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Archie62
26 critiques
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Critique de la série
5,0
Publiée le 23 décembre 2023
J'ai adoré cette série qui ne comporte qu'une seule saison. Le scénario est très bien ficelé même s'il y a quelques longueurs. Chaque épisode est intéressant. Certains personnages soulèvent des questions sur l'existence même de l'être humain sur cette planète. Le bien et le mal. L'ensemble forme un tout entre le passé, le présent et l'avenir. Je recommande fortement cette série.
Très bonne série d’épouvante. Quand on fait le lien avec la véritable histoire qui a inspirée la famille et les épisodes inspirés chacun d’une nouvelle c’est très bien réalisé avec du sens
Alors au même titre que les 2 précédentes séries d'horreur réalisées par le même réalisateur j'ai adoré , suspens, histoire originale, jeux d'acteurs intéressants. Même les dialogues plutôt long sont intéressants et ne font pas perdre le fil ni décrocher. Aucun personnage est bâclé bien au contraire ils apportent tous quelques choses à l'histoire qui une fois encore nous laisse bouche bée.
Je me suis arrêté au début du deuxième épisode. Le woksime a encore épuisé ma patience. A l'image de The Witcher (la série), à faire du forcing, quitte à tourner au ridicule, ou à l'incohérence scénaristique avec l'ajout de protagonistes qui n'ont pour seul intérêts d’être trans, gay, bi, ou que sais-je (de nos jours), on en vient à ne plus pouvoir regarder bon nombre de productions récentes, sans être exposés aux messages politiques et au militantisme de certain. Voila pourquoi je note avec une grande sévérité cette série.
J'ai trouvé cette série par hasard sur Netflix, j'ai trouve le début un peu lent (le premier épisode) mais plus l'on avance dans l'histoire plus l'on est subjugué par cette série exceptionnelle. L'actrice Carla Gugino qui interprète la mort (ou du moins son allégorie) est parfaite dans le rôle. À voir absolument.
Alors je sais qu il en faut pour tous les goûts mais moi j ai tellement kiffé cette série que je l ai regardé 2 fois. J ai adoré le l histoire et j ai trouvé que chaque personnage ont joués parfaitement bien ! Ma série préférée était Bly Manor mais celle ci passe en 1ère.
Le synopsis avait du potentiel, mais après visionnage, je trouve la série vraiment pas terrible. Dans un premier temps, la série est plutôt longue et répétitive après les deux premiers épisodes nous avons compris le shèma et nous nous demandonsspoiler: juste comment va mourir le prochain personnage . Dans un second temps, je pensais que le côté surnaturel allait me plaire, mais cela est mal amené.
Serie top! Je ne comprends pas les mauvais avis. J'aurais noté 4 ou 4.5 mais je mets 5 pour équilibrer avec les avis trop tranchés qui mettent une note moitié.
Je crois que le Flanaverse avoisine American Horror Story dans le top 5 de mes plus belles découvertes télévisuelles. Après Jessie, The Haunting of Hill House, Bly Manor, Sermons de Minuit et The Midnight Club, j'étais plus qu'impatiente de découvrir La chute de la maison Usher.
Quel plaisir de retrouver des acteurs incontournables tel que Carla Gugino (qui est sans conteste celle qui m'a le plus marqué dans le Flanaverse), Kate Siegel, ou encore Henry Thomas. Pour les petits nouveaux, je tiens à saluer les prestations de Willa Fitzgerald et Mary McDonnell.
Le seul regret que j'ai, c'est que cette série marque la fin de la collaboration entre Mike Flanagan et Netflix. Ses chefs d'oeuvre faisaient les beaux jours de Netflix et je pense qu'on n'aura plus jamais l'occasion de voir d'aussi belles séries.
