Mon compte
    Skins
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    3,8
    17440 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Skins ?

    639 critiques spectateurs

    5
    323 critiques
    4
    186 critiques
    3
    76 critiques
    2
    27 critiques
    1
    12 critiques
    0
    15 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Charlotte R
    Charlotte R

    31 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 10 janvier 2014
    Personnellement, je trouve que l'intérêt de la série est visible en particulier dans les 2 voir les 3 premières saisons. Par la suite je n'ai pas tellement accroché, du moins beaucoup moins qu'avant.
    Je donne néanmoins une mention spéciale pour la toute dernière saison, qui marque réellement un bon point final. Même si j'aurais aimé revoir des personnages de la saison 1.
    Skins m'a accompagné durant toute mon adolescence et je crois que ça a été un réel modèle pour moi de choses à ne pas faire. Beaucoup autour de moi m'ont dit (notamment adulte) : "C'est de l’exagération, les jeunes ne sont pas comme ça." et c'est là où je tiens à dire que les réalisateurs sont très forts. Skins c'est de l'exagération de la non-exagération. Tout parait très gros, mais soulève un point très important chez les jeunes : l'abandon. J'ai nettement reconnu ma génération à travers Skins. Et je crois m'être un peu lassé de la série au fur et à mesure que je m'éloignais d'un univers semblable à celui là. Je pense que Skins est une belle leçon de vie à quiconque veut évoluer. La dernière saison illustre très bien cela. Une belle leçon de vie pour un public bien ciblé.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 7
    3,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    Skins... Ah Skins... Certainement une des séries les plus marquantes jamais faites sur le monde de l'adolescence. Ou devrais-je plutôt dire sur le passage à l'âge adulte. Cette série qui dressait le portrait de multiples personnages aux profils très différents les uns des autres avec un ton d'une insolence à couper le souffle et un humour anglais cruel et ravageur. Cette série qui abodrait les questions de l'amour, du sexe, de la drogue, de l'alcool, de la désillusion, de l'autodestruction avec beaucoup de réalisme
    Cette série qui a connu des hauts et des bas à travers trois générations de personnages qui ont marqué tant de spectateurs...
    Bon allez j'arrête de m'étendre et entrons plutôt dans le vif du sujet. Voici donc mon avis (non exhaustif) sur les trois parties de cette dernière saison intitulées Fire, Pure et Rise.

    Fire: Supeflu
    Etant donné les circonstances de la fin de la seconde génération et vu la notoriété qu'elle a acquise auprès du public, Effy était très certainement le personnage le plus emblématique de Skins de par sa soif de sensations et son don assez étonnant à se mettre dans des situations des plus ennuyeuses. De ce fait, l'idée de ne pas poursuivre son histoire aurait été criminel.
    Pourtant, disons ce qu'il en est, même si elle commence sur de très bonnes bases (en particulier les idées de montrer une femme ayant gagné en maturité et laissé derrière elle sa vie d'ado junkie et fêtarde pour se consacrer au monde cruel de l'investissement), cette partie a une fâcheuse tendance à s'attarder sur des putains d'embranchements qui n'ont pas le moindre intérêt alors que d'autres sujets beaucoup plus exploitables sont laissés en plan (en particulier cette relation qu'elle entretient avec le patron ayant pour but de montrer à quel point les pauvres amoureuses se font facilement manipuler autre genre de conneries hyper clichés. Ce qui est d'autant plus dommage alors que l'on retrouvait les personnages de Emily et Naomie qui ne demandaient qu'à être encore plus approfondies. Mais non, juste quelques apparitions et pouf plus rien.)
    Pour ce qui est des bases, on retrouve tout de même la soif de pouvoir du personnage de Effy et l'aspect de sa personne qui faisait qu'elle était toujours prête à tout pour arriver à ses fins
    En bref, une histoire aux possibilités intéressantes mais qui ne s'attarde jamais sur les bons sujets. Malgré l'idée culottée de placer le décor dans le monde de la bourse et de pointer du doigt les magouilles qui s'y trament. Et sans surprise, Kaya Scodelario est toujours aussi excellente.
    2,5/5

