENTS DE LA MER 2 (1978), LES DENTS DE LA MER 3 (1983) et LES DENTS DE LA MER 4 : LA REVANCHE (1987), aucune réalisée par Spielberg.

vec le temps, ce film est devenu une véritable référence. On peut même dire qu'il est un précurseur en ayant lancé la mode des blockbuster Américains. Quarante-cinq ans après, il n'a visuellement pas vieilli. Le requin mécanique est techniquement impressionnant. Un vestige désormais visible dans le musée des Oscars à Los Angeles. On va pouvoir ressentir toute sa puissance et sa dangerosité.

On va donc avoir à faire un contenu bien sanglant ou ce prédateur va terroriser son monde. Que ce soit les victimes, où ceux le chassant, la violence va être de mise. De quoi révolter les associations animales si ce film avait été fait en 2021.

Les passages d'attaques vont donc être mémorable avec une musique marquante. La mise en scène est travaillée pour créer une ambiance tendue dans cette ville se déchirant sur la fermeture ou non de la plage.

J'ai donc adoré le début de ce thriller. Cependant, on va atteindre la limite d'un scénario finalement bancale. Cela ne semble pas fluide tant on dirait la position du maire forcée afin de créer cette situation de détresse. L'enthousiasme à laisser place à un peu de scepticisme. J'ai aussi été moins fan de la seconde partie où ils vont parcouris la mer. Elle tombe trop dans la confrontation directe sans cette touche de mystère.
4,0
Publiée le 19 février 2024
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