Avis House of Lies

Série qui m'attirait avant tout pour son casting (Don Cheadle et Kristen Bell), House Of Lies n'a malheureusement pas tenu toutes ses promesses. Alors oui, c'est politiquement incorrect, cynique et cru à souhait; mais malheureusement c'est pratiquement aussi vide de sens que le métier de consultant qu'on nous dépeint ici: beaucoup d'esbrouffe mais pas beaucoup de profondeur. Les scénarios sont quand même peu crédibles et les personnages, autres que Marty Kaan, sont peu développés et n'ont pas beaucoup de place pour évoluer. Dommage, dommage... d'autant plus qu'il y a du potentiel qu'on peut entrevoir de temps à autres.

La première saison de Hou$e of Lie$ avait été très décevante, dans la mesure où on pouvait y entrevoir le potentiel du show, sans jamais vraiment arriver au niveau attendu.

La deuxième saison commence de la même façon, avec les mêmes tics ultra-prétentieux de son aînée, sans jamais essayer de voir plus loin. Les arrêts sur images pour les discours de Marty Kaan ont presque entièrement disparu et une histoire de sexe entre notre héros et le personnage de Kristen Bell prend place, sans réel intérêt. Cependant, cette saison est bien meilleure que la précédente. Comment se fait-ce ? L’arrivée au casting de Jenny Slate dans le 2x05 est un véritable game-changer. Son personnage amène un peu de fraîcheur à la série et permet à Doug Guggenheim de prendre de l’épaisseur et de s’imposer face à Clyde Oberholt, qui se pose enfin des questions sur lui-même et en devient pathétique, ce qu’on attendait depuis le début de la série. Les rôles s’inversent et dans le même temps, Marty Kaan décide d’ouvrir sa propre boîte. Là, Hou$e of Lie$ devient intéressant et même ses petites storylines (celle avec Mather Zickel par exemple) sont intéressantes. La série devient donc réussie et possède en plus quelques guests stars hilarantes, comme Matt Damon principalement.

Hou$e of Lie$ est la preuve qu’il ne faut pas abandonner une série après une saison. Même si le potentiel n’est pas exploité à fond, il reste quand même présent et on se surprend à attendre la suite avec impatience.

Excellente série. La performance de Don Cheadle est vraiment exceptionnelle. On ajoute à ça le charme de Kristen Bell et la bromance de Doug et Clyde, et on obtient une série comique presque parfaite. À voir, c'est du pur bonheur.

Troisième saison pour la série de Matthew Carnahan Hou$e of Lie$, œuvre avec énormément de potentiel mais un sacré manque de discernement dans la vulgarité et l’humour sarcastique.

Si la première itération était décevante et la deuxième un peu plus réussie, la troisième saison témoigne d’une véritable compréhension des scénaristes de ce qui a rendu la série plus sympathique au fil du temps. Enfin, les personnages ont des storylines qui les rendent vulnérables et donc plus humains : Doug Guggenheim a des problèmes avec sa femme Sarah, Marty Kaan est bien embêté par les fréquentations de son fils et Clyde est complètement perdu sans son faire-valoir et le reste de l’équipe. Voilà qui est intéressant. Malheureusement, le cast principal revient trop vite ensemble, Dawn Oliveri a encore un rôle bien trop important pour l’intérêt de son personnage catastrophique et omniprésent. On repart donc sur les bases de la première saison, ce qui n’est pas forcément la bonne idée. La storyline avec T.I. et Mekhi Phifer est plutôt sympathique et culmine dans ce qui est la meilleure idée de la série depuis le début. Encore une fois, c’est très mal exploité, mais l’idée est là.

C’est pour cela que la saison est moins bonne que la précédente mais continue à prouver qu’il y a un potentiel vraiment intéressant avec ce matériau. Il faut absolument continuer dans ce sens-là si Hou$e of Lie$ veut rester en tête.

Déception totale sur cette série. Je pense que beaucoup de gens attendaient le retour de Kristen Bell, mais c'est pas encore ça... Histoire sans intérêt, juste à peine copiée sur "Hustle" (nan mais svp, les freeze sur les explications, les arnaques et tout, c'est du vu et revu) sans avoir le charisme d'Adrian Lester. C'est dommage car les acteurs ne sont pas mauvais du tout, mais c'est juste la série qui est vide, malgré une production Showtime.

Le temps du sérieux...La très bonne série branchée de SHowtime a pris un peu de plomb dans l'aile en cette deuxième saison, qui n'est jamais un virage très facile à négocier.

Le gros délire (re)commence pourtant avec une première scène où les consultants vendent en direct une mission à un client...dont ils ne connaissent pas le métier. Mensonges, questions creuses, généralités méthodologiques, bluff permanent, tout l'attirail du consultant est mis à jour en quelques minutes, et c'est absolument merveilleux.

