D'après l'article d'Ian Parker dans le New Yorker qui s'intéressait à la personnalité complexe de Dan Mallory.
Un écrivain médiocre se fait soigner des tumeurs cérébrales qu'il n'a pas, pleure sur des membres de sa famille qui ne sont pas en réalité décédés afin de bénéficier de la sympathie des autres et pouvoir profiter d'eux.