    Pure: Inutile
    Cette partie est plus dure à critiquer car je suis très influencé par mon avis propre au personnage de Cassie. Je hais Cassie. Et si certains sont dans le même cas, cette seconde partie ne va certainement pas arranger les choses !
    Tout comme Effy, madame a trouvé un travail et veut prouver au monde qu'elle a changé. Que nenni. C'est fou comme cette partie donne l'impression de creuser dans le vide. Là aussi on était impatient de découvrir ce qu'il s'était passé quand le personnage a retrouvé Sid à New York. Et la réponse tiendra en deux lignes de dialogues. SERIEUX ?! Bravo les gars, toutes ces promesses de réponses pour ça, on a rarement été aussi couillonné depuis Prometheus. Mais encore une fois, je me perds. Le plus gros problème de cette partie, c'est qu'elle accumule les défauts propres au personnage de Cassie (méprisable, complètement perchée, lâche, manipulatrice, fausse victime) et ceux de la troisième générations pour lesquels on n'avait pas le moindre attachement.
    Et cette pseudo histoire de triangle amoureux est des plus ridicules
    Restera toujours la belle réalisation de Paul Gay (pas de blague s'il vous plaît), réalisateur des tous premiers épisodes qui adopte ici un ton assez sensoriel pour les séquences en compagnie de la famille de Cassie, seul atout de cette partie qui passe le plus clair de son temps à se demander ce qu'elle pourrait bien raconter. En bref, rien. Cette partie n'apporte strictement rien. Si ce n'est encore plus de dégoût vis à vis de Cassie, tout juste bonne à attirer ceux qui l'aiment dans la panade.
    1,5/5

    Rise: Viscéral
    Cook, sans doute l'autre personnage le plus emblématique de Skins. Tête brûlée au caractère autodesctructeur toujours à la recherche de sensations fortes quitte à se plonger dans des descentes aux enfers sans fin. Et pourtant, il était loin d'être le plus intéressant à mes yeux.
    Mais là, autant le dire, les scénaristes ont réussi à compenser les lacunes des deux parties précédentes pour livrer un double épisodes absolument magistral sur la suite des mésaventures de James.
    Devenu dealer et suite à un écart de conduite vis à vis de son patron (le genre d'écart consistant à être séduit par la petite amie de ce dernier), il se retrouve pris dans une fuite désespérée, ponctuée de violence et de remise en question. Fuir, toujours fuir depuis le jour où il avait vengé la mort de son ami Freddie, voici le quotidien de Cook, toujours la peur au ventre. Cet épisode est d'ailleurs de très loin le plus noir de toute la série de par sa spirale de violence et ses situations aux conséquences plus sadiques les unes que les autres.
    Là aussi, nous découvrons une facette beaucoup plus sombre du personnage, hanté par les fantômes du passé et à l'avenir des plus incertains. Et toujours en proies aux tentations du mal.
    Et bon dieu ce que ça fait du bien de voir un personnage apporter une telle dimension humaine à cette septième saison placée sous le signe de la froideur.
    Pour renforcer leur propos, les scénaristes abordent enfin des thèmes propres à Skins tels que la quête de rédemption, l'incertitude, la peur, la mort etc...
    En bref, c'est un Cook diablement plus humain qui nous apparaît dans ce double épisode au suspense parfois insoutenable qui prend un malin plaisir à jouer avec nos nerfs pour se conclure sur un final absolument dantesque. Et qui pour une fois, bénéficie d'une narration qui prend aux tripes du spectateur. Il faut aussi dire que la prestation de Jack O'Connell y est pour beaucoup tant ce dernier se montre exceptionnel et se déchire littéralement lors de certaines scènes.
    Ca philosophe, ça cogne, ça fuit, ça se perd, ça se retrouve... Du Skins comme on l'aime !
    4,5/5
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 3
    5,0
    Publiée le 10 décembre 2013
    la meilleure saison de la série selon moi. la seconde génération était la plus élaborée et diversifiée de toutes!
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 7
    2,0
    Publiée le 11 juillet 2014
    J'ai trouvé dommage le fait que les personnages soient tous séparés et qu'ils aient un épisode à eux seuls. Je pense qu'il aurait fallu les faire se rencontrer de nouveau
    sebou36
    sebou36

    69 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 8 avril 2013
    Alors, là, c'est la série du siècle. parfois hilarante, parfois glauque mais toujours passionnante. J'en suis déjà à la saison 6. Les anglais sont vraiment à la page. Quelle radiographie de la jeunesse! Et que dire des parents? Démissionnaires, névrosés, ils ne sont que des ombres méprisables et dénuées de bon sens. Les jeunes doivent se reconstruire des repères et surtout briser ceux que leurs prédécesseurs aimeraient leur inculquer. Passage par la drogue et la boisson. La destruction avant la reconstruction. Il faudrait passer cette série dans tout les collèges d'Europe!!!!!! Quel beau bordel ce serait... et en même temps, quel espoir qu'enfin l'on engendre des êtres lucides et responsables!!!
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    283 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 7
    3,0
    Publiée le 20 août 2013
    Les règles de Skins étaient simples : deux saisons par génération, un épisode par personnage. Pour cette ultime saison, tout change : plus de générations, juste le retour de trois personnages, adultes désormais.