Mais ensuite, on bascule dans autre chose, avec de la romance (un peu), du business (beaucoup) et même quelques plans machiavéliques pour prendre le contrôle de sociétés qui donnent à certains épisodes un sérieux papal.
Quant aux aventures familiales du héros, elles sont franchement pénibles, quand elles ne sont pas juste inintéressantes. On sent que le créateur a tenté d'emmener la série vers quelque chose d'autre que du burlesque, vers une comédie noire sur le monde sauvage des affaires, mais la mayonnaise n'a pas complètement pris, surtout en fin de saison où tout devient figé, grave, premier degré (mariage, disputes de couples,questions raciales, merci...

On se console quand même avec nos consultants préférés, les acteurs faisant toujours un sacré boulot pour maintenir l'intérêt, en particulier les deux juniors toujours aussi déchaînés au bureau ou en dehors. Et avec le passage d'un Matt Damon déchaîné, toujours aussi à l'aise pour venir faire le pitre dans les séries en jouant avec son image...

Cela reste supérieurement écrit et produit, mais il manque vraiment le rythme délirant et l'enchainement de missions chez les clients qui faisaient le charme de la première saison.

Le sujet est compliqué quand on est novice. Le rythme est décousue. Le rôle des personnages autre que Marty Kaan (centre omniprésent du pilote) n'est pas encore identifier, tout comme le réel intérêt de l'histoire. Je n'arrive même pas à définir l'humour : noir, creux, plat... Je m'attendais à des échanges piquants et juste, je me suis trompée. Le pilote est censé donné envie, il m'a bien donné envie... de ne pas regarder la suite.

Début timide de la série dans les premiers épisodes mais qui progresse bien au fur et à mesure de celle-ci. Peut paraître abstrait à des personnes qui ne sont pas sensibles au monde du conseil. À part ça le ton général de la série est à l'humour ce qui la rend plus agréable et simple à suivre.

Plutôt compliqué de noter cette série sur seulement le pilot pour une fois, mais les acteurs sont bon, mais le scénario manque de qqch. Et bon sur ce coup la Showtime c'est lancé sur qqch de compliqué car le métier qu'ils exercent n'est pas vraiment a la porté de tout le monde.

Je me suis arrêtée après quelques épisodes.
Les personnages sont très crus et j'aime bien cette idée, mais les dialogues et le rythme très répétitifs, orientés jargon financier et scalp du client à tous prix... bof, ça devient assez vite lassant. On découvre des personnages finalement creux, originaux, mais qui n'évoluent pas. C'est très très répétitif... comme toutes ces séries construites sur un truc à répétition qui marche bien. Moi, à l'heure actuelle, je trouve ça décevant. J'aime que les choses progressent qu'elles nous emmènent dans de l'inattendu. Là, ce n'est vraiment plus le cas au bout de 4 épisodes !!

Série à voir absolument en VO (comme toute d'ailleurs). Rythme enivrant, personnages dévastateurs et dévastés, crudité font de cette série un régal pour le gentil méchant qui est en nous.

Série agréable à regarder, scénarios plutôt travaillés, même si un peu surréaliste. Même si j'avoue ne pas reconnaître le monde du conseil dans lequel je travaille. Après, ce sont les Etats-unis, et c'est clairement exagéré!.

J'ai été conquise dès le premier épisode. C'est du pur Showtime : politiquement incorrect à souhait. Excellente série.

Ben dis donc ça commence sur les chapeaux de roue!!
dés le premier épisode,dés la première scène ça envoie du lourd...
alcool,sexe,nudité...
sans oublier un petit garçon qui se prend pour une fille...
quelques effets spéciaux dont cette fameuse prise à témoin du téléspectateur chère à un autre "house of...".
Tout pour en mettre plein la vue,histoire de bien accrocher le chaland dès le départ...
Et c'est parti,nous voici dans "house of lies",une série pleine de promesses,originale,inventive et parsemé de bonnes doses d'humour...de bonnes doses de sexe aussi...
Une série aux intrigues peu crédibles et assez surréalistes...mais peu importe..car cette série,j'ai l'impression,mise plus sur la forme que sur le fond...
Et à propos de forme que dire de la sublissime et rayonnante Kristen Bell qui presque à elle seule m'a fait rester devant les deux premiers épisodes...Je suis amoureux,oui je sais!
Bref une série prometteuse...mais qui se déroule dans ce monde trop restreint et parfois compliqué du conseil financier,ce qui risque d'en rebuter plus d'un...

Une bonne idée de base qui nous montre certains abus du capitalisme derégulé couplé avec un style cru à la Californication. Mais un scenario trop décousu pour le moment. En espérant un meilleur visage pour les épisodes à venir