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Au-delà de son aspect divertissant, "Un homme, un vrai" se veut également être une satire sociale grinçante. La série dépeint sans concessions les dérives du capitalisme et l'obsession du pouvoir, brossant un portrait peu reluisant des élites financières.
Le destin de Conrad Hensley, un homme noir victime de violences policières et injustement emprisonné, vient contrebalancer l'ambition démesurée des protagonistes principaux, ajoutant une dimension dramatique et poignante au récit.
David E. Kelley, scénariste chevronné, excelle à ciseler des personnages hauts en couleur et à créer des situations cocasses, tout en abordant des sujets de société d'une grande actualité.
La réalisation est à la hauteur du scénario et du casting, et la mise en scène est élégante et dynamique.
Je recommande cette série à tous ceux qui recherchent un divertissement satirique et bien réalisé.
Le destin de Conrad Hensley, un homme noir victime de violences policières et injustement emprisonné, vient contrebalancer l'ambition démesurée des protagonistes principaux, ajoutant une dimension dramatique et poignante au récit.
David E. Kelley, scénariste chevronné, excelle à ciseler des personnages hauts en couleur et à créer des situations cocasses, tout en abordant des sujets de société d'une grande actualité.
La réalisation est à la hauteur du scénario et du casting, et la mise en scène est élégante et dynamique.
Je recommande cette série à tous ceux qui recherchent un divertissement satirique et bien réalisé.
Excellente série on rigole bien même si certains moments ne le sont pas pour celui qui se retrouve en prison, Lucy Liu a un petit rôle dans la série, l'acteur principal et le banquier sont excellents et la fin et parfaite.
On passe un bon moment.
On passe un bon moment.
Une belle surprise. De mémoire j'ai rarement (jamais?) vu une série où il n'y a pas de personnage "secondaire". Il y a un équilibre parfait sur la place accordée aux enjeux de chacun. Et aucun personnage n'est stéréotypé. Et on a même droit à une fin. Décidément c'est réussi en tous points.
Série dopée à la testostérone et à la dopamine : un début impressionnant.
On gravite dans une affaire commerciale à propos de la comptabilité d’une grosse société immobilière. Très vite on est mis au parfum avec la confrontation entre un manager et son banquier alors que les dettes s'accumulent. La société et son état de santé n’ont finalement que peu d’importance. L’intérêt de la série se porte sur le terrible face à face entre les intérêts de la banque et la survie de la société mais au travers des hommes qui en font la gestion.
Et on assiste à de sacrés combats de coq, très virils et provoquants, parsemés de gros mots très masculin. Oui, des Insultes très personnelles et choquantes dans le but de déstabiliser la partie adverse. Tout est bon pour faire pression par du chantage et de l’intimidation.
Il y a une constante et je pense que c’est très américain comme attitude : A part l'une ou l'autre exception, tous les personnages dans cette série sont obstinés, sans retenue et avides de vengeance et de victoire.
C’est impressionnant et cela fait le succès de cette série.
Malheureusement, après un début qui m’a médusé, le soufflet est un peu retombé par la suite. La série s’est un peu égarée et les altercations sont devenues plus raisonnables. Et puis la fin est selon moi assez décevante.
De plus, en parallèle de l'intrigue principale, on assiste à une tout autre histoire d’emprisonnement d’un autre personnage qui finalement n’apporte rien à l'idée de départ. Pourquoi ? Je reconnais que c’est une histoire secondaire qui ne manque pas d'intérêt. Mais bon, des prises de tête entre détenus dans une prison américaine et un procès à consonance raciste : c’est tellement déjà vu.
Mon avis global est malgré tout bon. Rien que les 2 premiers épisodes sont du pur caviar à voir absolument. La série bien dosée en 6 épisodes est bien interprétée et mérite à coup sûr le détour malgré les petits reproches que j'ai formulés.
On gravite dans une affaire commerciale à propos de la comptabilité d’une grosse société immobilière. Très vite on est mis au parfum avec la confrontation entre un manager et son banquier alors que les dettes s'accumulent. La société et son état de santé n’ont finalement que peu d’importance. L’intérêt de la série se porte sur le terrible face à face entre les intérêts de la banque et la survie de la société mais au travers des hommes qui en font la gestion.
Et on assiste à de sacrés combats de coq, très virils et provoquants, parsemés de gros mots très masculin. Oui, des Insultes très personnelles et choquantes dans le but de déstabiliser la partie adverse. Tout est bon pour faire pression par du chantage et de l’intimidation.
Il y a une constante et je pense que c’est très américain comme attitude : A part l'une ou l'autre exception, tous les personnages dans cette série sont obstinés, sans retenue et avides de vengeance et de victoire.
C’est impressionnant et cela fait le succès de cette série.
Malheureusement, après un début qui m’a médusé, le soufflet est un peu retombé par la suite. La série s’est un peu égarée et les altercations sont devenues plus raisonnables. Et puis la fin est selon moi assez décevante.