    On a donc 3 téléfilms coupés en 2, qui donnent six épisodes, avec le retour de trois personnages, assez inintéressants pendant la série normale. Ce qui partait comme un mauvais point en est pourtant un bon, nous permettant une nouvelle vision sur des personnages qu’on aurait donc jugés trop vite ? Cela dépend. Pour Effy Stonem, son double épisode est excellent, perdant tous les tics insupportables de la série et ressemblant presque à un vrai film. Bien sûr, c’est toujours trop vulgaire pour être réaliste et les scénaristes utilisent encore la mort comme ressort dramatique, mais l’effort est trop important pour ne pas le signaler. Les acteurs sont tous bons et la réalisation sans fard. Pour le deuxième téléfilm, non contents de s’intéresser à nouveau à un personnage détestable, il est perclus de clichés et ne peut réellement passionner malgré de bons moments amenés par l’excellent Daniel Ben Zenou. Le troisième est, dans la lignée de la deuxième génération, une catastrophe industrielle, n’ayant rien compris à la réussite du premier téléfilm et n’offrant que trop peu d’évolution à un personnage déjà unidimensionnel.

    On ne peut que saluer la tentative des scénaristes de faire quelque chose de nouveau, mais après 2 bons épisodes, ils ont complètement loupés le coche. Mais pour l’effort, on ne peut totalement critiquer cette saison. Heureusement, c’est enfin fini.
    Arnaud R
    Arnaud R

    89 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 7
    3,0
    Publiée le 6 juin 2019
    Une dernière saison en forme d'anthologie qui propose des histoires plutôt bien menées mais manquant cruellement de force.
    Plume231
    Plume231

    3 872 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    4,0
    Publiée le 24 juin 2015
    Une saison 2 qui se permet d'être un chouia meilleure que la première car elle approfondit considérablement les personnages et les rend encore plus attachants.
    On est toujours dans le délire, mais cette fois la tragédie joue un rôle pointe son nez quand on s'y attend le moins ce qui ne fait que rendre les scènes dramatiques encore plus poignantes spoiler: celle de la mort du père de Sid et bien sûr celle de Chris qu'on croyait dans un premier temps tiré d'affaire mais non...

    On rigole quand il a lieu de rigoler mais on est vraiment très ému quand il a lieu de l'être. C'est la marque d'une série très réussie, qui n'hésite pas à faire preuve d'une grande ambition lors d'un sixième épisode quasi-onirique.
    J'ai fortement envie de rester sur cette impression agréable et marquante. Je veux que "Skins" me laisse en mémoire cette dernière.
    Plume231
    Plume231

    3 872 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    4,0
    Publiée le 24 juin 2015
    Généralement la saison 1 est celle qui présente les personnages. Ces derniers ont l'air au premier abord caricaturaux mais heureusement ce n'est qu'un premier abord... Ainsi on va faire connaissance avec Tony, beau gosse dragueur (HI NICHOLAS !!!) qui a un énorme succès auprès de la gent féminine et qui en profite, Michelle, sa petite amie canon un peu naïve, Sid, son meilleur ami maladroit bien évidemment toujours puceau et amoureux de Michelle, Cassie, anorexique sympa et compréhensive amoureuse de Sid qui est trop bête pour s'en rendre compte, Anwar, de confession musulmane qui respecte sa religion en faisant ses prières cinq fois par jour et... en faisant ses prières cinq fois par jour... , Maxxie, sympathique meilleur pote d'Anwar, mais qui doit faire face au fait que ce dernier à cause de sa religion, qu'il est pourtant loin de scrupuleusement respecter, a du mal avec son homosexualité, Chris, gros fêtard et toxico qui se tape la prof de philo, et Jal, la sérieuse de la bande, clarinettiste de talent. Et on n'oubliera pas non plus Effy, la soeur barje de Tony.
    Bon, un beau gosse, un puceau, une fille canon, une fille sympa mais un peu détraquée, un homosexuel, les minorités ethniques représentées, une barje, tout y est...
    Et pourtant on fonce sans hésiter parce que ça fonctionne, parce que les protagonistes ont beau être différents la série arrive parfaitement à les rendre complémentaires. Et puis, on rigole de leurs délires qui vont parfois très loin. Ça doit être la magie de l'humour anglais qui arrive à nous faire tout avaler. Et puis, l'interprétation des jeunes acteurs (dont deux futurs de "Game Of Thrones" !!!) est excellente. A noter une fin de saison en apothéose sur la chanson "Wild World" de Cat Stevens.
    maxime ...
    maxime ...

