Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Parisien
par Michel Valentin
Un côté presque documentaire, renforcé par le recrutement de nombreux acteurs locaux, qui permet une immersion inédite au cœur de l’intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Voici
par Alexandra Varin
Parfois un brin caricaturale dans ses dialogues, elle se rattrape largement dans sa mise en scène mi-nerveuse, mi-naturaliste, qui lui donne des airs d'une version sudiste d'"Engrenages".
Franceinfo Culture
par Laurent Valière
Pax Massilia, une série nerveuse, sombre, violente et même sexy, pleine de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Point
par Pablo Baron, Victoria Gairin
Une série puissante, bien interprétée et impeccablement rythmée, avec des morceaux de rap bienvenus en guise de BO. Quelques clichés, certes, mais l'action nous happe.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télé 7 Jours
par Sarah Ibri
Un casting et une réalisation soignés, on regrette l'absence d'accents chantants dans la série Made in Marseille.
Télé Loisirs
par Thomas Destouches
Pax Massilia est loin d'être parfaite mais elle se révèle prenante, immersive, tendue. Du pur Marchal.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Première
par Charles Martin
Pax Massilia n'est pas un mauvais Marchal, c'est juste un Marchal ressassé, qui va droit au but sans chercher à se renouveler, ni dans le fond, ni dans la forme. Un style à réserver à ses amateurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Téléstar
par Romain Nigita
C'est "Braquo" sur le Vieux-Port, tant la nouvelle série d'Olivier Marchal regroupe tous les ingrédients favoris de l'ex-policier : des flics aussi voyous que ceux qu'ils traquent, des dialogues d'une vulgarité fatigante...
Libération
par Marius Chapuis
Ni subtil ni intelligent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Benoît Franquebalme
Une bouillabaisse bien bourrine (à éviter).
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télérama
par Pierre Langlais
Pax Massilia est aussi dépassée dans son écriture, croisement de polar à papa et d’enjeux intimes capillotractés, que dans sa mise en scène pétaradante comme les grosses cylindrées des voyous, ponctuée par des plans de drone et des bastons sans souffle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
Un côté presque documentaire, renforcé par le recrutement de nombreux acteurs locaux, qui permet une immersion inédite au cœur de l’intrigue.
Voici
Parfois un brin caricaturale dans ses dialogues, elle se rattrape largement dans sa mise en scène mi-nerveuse, mi-naturaliste, qui lui donne des airs d'une version sudiste d'"Engrenages".
Franceinfo Culture
Pax Massilia, une série nerveuse, sombre, violente et même sexy, pleine de souffle.
Le Point
Une série puissante, bien interprétée et impeccablement rythmée, avec des morceaux de rap bienvenus en guise de BO. Quelques clichés, certes, mais l'action nous happe.
Télé 7 Jours
Un casting et une réalisation soignés, on regrette l'absence d'accents chantants dans la série Made in Marseille.
Télé Loisirs
Pax Massilia est loin d'être parfaite mais elle se révèle prenante, immersive, tendue. Du pur Marchal.
Première
Pax Massilia n'est pas un mauvais Marchal, c'est juste un Marchal ressassé, qui va droit au but sans chercher à se renouveler, ni dans le fond, ni dans la forme. Un style à réserver à ses amateurs.
Téléstar
C'est "Braquo" sur le Vieux-Port, tant la nouvelle série d'Olivier Marchal regroupe tous les ingrédients favoris de l'ex-policier : des flics aussi voyous que ceux qu'ils traquent, des dialogues d'une vulgarité fatigante...
Libération
Ni subtil ni intelligent.
Marianne
Une bouillabaisse bien bourrine (à éviter).
Télérama
Pax Massilia est aussi dépassée dans son écriture, croisement de polar à papa et d’enjeux intimes capillotractés, que dans sa mise en scène pétaradante comme les grosses cylindrées des voyous, ponctuée par des plans de drone et des bastons sans souffle.