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Votre avis sur Makanai : Dans la cuisine des maiko ?
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Enfin un peu de beauté dans l'océan de laideur et de misérabilisme. Je ne vois pas le rapport avec l'idée de bien commencer l'année que l'on lit dans la presse ou ici par le fait d'accueillir cette série, les jours se suivent, c'est tout, et cette série est une rencontre précieuse. Cette série n'est pas ancrée dans un moment de l'année qui l'effacera pour d'autres, ce n'est pas un produit à "consommer sans modération", formule absurde et grotesque. C'est une oeuvre moderne d'une grande finesse et douceur, que l'on oubliera pas, comme une enclave, un refuge, une alternative réelle, la possibilité d'une île comme dit M.H. On y célèbre des valeurs si lointaines des nôtres, de la France d'aujourd'hui, petit pays qui se complaît dans la moucheté ordinaire, la laideur des moeurs, le trivial, le sexe sale, la violence et la haine. Et soudain, voilà un peu d'amour. Un récit qui aime la beauté, les autres, les reflets d'un rayon de soleil, l'odeur d'un bouillon fin qui mijote, les rires et la joie, la grâce féminine. Merci de tout coeur pour cette merveille.
Deux amies quittent leur province natale pour l'ancienne capitale impériale afin de devenir maiko, apprenties geisha. Le Maitre du cinéma japonais Kore-Eda pose sa caméra à Gion, un quartier qui reste en mémoire quand on a eu la chance de le visiter tellement il représente à la perfection le Japon éternel, pour une série feel good dénuée de tous mauvais sentiments. Une ode à la beauté des petites choses qui font qu'une vie est belle et vaut la peine d'être vécue et à la quête perpétuelle de la perfection du peuple japonais. Une série saine, gourmande et mignonne, kawai comme on dit là-bas et qui donne envie de prendre le premier vol pour Kyoto.
J'ai craqué au bout de 4 épisodes. Même pour du Kore-Heda, le ton est trop niaiseux. Je ne comprends pas l'engouement
Plein de tendresse et de délicatesse, ce récit d'apprentissage japonais emporte dans l'univers des geisha, des artiste bien davantage que les courtisanes que l'on imagine. Les deux jeunes héroïnes sont très différentes, ce qui ne les empêche pas d'être amies depuis des années, le spectateur s'attachant à ces adolescentes touchantes (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/03/25/makanai-dans-les-cuisines-des-maiko-hirokazu-kore-eda/)
Une série magnifique qui vous mettras du baume au cœur.
J'ai savouré chaque minute de cette série qui est une pépite de tendresse, de finesse et douceur.
J'ai finis la série il y a 2 jours mais les personnages me manquent déjà et je me surprend à avoir la gorge serrée en pensant aux personnages tant ceux-ci sont attachants.
En Bonus, une bande originale a l'image de la série toute en douceur et délicatesse.
A voir absolument!
J'ai savouré chaque minute de cette série qui est une pépite de tendresse, de finesse et douceur.
J'ai finis la série il y a 2 jours mais les personnages me manquent déjà et je me surprend à avoir la gorge serrée en pensant aux personnages tant ceux-ci sont attachants.
En Bonus, une bande originale a l'image de la série toute en douceur et délicatesse.
A voir absolument!
Quel plaisir simple.
Des jolies images de Kyoto .
Alors oui il se passe pas grand chose mais que ça fait du bien juste de la poésie et des bons sentiments.
Ca se regarde comme on profite d un bon repas préparé avec amour.
Des jolies images de Kyoto .
Alors oui il se passe pas grand chose mais que ça fait du bien juste de la poésie et des bons sentiments.
Ca se regarde comme on profite d un bon repas préparé avec amour.
Une très belle surprise au catalogue Netflix, cette mini-série japonaise tranche radicalement sur tout le reste par sa fraîcheur et son humanité. On suit l'arrivée et le parcours de Sumire et Kiyo, deux jeunes amies voulant intégrer la formation de Maiko (apprenties Geishas) dans un petit établissement du quartier de Gion, à Kyoto. Seule Sumire montre les aptitudes nécessaires, tandis que Kiyo va devoir se tourner rapidement vers un simple rôle de Makanai (cuisinière des Maiko) pour l'ensemble des occupantes de cette maison. Un rôle qu'elle endosse avec joie pour le bonheur de tous, accomplissant à chaque repas de petits miracles, ravissant le palais et l'humeur de ceux qui goûtent à ses préparations. Avec un parti-pris presque documentaire, sans recherche d'intrigue dramatique ou romantique forte, c'est la vie au jour le jour de cette maison à l'ambiance familiale qui nous est montrée, tournée vers la bienveillance, le partage, l'écoute d'autrui et le goût des petits plaisirs de la vie, à commencer par les plats sans cesse renouvelés de Kiyo. Des bribes de romances ou de tourments familiaux sont esquissées avec légèreté, par petites touches qui brodent autour de ces personnages un tissu humain des plus attachants et nous donnent l'impression d'être les témoins privilégiés d'un monde que nous croyions avoir perdu dans nos sociétés occidentales mercantiles et individualistes. Parenthèse de quiétude, de beauté et de simplicité, chaque épisode de cette série offre une leçon de bonheur que je prescris vivement à chacun.
Une série pleine de tendresse et de légèreté à consommer sans modération. Une bonne surprise pour commencer l'année :)
Il ne se passe rien. Il n'y a vraiment aucune action. La série est extrêmement lente. Je me suis forcée à continuer mais j'ai arrêté à l'épisode 8.