    236 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    2,5
    Publiée le 8 octobre 2017
    La mayonnaise n'as jamais vraiment pris ... Il y'a bien quelques fulgurances à notés, notamment chez Alo, Rich et Mini, un peu faible dans l'ensemble car les autres sont carrément à coté de la plaque ! Après, on ne peu pas dire non plus que le scénario les avantages tellement, des incohérences et un foutoir global masquées par une souffrance artificiel et à l'eau de rose assez affligeante englobe l'essentiel de cette saison. Trop de caricature, plus encore que dans le premier acte, c'est dire ... La chute est dure. Ne parlons pas de cette fin en " apothéose " qui reflète assez bien la perte total de fil conducteurs, des tartines et de la soupe pour finir ... Il était grand temps d'abréger les jérémiades et autres pseudo retors de cette troisième générations !
    maxime ...
    maxime ...

    236 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 7
    3,5
    Publiée le 30 décembre 2017
    Effy, Cassie et Cook. Trois segments plus ou moins réussit pour une conclusion animée et qui retrouve par instant la grâce d'il y'a quelques années. Les saisons 5 et 6 axée sur une troisième générations s'était révélée fadasse et désincarné d'ou l’intérêt de cet au-revoir en compagnie de ces trois personnages emblématiques. J'ai eu beaucoup de plaisir à suivre leurs évolutions ( ou non ), j'aurais préféré par contre un autre ordre de diffusion et plus précisément terminé par l'histoire d'Elizabeth qui est surement la plus réussit. La fin de ce deuxième épisode m'a beaucoup rappelé l'ultime scène de la seconde saison ou elle prend la place de son frère, le même regard, le même sourire ... Il y'a aussi quelques défauts dans ce septième acte, souvent par bonne intention, toujours dans l'excès. Les personnages secondaires sont un peu trop stéréotypés et n'arrive jamais vraiment à prendre place dans le récit, il y'avait de l'idée pourtant. Naomi par exemple hérite du rôle de faire valoir, dommage car elle était elle aussi un personnage clés de la seconde génération. Des lacunes donc, des maladresses sur maladresses mais aussi quelques simagrées et autres plaintes habituels qui essouffle l'histoire mais ces défauts ne sont que minimes en contrepartie du plaisir de les revoir une dernière fois.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 7 juin 2014
    Une série qui nous dit tout sur les dérives de la jeunesse britannique avec l'humour anglais.
    J'ai préféré à partir de la seconde génération à la saison 3 avec l'arrivée des jumelles, Naomi...
    D'ailleurs, c'est cette génération qui clôture la série, à la saison 7.
    On découvre la réalité financière des familles (notamment pour les jumelles) saison 4
    La dernière saison, la 7, nous permet de faire le bilan personnel de chaque personnage.
    Je trouve que c'est une bonne façon de conclure la série, que sont-ils devenus ?
    Lady-blue-loup
    Lady-blue-loup