De plus, en parallèle de l'intrigue principale, on assiste à une tout autre histoire d’emprisonnement d’un autre personnage qui finalement n’apporte rien à l'idée de départ. Pourquoi ? Je reconnais que c’est une histoire secondaire qui ne manque pas d'intérêt. Mais bon, des prises de tête entre détenus dans une prison américaine et un procès à consonance raciste : c’est tellement déjà vu.
Mon avis global est malgré tout bon. Rien que les 2 premiers épisodes sont du pur caviar à voir absolument. La série bien dosée en 6 épisodes est bien interprétée et mérite à coup sûr le détour malgré les petits reproches que j'ai formulés.
Série peut être pas inintéressante en elle-même. Mais ayant lu et adoré le roman de Tom Wolfe dont la série est (paraît
il) l'adaptation, on en est malheureusement très loin... Jeff Daniels n'a pas l'épaisseur de Charlie Crocker. Le mordant de Wolfe sur ses contemporains, oublié... Et surtout le personnage de Conrad, le plus attachant du roman, est complètement réécrit et perd son intérêt.
Bref, ceux qui connaissent le roman seront peut-être déçus. Je le suis en tout cas...
Ceux qui ne connaissent pas l'œuvre de Tom Wolfe ne la découvriront pas avec cette série. Le bouquin est 1000 fois meilleurs..
Bonne lecture ;)
il) l'adaptation, on en est malheureusement très loin... Jeff Daniels n'a pas l'épaisseur de Charlie Crocker. Le mordant de Wolfe sur ses contemporains, oublié... Et surtout le personnage de Conrad, le plus attachant du roman, est complètement réécrit et perd son intérêt.
Bref, ceux qui connaissent le roman seront peut-être déçus. Je le suis en tout cas...
Ceux qui ne connaissent pas l'œuvre de Tom Wolfe ne la découvriront pas avec cette série. Le bouquin est 1000 fois meilleurs..
Bonne lecture ;)
Une bonne déception en ce qui me concerne !
Le pitch rappelle Billions (excellente série), avec ce procureur et ce riche homme d’affaire sulfureux qui s’affrontent, nouant une relation complexe empreinte de rivalité et d’obsession.
La comparaison s’arrêtera là.
C’est court, c’est plat, malgré le petit format c’est plein de longueurs et de scènes superflues.
En dépit du titre évocateur (Un Homme, Un Vrai) la promesse de testostérone n’est pas tenue.
La fin arrive comme un cheveu sur la soupe, laissant le spectateur avec un sentiment de vide et une interrogation… Tout ça pour ça?
Spoiler:
spoiler: Apres les humiliations subies par le protagoniste, sa grande gueule et sa soif de revanche, on s’attend à un plan d’action machiavélique en guise de représailles, a une prise de revanche jouissive dirigée contre les individus a l’origine de sa chute. Il n’en est rien. Le héros se débat certes, acquiert une ou deux victoires sans éclat, et le tout se termine sans saveur et sans panache. Dommage.
Le pitch rappelle Billions (excellente série), avec ce procureur et ce riche homme d’affaire sulfureux qui s’affrontent, nouant une relation complexe empreinte de rivalité et d’obsession.
La comparaison s’arrêtera là.
C’est court, c’est plat, malgré le petit format c’est plein de longueurs et de scènes superflues.
En dépit du titre évocateur (Un Homme, Un Vrai) la promesse de testostérone n’est pas tenue.
La fin arrive comme un cheveu sur la soupe, laissant le spectateur avec un sentiment de vide et une interrogation… Tout ça pour ça?
Spoiler:
spoiler: Apres les humiliations subies par le protagoniste, sa grande gueule et sa soif de revanche, on s’attend à un plan d’action machiavélique en guise de représailles, a une prise de revanche jouissive dirigée contre les individus a l’origine de sa chute. Il n’en est rien. Le héros se débat certes, acquiert une ou deux victoires sans éclat, et le tout se termine sans saveur et sans panache. Dommage.
Une très bonne série US sur le monde des affaires et des magouilles qui vont avec. L'acteur principal est très charismatique et campe son personnage avec brio. Une production rythmée avec des dialogues percutants et des personnages hauts en couleurs qui n'est pas sans rappeller l'excellente série Succession. Une super nouveauté Netflix que je recommande chaudement !
Presque parfait : cynique à souhait, Jeff Daniels parfait (rien de surprenant), d'excellents seconds rôles et des histoires qui se téléscopent dans une série courte qui ne se dilue pas comme tant d'autres..
spoiler: Eclat de rire inattendu sur la toute dernière image
, bref c'est une excellente série malgré la pauvre performance de Diane Lane qui se démène pour essayer d'exister et le peu de place laissé à l'excellente Lucy Liu (que n'ont-ils inversé les rôles !).
spoiler: Eclat de rire inattendu sur la toute dernière image
, bref c'est une excellente série malgré la pauvre performance de Diane Lane qui se démène pour essayer d'exister et le peu de place laissé à l'excellente Lucy Liu (que n'ont-ils inversé les rôles !).
Tout à fait sympa cette série !
Jeff DANIELS est impérial dans le rôle d'un milliardaire de l' immobilier .