La chute de la maison Usher est une brillante interprétation et adaptation de plusieurs nouvelles d'E.Poe. Flanagan n'a pas cherché à illustrer la mythologie du maitre du fantastique, il a savamment distillé dans les 8 épisodes des éléments iconiques des nouvelles de Poe au service de son scénario et c'est une belle réussite. Comme chez Poe, les personnages sont corrompus, ignobles, détestables sous de nombreux aspects donc, clin d'oeil à certains commentaires, à part être comme eux, difficile de s'identifier. Flanagan en a fait des icônes des cotés sombres de notre humanité contemporaine. Ce qu'il arrive aux personnages n'a pas valeur de morale sauf si l'on cherche absolument à en voir une. Ils sont emportés dans l'histoire victimes des choix qu'ils ont faits et que d'autres ont fait pour eux bien avant. Le rythme n'est pas lent, il est relatif au récit que décline l'un des personnage tout au long des épisodes, cela explique également la quantité de dialogue. Au risque de me répéter: il s'agit du récit de la vie d'un personnage par ce personnage, il serait donc étrange que la série ne soit pas "bavarde". Il ne s'agit pas d'une série slasher, nous sommes à des années lumières de American horror story. Le récit s'appuie sur une tension permanente, nous faire peur n'est pas l'objectif principal. Le cadre scénaristique est habituel au réalisateur, une installation sur les premiers épisodes, un développement pouvant parfois présenter quelques longueurs et une fin magistrale venant conclure le tout sans ambiguïté. Ajoutons à cela quelques critiques à peine dissimulées sur la relation installée entre industriels et consommateurs, entre justice et pouvoir financier, pour pimenter le propos. Après Hill House et Bly Manor, Flanagan montre à nouveau qu'il est capable de proposer une horreur dont l'aspect psychologique est bien plus percutant que des litres d'hémoglobine ou des chats qui sautent après des fenêtres toutes les 5 secondes. Photo, lumière et réalisation sont plus que correctes, le jeu d'acteur est plutôt réussi. A noter la performance de Carla Gugino, parfaite illustration de la fatalité morbide qui frappe le plus souvent les pauvres humains autant chez Poe que chez Flanagan.
Wokistomètre : 4.5/5 : on a droit à presque tout, la super Woketeam ( tout genre, ethnies et préférences sexuelles ) mais pour une série se déroulant à notre époque ce n'est pas choquant.
Misandrimètre : 5/5 : N°1 de mon top 10 des punchlines misandre ( voir ci-dessous* ) on retrouve l'habituelle ambiance Netflix où les " mâles " en général sont, soit des abrutis misogynes, soit des méchants, soit des moutons ( en particulier les mâles blancs, le mal absolue lol )
Misogynomètre : 2/5 : les flashback montrent que dans le passé les femmes étaient sous-estimées et peu respectées mais sans être trop lourd dessus ( ex : " et pourquoi une femme voudrait diriger une entreprise ? " ou " les hommes doivent monter l'échelle à plat ventre dans la poussière mais les femmes n'ont qu'à se mettre sur le dos ou à genoux " )
A part sa :
- scénario classique et mal fichu - personnages qui ont autant de charisme qu'un pigeon de ville et tout autant attachants, peu importe qui meure osef lol - jump square tellement utilisé que c'en est ridicule - soporifique mais selon les habitudes de certains sa pourrait être un atout ( pour faire la sieste ménage ou musculation )
Conclusion : encore une des ces séries Netflix potable pour les moins exigeants d'entre nous qui multiplie les jump square a gogo pour tenter de faire peur tout en étant plus prévisible qu'une éclipse solaire, le tout enrobé de wokisme mais surtout d'une misandrie assumée et nauséabonde tout sa pour : une histoire pourrie... Si comme moi vous mettez certaines séries ou doc pour faire la sieste ou passer le temps en faisant autre chose, celle-ci est pour vous, si vous cherchez une super série prenante et addictive, passez votre chemin ;)
* Punchlines mémorables :
" Les hommes sont aussi stupides qu'ils sont bêtes ", " Je préfère être une meurtrière qu'un meurtrier " ( ok mdrrr ), " les hommes quand ils se croient immortels tout ce qu'ils veulent faire c'est bai..r, et quand ils se rendent compte qu'ils ne le sont pas, tout ce qu'ils venlent faire c'est b..ser ", " les femmes sont les leaders naturels de l'espèce ", " c'est répugnant, c'est un mec " ( sympa lol ) il y en a bien d'autres mais c'est un commentaire allociné, pas une disserte.