    39 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 28 juin 2016
    Skins est l'une des premières série que j'ai vues, et l'une des premières que j'ai adorée. Cette série britannique créée par Jamie Brittain et Bryan Elsley parle évidemment aux jeunes - et donc à moi - vu qu'elle traite des thèmes et des problèmes liés à l'adolescence. Le principe est de mettre en avant une bande de jeunes adultes et que chaque personnage a son épisode pour exposer son histoire et ses problèmes, chaque "bande" est une génération qui se tient en deux saisons. "Skins" traite toutes sortes de choses, comme la drogue, l'alcool, le sexe, le mal-être, l'amour, l'amitié, la désillusion, et même la mort ; mais surtout : le passage à l'âge adulte. Ce schéma est répété trois fois (car la série contient trois générations) montrer sous différents angles, avec différents personnages portés par un casting d'acteurs souvent inconnus.
    Ce que je pense avoir le plus aimé dans cette série, c'est son côté décalé. En effet, elle ne manque pas de nous en mettre plein la vue. À chaque saison, sur la forme, on a le droit à un incroyable jeu de couleurs, de lumière, à la fois raffiné et synthétique, reflétant la joie, la folie, bref les sentiments de l'adolescence, voire même plus, de la vie. Les scènes sont également très bien filmés. Je me manque pas de citer les excellentes musiques passés sur les 7 saisons, très poétiques, magique et spirituel, comme nous le prouve chaque générique, très coloré et joyeux. Ce que j'ai remarqué avec chaque génération, c'est qu'elle expose à la première partie le côté ados, puis à la deuxième, ça devient logiquement plus adultes, plus sérieux mais aussi plus sombres. Parlons des personnages, tous unique en leur genre. Mais évidemment, comme on dit, chacun ses goûts donc chaque génération ne m'à pas vraiment plus. J'ai vraiment adoré les quatre premières saisons qui sont assez attractives (quoique la saison 4 commence déjà à tanguer vers l'ennui). Si je pouvais définir les trois générations, je dirais que la première est très coloré, drôle, voire même enfantine. La deuxième est assez différente, vu qu'elle démontre un côté beaucoup plus trash, folle et sombre. Ce qui a malheureusement rendu la troisième un peu "simple", sans grande originalité et je me suis assez ennuyé. En revanche, la dernière saison est une saison un peu à part, car elle marque la fin de l'adolescence et fait place à l'âge adulte, c'est donc bien plus mature, et c'est brillant. Si je peux faire un petit paragraphe à propos de mes goûts, j'aimerais citer mes personnages préférés : Chris et Maxxie (génération 1) et Effy et Cook (génération 2 + saison 7). Le pire, c'est que j'ai non seulement adoré ses personnages, et je me suis également identifié à eux, et pas seulement à eux que j'ai cité. Je me souviens que je voulais ressembler à Effy, je voulais me comporter comme elle, porter ses vêtements...
    Ce qu'on pourrait reprocher à Skins, c'est son côté très exagéré, très abusif, mais justement : Skins c'est de l'exagération de la non-exagération. Et elle arrive à retranscrire des émotions qui nous touchent, qui nous font réfléchir, sur plusieurs choses que l'on connaîtra sûrement dans la vie. Je pense que Skins est une belle leçon de vie, qui nous démontre de plusieurs façons l'adolescence, pour quiconque veut évoluer. La dernière saison illustre tellement bien cela que la série a réussi à très bien conclure la série, un sentiment de joie et de tristesse s'est abattu sur moi dans le sens où, Skins a su nous montrer tellement de choses, et que maintenant, il faut aller de l'avant. Le message a donc très marché. Je ne peux pas mettre 5 sur 5 car je me suis parfois ennuyé et même parfois un peu lasser, mais j'ai adoré la regarder et je la conseille à tout le monde. 4,5/5
    maxime ...
    maxime ...

    236 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    5,0
    Publiée le 11 septembre 2016
    Cette suite est un ton plus sérieuse que ne l'était la précédente, ils grandissent et nous aussi par la même occasion ! L'intégralité des épisodes sondent les corps et les âmes, j'ai été pris aux tripes à plusieurs reprises et notamment dans le troisième qui m'a bouleversé de bout en bout. Le reste se déroule dans une veine similaire car chaque segment comporte son lot d'émotions plus ou moins fortes. Difficile de dire au revoir à cette génération, un moment lourd et à la fois magique tant le rendez vous n'est pas manqué ... Un grand Merci !!
    maxime ...
    maxime ...

    236 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 12 juillet 2016
    Une évidence ! Le générique part et me voila en immersion, de nouveau plongé dans ce petit objet unique, banal et pourtant si intense. J'ai grandis avec cette série, je la connais par cœur mais je ne m'en lasse pas, impossible ! Ma vision change, les sentiments reste, ils persistent même ... Un peu de nostalgie, des souvenirs et beaucoup de tendresse s'ajoute aux habitudes. On connait tous ces problèmes d'adolescence, quel qu'il soit et ici la palette est large car on est face à la solitude, la drogue, la sexualité, l'avenir, les parents, les disputes, ces tracas et bouleversement qui s'infiltre dans notre quotidien et sonne parfois comme des rites de passages. Certains les abordes avec plus ou moins de violence. L'ironie et la dérision combiné à l'ensemble des diverses qualités de Skins contribue a donner à l'ambiance un soupçon de vitalité et offre des scènes d'anthologies ! La forme est un autre point fort de cette création, le concept un épisode focalisé sur un personnage permet de visualiser le contenu globalement mais aussi plus intimement. Ce procédé est assez paradoxal et noue une proximité avec cette jeunesse qui se ressent dans les neuf épisodes. Le choc s’atténue avec les années, ce regard doux et irrévérencieux a pourtant marqué ma vie, les temps changent pourtant ...
    Back to Top