Un coté Trumpiste bien affirmé ! C'est gras ,grossier ,vulgaire mais tellement drôle!
Les seconds rôles sont parfaits et contribuent agréablement au plaisir de regarder cette mini série en 6 épisodes.
Hélas tout n'est pas parfait :
Les combats d'égo sont tellement chouettes au début que le milieu de la série semble mou , Lucie Liu à un rôle transparent et l'histoire du gentil père de famille black arrêté par les violents flics blancs et qui s'endurcit en taule au contact des vilains blancs néonazis .....En plus d'avoir été vue 1 millions de fois , Ne sert strictement à rien dans l'histoire !!!
Après le final trash et le dénouement tombent pile poil dans l'esprit de la série ! A voir , donc!!
Jeff DANIELS est impérial dans le rôle d'un milliardaire de l' immobilier .
Un coté Trumpiste bien affirmé ! C'est gras ,grossier ,vulgaire mais tellement drôle!
Les seconds rôles sont parfaits et contribuent agréablement au plaisir de regarder cette mini série en 6 épisodes.
Hélas tout n'est pas parfait :
Les combats d'égo sont tellement chouettes au début que le milieu de la série semble mou , Lucie Liu à un rôle transparent et l'histoire du gentil père de famille black arrêté par les violents flics blancs et qui s'endurcit en taule au contact des vilains blancs néonazis .....En plus d'avoir été vue 1 millions de fois , Ne sert strictement à rien dans l'histoire !!!
Après le final trash et le dénouement tombent pile poil dans l'esprit de la série ! A voir , donc!!
Très bonne série, du rythme, bien mordante avec des personnages hauts en couleur. La fin est inattendue et humour noir.
Très bonne série emmenée par de vieux routier de la télé US (David E Kelley à la création, Jeff Daniels, John Mickael Hill ou Lucy Liu) et de nouveaux venus (William Jackson Harper vu dans "the good place"). La série est intéressante même si elle est assez éloignée du livre de Tom Wolfe dont elle est inspirée. C'est rythmé, amusant, avec du suspense, la réalisation et l'image sont de bonne qualité. Si il fallait rattacher cette série à une référence de la production actuelle, on pourrait citer "succession" pour la qualité de l'écriture, le monde du business et la qualité de l'interprétation d'ensemble.
je crois que le dernier épisode et les derniers minutes de la série ont vraiment changé ma critique envers, j'ai adoré la scène de la confrontation (hormis le sex en érection du mec que je trouve inutile)
Une bonne mini série portée par un casting de qualité, un bon divertissement sans non plus être excellent. 3,5 / 5
The man in full le titre original est beaucoup mieux que le titre français.
C' est le portrait de 4 hommes dont les vies personnelles et professionnelles se croisent : - le magnat de l' immobilier ambitieux, prétentieux, audieux mais aussi un homme de principes et de valeurs ce qui fait de Charlie Crocker, en pleine chute financière, un personnage intéressant - Raymond le banquier d' affaire qui courent après la reconnaissance, d' une jalousie maladive et malsaine envers Charlie, jalousie qui va le perdre inexorablement - Conrad l' ouvrier bien tranquille, victime de brutalité policière et qui s' est retrouvé en prison pour s' être tout simplement défendu et Roger l' avocat d' affaire talentueux qui n' a pas la vie professionnelle qu il rêvait d' avoir du moins jusqu'à ce qu il décide de défendre Conrad.
C est drôle, très caustique, on est tour à tour fasciné par Charlie, attristé pour Conrad, atterré devant la bassesse de Raymond
Série à voir car bien écrite et réalisée.
C' est le portrait de 4 hommes dont les vies personnelles et professionnelles se croisent : - le magnat de l' immobilier ambitieux, prétentieux, audieux mais aussi un homme de principes et de valeurs ce qui fait de Charlie Crocker, en pleine chute financière, un personnage intéressant - Raymond le banquier d' affaire qui courent après la reconnaissance, d' une jalousie maladive et malsaine envers Charlie, jalousie qui va le perdre inexorablement - Conrad l' ouvrier bien tranquille, victime de brutalité policière et qui s' est retrouvé en prison pour s' être tout simplement défendu et Roger l' avocat d' affaire talentueux qui n' a pas la vie professionnelle qu il rêvait d' avoir du moins jusqu'à ce qu il décide de défendre Conrad.
C est drôle, très caustique, on est tour à tour fasciné par Charlie, attristé pour Conrad, atterré devant la bassesse de Raymond
Série à voir car bien écrite et réalisée.
3,2 - le récit est assez captivant par sa bonne mise en scène, son excellente photographie mais ça manque cruellement de crédibilité
Et surtout, le final est assez décevant bien qu’assez attendu au fond
Le seul ressort intéressant est la sous trame qui traite de l’affaire judiciaire qui est globalement bien menée notamment sur le plaidoyer final
Et surtout, le final est assez décevant bien qu’assez attendu au fond
Le seul ressort intéressant est la sous trame qui traite de l’affaire judiciaire qui est globalement bien menée notamment sur le plaidoyer final